Affiche Staline

qui apparaît comme la cible privilégiée des régimes totalitaires. ¢ La manipulation des esprits - la pensée sous contrôle (ex autodafés) Ž la liberté d’expression n’existe pas + refus du pluralisme et des dissensions internes (ex ennemis de Staline écartés, nuit des longs couteaux contre les SA) - Propagande avec tous les moyens de communication à disposition sous le contrôle de l’État (rôle de Goebbels, Minculpop) Ž véhicule un message qui cherche avant tout à frapper les imaginations, à provoquer

xxè siècle a dans sa première moitié connu trois grands totalitarismes, tous européens et étant apparus à la même période. Il s'agit chronologiquement du fascisme italien emmené par Benito Mussolini, du stalinisme soviétique personnifié par Joseph Staline et enfin du nazisme allemand crée par Adolf Hitler. A partir de ce constat, nous pouvons nous demander ce qui permet de classer ces régimes sous la bannière du totalitarisme. Cela nous amène à étudier leurs caractéristiques et étant donné que celles-ci

guerre de Corée (1950-1953) : cette fois, l'une des deux superpuissances envoient ses propres troupes. Mais Staline n'ira pas jusque là. Pour la première fois, un risque de troisième guerre mondiale est apparu. B - COEXISTENCE PACIFIQUE ET DETENTE (1956-1975) 1) l'équilibre de la terreur On montrera pour commencer quels sont les éléments de rupture avec la période précédente : mort de Staline, XXème congrès du PCUS, efforts de Khrouchtchev qui consacre ce "dégel" lors de la visite officielle aux

Lénine (animateur de la révolution de 1917) - propose une nouvelle société égalitaire, évoluant vers le communisme où disparaîtraient les classes sociales et l’exploitation de l’homme par l’homme - Après 1945, modèle incarné par Joseph Staline auréolé du prestige de sa victoire contre le fascisme. ( Installe dictature à l’abri du parti communiste qui élimine toute liberté d’expression et d’opposition ( Jusqu’à sa mort, il bénéfice d’une confiance et d’une admiration sans faille

La phrase de Joseph Staline « Ce qui compte, ce n'est pas le vote, c'est comment on compte les votes » traduit bien le caractère totalitaire que cet homme désirait instaurer en Russie. Les totalitarismes ont connu leur malheureuse heure de gloire en Europe après la Grande Guerre comme au Portugal avec Salazar, en Espagne avec Franco mais particulièrement en Italie, en Russie et en Allemagne. Le totalitarisme se définit comme une organisation du pouvoir où l'État cherche à transformer et à dominer

des blocs : comment et pourquoi ? : Le monde après la guerre (savoir reconnaître Staline, Churchill, Roosevelt ) Les deux blocs : idéologie, organisation économique, alliances militaires Les raisons de la rupture 1948-1962 : La Guerre Froide 1949 : création de la RFA et de la RDA 1949 : Mao Zedong arrive au pouvoir en Chine. La Chine devient communiste 1950-1953 : guerre de Corée 1953 : mort de Staline 1961 : construction du Mur de Berlin 1962 : crise des fusées de Cuba Le monde

faire une critique de la doctrine marxiste. Le monde de 1984 ne ressemble en effet en rien à une société égalitariste. Selon ses propres déclarations, ce que dénonce Orwell dans son roman, c'est le totalitarisme qu'incarne en 1948 le régime de Joseph Staline mais, plus encore, le danger d'une généralisation mondiale de ce totalitarisme : il pense que « les graines de la pensée totalitaire se sont déjà répandues » chez la jeune classe politique de 19485. Écrivain engagé à gauche, Orwell souhaitait par

: Dans Le Salut, publié en 1959, de Gaulle dresse un portrait de Staline lorsqu'il retrace sa visite à Moscou du 2 au 10 décembre 1944. Justement, quel portrait le mémorialiste compose-t-il de « l'homme d'acier » ? Staline, négociateur zélé, cache derrière ce masque les dessous d'un tyran éclatant. Lorsque le Général de Gaulle évoque Staline, il rappelle sa « volonté de puissance ». Ce zèle qu'il consacre à ses tâches est la clé de voûte de son caractère. Il ne connait ni la « pitié », ni même

d’efforts pour se rapprocher davantage et d’établir un climat d’entente. Effectivement, depuis la disparition de Staline, en mars 1953, les États-Unis et l’URSS se sont montrés disposés à renouer le dialogue. Les deux protagonistes ont cherché à trouver les moyens pour apaiser les tensions. Moscou, avec son nouvel homme fort, en la personne de N.Khrouchtchev, le successeur de Staline, a rompu avec la doctrine Jdanov et mis en œuvre une nouvelle ligne politique dans les relations avec l’Occident

victoire des communistes en Chine en 1949 (Mao Zedong) et la guerre de Corée de 1950 à 1953 qui oppose les Coréens du Nord alliés aux Chinois et à l'URSS, aux Coréens du Sud alliés aux États-Unis qui interviennent militairement. En 1953, la mort de Staline permet un certain « dégel » des relations Est-Ouest mais cela ne dure pas. En 1961, la construction du mur de Berlin symbolise la coupure du monde en deux blocs. En 1962, durant la "crise de Cuba", le président américain, Kennedy, obtient du Soviétique