Affaire Omar Addad

L'affaire Omar Raddad Le meurtre Le 23 juin 1991, la porte de la cave de la villa La Chamade, située près de Cannes, est démontée par les policiers qui découvrent Ghislaine Marchal, la propriétaire de la villa '' baignant dans son sang, le crâne fracassé, la gorge entaillée, un doigt sectionné, le corps transpercé de coups de couteau ''. La porte était barricadée de l'intérieur par un lit pliable, une barre de fer et différents objets lourds. Sur le mur est inscrit une phrase écrite avec

Conclusion personnelle TPE Dans le cadre de notre TPE nous avons choisie de prendre pendant quelques temps le rôle de scientifiques ayant sur les bras une affaire de meurtre à résoudre. Nous avons donc choisi comme thème : «Résolution d’une enquête à l’aide de globules rouges », avec une problématique peu courante : « Qui est le coupable ? » Le choix de travailler essentiellement à partir de sang n’a pas été sans difficultés. En effet, pour réaliser l’expérience majeure de notre premier grand

Affaire Omar Raddad : L'affaire Omar Raddad est une affaire criminelle très médiatisée portant sur la réalité de la culpabilité du jardinier marocain éponyme condamné en 1994 à dix-huit ans de réclusion pour le meurtre d'une de ses clientes, Ghislaine Marchal, survenu en 1991. Cette dernière, âgée de 65 ans, veuve financièrement aisée, ex-épouse de Jean-Pierre Marchal dont elle était séparée depuis 15 ans à sa mort (elle n'était donc pas l'héritière de la société Marchal), vivait sur les hauteurs

11 mars 1993 - Ordonnance de transmission du dossier au Procureur général près la Cour d'appel d'Aix-en-Provence. 14 avril 1993 - Arrêt de la chambre d'accusation de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence renvoyant Omar Raddad devant la cour d'assise des Alpes-Maritimes. Du 24 janvier au 2 février 1994 - Procès devant la cour d'assises de Nice - condamnation d'Omar Raddad à 18 ans de réclusion criminelle. 9 mars 1995 - Arrêt de rejet du pourvoi en cassation par la chambre

tout de même coupable aux yeux de la société. Nous venons de voir les principales causes d'une erreur judiciaire et nous allons maintenant étudier plus en détails deux exemples assez connus de l'histoire ; l'exemple de Patrick Dils et l'exemple de Omar Raddad. L'histoire avec Patrick Dils a commencé le 28 septembre 1986, date à laquelle on trouve deux corps d'enfants de 8 ans morts. L'enquête s'orienta ver Patrick Dils peu à peu car il n'avait donné aucun renseignement sur ce qu'il faisait lors

L'affaire Omar m'a tuer 21 ans auparavant débutait une des affaires judiciaires les plus médiatisées en France. Le meurtre de Ghislaine Marchal, une veuve richissime de 65 ans, défrayait la chronique dans le pays cannois. Omar Raddad, jardinier de la victime, est inculpé et condamné à 18 ans de réclusion criminelle, notamment à cause d’une inscription en lettres de sang retrouvée sur une porte de la chaufferie, qui le désigne comme le meurtrier. Mais est-il vraiment coupable ? Pour la justice

Rapport d' enquète de Mehdi Ait Slimani et Ramazan Kaya La victime se nomme Véronique Sillere âgée de 51 ans exerçant la profession de professeur de SVT au lycée Guillaume Apollinaire a thiais . A été retrouvée morte dans une salle de cours le 26/01 a 20h00. Tout d'abord nous avons analysé l'ADN qui a été retrouvé sous les ongles de la victime . Grâce à ces expériences, nous avons pu prouver que l'ADN etait celui de J,Lagorce , Ensuite, nous avons mesuré par diffraction de la lumière les

formation politique n dans ce qui s’est produit, un ent responsable du mouvement islamiste Ennahda s’est emnée, pressé, dans la même journée, ue». de condamner «l’attaque». ocAfin de ne pas donner l’occasion au pouvoir tunisien de s’emparer de cette affaire et d’invoquer le motif du péril intégriste pour reprendre les choses en main, ce responsable a insisté sur l’idée qu’il s’agissait là d’un «acte isolé» et qu’il n’y avait «pas lieu de s’inquiéter». «On ne peut que condamner ce genre d’incident. Il