Affiche De Propagande Soviétique 1934

se sont assurés un territoire par le colonialisme. Seuls les Allemands sont cantonnés à un espace exigu, encerclés en Europe. De plus, le Herrenvolk est doublement menacé : à l’ouest, par l’ennemi irréductible, la France, et à l’Est par l’Union Soviétique, pur produit de l’internationalisme Juif : ces menaces sont mortelles. Les objectifs sont donc évidents : il faut conquérir de l’espace v ital et regrouper en une communauté raciale « Aryenne » (Volksgemeinschaft) fondée sur le « Sang et le Sol »

culturels et politiques qui accablaient l'Espagne depuis plusieurs générations. Après la proclamation de la IIe République en 1931, l'exacerbation croissante des tensions entre Espagnols culmina avec l'insurrection durement réprimée des Asturies (1934) et la résurgence de troubles civils et de violences réciproques au printemps 1936, après la victoire électorale du Frente Popular. Préparé de longue date, le soulèvement militaire et civil du camp nationaliste éclata le 18 juillet 1936, mais sa mise

» à des Etats-clients faisant parti de « l’Empire », d’où l’importance des services secrets, en particulier depuis la fin de la seconde guerre mondiale. En 1957, ALLAN DULLES déclarait que la CIA devait imiter les services de sécurité de l’Etat soviétique qui étaient un instrument de « subversion, de manipulation et de violence, qui permet d’intervenir secrètement dans les affaires des autres pays ». Les politiques d’aide au développement placent les pays récepteurs dans une situation de dépendance

de Belgrade en 1961. Neutralisme  : car ne s’appuie ni sur l’est ni sur l’ouest : Suisse, Autriche, Suède, Finlande n’appartiennent pas à l’OTAN mais sont fortement alliés aux US et à l’OTAN mais la Finlande est plus proche de l’Unio Soviétique République populaire de Chine(1949) division avec l’URSS - dès 1960 : . la révolution communiste en Chine a lieu en 1949 et Mao et Staline étaient alliés Pays communiste qui coopère fortement avec l’URSS mais il y aura une

a la veil de la 1ere Guerre mondiale est vraiment menacé par les austro hongrois, mais au lieu de faire preuve de prudence, elle se laisse déborder par ses mouvements nationalistes. Des organisations comme l’Allemagne noir ou les jeunes bosniaque affiche ouvertement le but de détruire l’empire. Certains même veulent utiliser l’assassinat politique, ils organisent au moins une douzaine d’attentas qui échouent avant celui de Sarajevo qui déclenche la guerre. B. La rivalité franco-allemande

H. LES FASCISMES C'est la troisième ligne de force de l'entre-deux-guerres, avec la crise de la démocratie classique et le rayonnement du communisme soviétique. Au départ, le mot fascisme vient de l'italien FASCIO ou Fasci italiani di combattimento, associations composées essentiellement d'anciens combattants et de bourgeois nationalistes qui s'emparent du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche

désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945). Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1920, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaisse pour celui de Führer (« guide »). Sa politique impérialiste, anti-slave, antisémite et raciste est à l'origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale et en fait le responsable de crimes de guerre et

colonial:* Exploitation économique* Destruction des cadres traditionnels* Inégalité sociale et juridique entre colons et indigènes.* Déculturation...- Des mouvements nationalistes indigènes apparaissent* Le Néo Destour tunisien et l’action marocaine ( 1934 )* Le Parti populaire algérien ( 1937 )...- L’intransigeance des puissances coloniales radicalisent les mouvements nationalistes.- Souvent dirigés par une élite occidentalisée ( le Tunisien Bourguibah est avocat l’Algérien Fehrat Abbas est pharmacien

est né de la prise de conscience de la sujétion représentée par le fait colonial. La remise en question de la domination coloniale prend sa source dans le système colonial lui même. Derrière la mission civilisatrice tant de fois affirmée par la propagande coloniale se cache en effet : -         une exploitation économique. Les colonies sont des marchés préservés pour les pays colonisateurs. Ils s’y approvisionnent en matières premières et y vendent des produits manufacturés. Le commerce se fait

l'opposition et un contrôle politique extensif de la société civile. Le nazisme s'est en partie inspiré du fascisme. Dans son acception la plus large, le terme est employé pour disqualifier l'ennemi politique. Cette acception a été employée par les Soviétiques durant la Guerre froide, dans le cadre de la « tactique du salami »[7]. Dans le débat politique contemporain, le terme fasciste continue d'être employé comme une injure. Cependant, le fascisme est encore revendiqué par certaines mouvances d'extrême