Affiche

L'Affiche rouge est une affiche de propagande placardée dans toute la France dans le contexte de la condamnation à mort de 23 membres des FTP-MOI ( francs tireurs et partisans - mains-d'oeuvre immigrés) de la région parisienne, le 21 février 1944. Les forces d'occupation placardent l’affiche, de grand format (120 x 80 cm), sur les murs de très nombreuses villes. Éditée à près de 15 000 exemplaires.Cette grande affiche est conçue selon une mise en page agressive qui veut faire peur et souligne l’aspect

strophe évoque les 2 réactions des habitants des villes, face à cette affiche: - le "jour" , l'indifférence semble régner, renforcée par l'emploi de 2 expressions vagues: "les passants" (GN , avec un déterminant globalisant, non caractérisant), et "Nul" (pronom indéfini) -la "nuit", agissent "des doigts errants": cette métonymie traduit un combat collectif, clandestin, qui va renverser totalement la signification de cette affiche, en y ajoutant la mention "morts pour la France" (inscription qu'on

L'affiche rouge Le 21 février 1944, pendant l'occupation allemande, les murs de grandes villes françaises sont couverts de grandes affiches rouges qui annoncent l’exécution de 23 « terroristes »,fusillés au Mont Valérien appartenant au groupes dirigé par Manouchian, membre des FTP (Francs Tireurs Partisans ) qui avaient organisé des actions de guérilla contre l'occupant allemand. Missak Manouchian est né en 1906 a Adiyaman dans l'Empire ottoman, et est mort fusillé au

Le 21 février 1944, les murs de Paris se couvrent de grandes affiches rouges. Elles font état de l'exécution au mont Valérien de 23 «terroristes» membres d'un groupe de FTP (francs-tireurs partisans). Le chef de ce groupe de résistants s'appelle Missak (Michel) Manouchian. Il est né en Arménie 36 ans plus tôt et a été marqué par le génocide arménien. Quand il arrive en France, en 1924, il apprend le métier de menuisier et adhère au syndicat communiste, la CGTU. Au Parti communiste, il fait partie

côté, une femme plus âgée. L’intérieur est riche et luxueux, on sait d’après le titre que c’est une partie de leur salon. L’effet d’ombres et lumière fait un peu peur et donne un aspect fantomatique à la jeune fille sans sourire. Cela rappelle une affiche de film, cet aspect de cette œuvre me rappelle les photographies de Lorca DiCorcia, ces dernières flottant elles aussi entre réalité et fiction. De plus, le format enrichit cette hauteur que les personnages ont sur nous. La troisième et dernière

SOMMAIRE INTRODUCTION I-DEFINITION II-PROCESSUS DE CONCEPTION D’UNE AFFICHE PUBLICITAIRE II.1-CONNAÎTRE LES BESOINS, CONSIGNE ET CONTRAINTE II.2-CONNAISSANCE SUR LE SUJET II.3-OBJECTIF DE COMMUNICATION II.4-IDENTIFICATION DU PUBLIC CIBLE II.5-l’IDEATION II.6-LE VISUEL III-COMPOSANTES D’UNE AFFICHE PUBLICITAIRE III.1-L’IMAGE III.2-L’ACCROCHE III.3-SLOGANS III.4-LE MESSAGE III.5-LOGO CONCLUSION INTRODUCTION À l'origine collée sur les murs, dans les lieux publics, L'affiche

Affiche de propagande de Staline 1934 Affiche de propagande de Staline A quelle fin Staline utilise-t-il l’affiche de propagande ? I. Présentation Cette œuvre est une affiche de propagande réalisée par Denu Danopykob partisan du parti communiste de l’union soviétique, à l’occasion de du 17ème congrès en 1934, pour la population soviétique. On définit la propagande comme l’ensemble des mesures prises pour répandre une idée, pour agir sur la perception d’un évènement, pour influencer

en 1944 et a été placardée dans les rues de toutes les villes de France. Cette affiche a été placardé pour rappeler pendant la seconde guerre mondiale que le communisme et les résistants sont pour la plupart des Juifs ou des étrangers qui veulent envahir le pays. Ses auteurs On se connait pas le nom de l'auteur de cette affiche. On sait juste que c'est le centre d'étude antibolchévique qui a propagé cette affiche dans la France. Le CEA ( centre d'étude antibolchévique ) est une organisation

une grande souplesse. Un poème polyphonique Le poète s’adresse d’abord directement aux résistants (« Vous n’avez demandé la gloire ni les larmes») pour rappeler qui ils furent et quel était le sens de leur engagement. Il évoque ainsi cette « Affiche rouge » dans laquelle la propagande nazie les présentait comme des criminels, et qui est devenue le symbole même de la Résistance. La deuxième voix qui s’élève ensuite est celle de Missak Manouchian : Aragon cite directement la dernière lettre que

Analyse de l’affiche « Beat back the Hun with Liberty Bonds ». Affiche de propagande américaine datant de la 1ère guerre mondiale, invitant les Américains à contribuer financièrement à l’effort de guerre américain en Europe, contre « les Huns », c’est-à-dire les Allemands. Publicity campaigns for the Treasury Department's Liberty Loan bonds produced some of the war's most compelling - and gruesome - posters. Many posters promoted German hatred, such as this one, showing a blood-thirsty Hun looking