Adultere

de familles, adultères etc.) et l’appliquer rétrospectivement à la littérature plus ancienne. La méthode nous semble inadéquate et hors sujet. L’auteur montre dans un premier temps que la distance est ténue entre les événements racontés dans les faits divers journalistiques que nous connaissons et le type d’intrigue des récits mythiques, bibliques et épiques, tant dans l’Antiquité qu’au Moyen Âge (la littérature courtoise notamment) : on retrouve des triangles amoureux, des adultères, des meurtres

suivant : Sur le moyen unique, pris en sa première branche : Vu les articles 900, 1131 et 1133 du Code civil ; Attendu que n'est pas nulle comme ayant une cause contraire aux bonnes moeurs la libéralité consentie à l'occasion d'une relation adultère ; Attendu, selon l'arrêt attaqué, rendu sur renvoi après cassation (Première Chambre civile, 25 janvier 2000, pourvoi n° D 97-19.458), que Jean X... est décédé le 15 janvier 1991 après avoir institué Mme Y... légataire universelle par testament

se délectant à cette idée comme à celle d’une autre puberté qui lui serait survenue. » Victime de ses lectures, elle accepte donc l’adultère : « Alors elle se rappela les héroïnes des livres qu’elle avait lus, et la légion lyrique de ces femmes adultères se mit à chanter dans sa mémoire avec des voix de soeurs qui la charmaient » L’ennui continue d’être le lot quotidien d’Emma. Le couple va s’installer ensuite à Yonville, bourgade plus importante où ils compteront parmi les notables, entre l’ambitieux

mon avis, c´est la seule chose commune qui caracterise aux douzes Lais. À partir de cette conception, l´amour se développe de plusiers façons : on assiste à des histoires qui parlent de l´amour entre un être féerique et un être humain, des amours adultères qui porraient être justifiés, si l´amour est légitime et vrai, ou qui n´ont aucune justification si cet amour est fondée sur le mésonge et la trahison. C´est le cas du Lais Equitan où une femme mariée est séduite par le roi et pour pouvoir vivre

inattendu, cette passion, cet adultère et ces souffrances d’une séparation non désirée. Jean la perçoit comme une femme touchante et digne alors que Pierre l’aurait certainement méprisée. Effectivement, Pierre ne souffre pas seulement d’être spolié d’un héritage dont il aurait pu bénéficier, mais aussi et surtout de la perte de complicité qu’il avait avec sa mère. Celle-ci lui a menti, ce que l’aîné ne peut admettre, contrairement à Jean qui intègre rapidement son adultère. Tout comme le personnage

monotonie qu’une union officielle peut connaître et souligne combien cette femme est fidèle et dévouée, donc totalement étrangère à toute aventure amoureuse adultère. La citation peut suivre l’interprétation et le procédé repéré : Le poète met en évidence le caractère moral, intègre et fidèle de cette femme indifférente à toute sollicitation adultère soulignant à dessein le caractère quasi-religieux de son union maritale, il utilise pour ce faire une diérèse « pi-eusement » au vers 12. La citation

Emma ne constitue vraisemblablement pas une héroïne aux qualités enviées. En la décrivant, Flaubert cherche plutôt à créer une sorte d’antihéros. Aucun de ses actes ni de ses valeurs ne peut-être considéré en tant que modèle moral : de fréquents adultères et trahisons, un cruel endettement et une grande naïveté lui valent plutôt un certain dégoût de la part du lecteur. Le personnage n’a rien d’exceptionnel, il est cette fois un être banal, commun, imparfait, qui a lui aussi ses défauts, se rapprochant

six nouvelles : La Femme adultère, Le Renégat ou un esprit confus, Les Muets, l’Hôte, Jonas ou l’artiste au travail et La Pierre qui pousse. On signalera brièvement, d’une nouvelle à l’autre, la variété des tons et de la technique du récit ; la richesse des thèmes offrant de multiples interprétations possibles sera plus précisément évoquée dans la deuxième partie de l’étude intitulée « Analyse du recueil ». Une dernière partie analysera l'art du récit. La Femme adultère est le récit du voyage d’un

d’enfants, pour soustraction des clés (une clé, la femme n’a pas le droit de voler la clé de la cave), pour adultère. Si le mari décide de la répudier pour un autre motif, la loi ordonne qu’une partie des biens du mari doive aller à la femme et l’autre partie à des ** métères (dieu). Si on regarde les textes de Denis Ladigarce (historien grec qui a vécu a Rome) : peine de mort si adultère, peine de mort si la femme est convaincu de boire du vin. *patrimoine partagé en 2. ** Déméter Clé de la cave

celles du droit romain. Les clercs médiévaux ne retiendront que la partie pénale: parmi les 15 titres conservés, 3 traitent des délits sexuels: IV « Des adultères », V « De ceux qui souillent » et VI « Des noces incestueuses ». Dans un ordre croissant, l'adultère est le délit le moins grave (la Lex Julia de adulteriis permettait de tuer les adultères ou, faute de punition familiale, de les accuser pour obtenir la peine publique). La protection du mariage est ici plus intéressant pour l'Eglise que l'honneur