Affreux

doivent tout conclure, il a bientôt tourné la tête de notre chère fille, il en a bientôt effacé son rival.     Il restait pourtant à Mlle de Faxelange des moments de souvenirs, où des larmes coulaient involontairement ; elle éprouvait des remords affreux de trahir ainsi le premier objet de sa tendresse, celui qu'elle avait tant aimé depuis son enfance...« ;  ;qu'a-t-il donc fait pour mériter un tel abondant de ma part ? se demandait-elle avec douleur. A-t-il cessé de m'adorer ?...hélas, non, et je

violence de cette amour est visible à travers le champ lexical de la fatalité : « peur » (v.1), « horrible » (v.4), « affreux » et « abîme » (v.6), « terreur » (v.15), « redoutable » (v.22), « haine » (v.31) …, on constate énormément de mot à connotation péjorative dans cette scène. De plus, l’amour impossible qu’éprouve Ruy Blas pour la reine est désigné comme : « un poison affreux » (v.6), ce qui peut attirer l’attention puisque Ruy Blas va effectivement se suicider en s’empoisonnant. La phrase :

choses les plus viles, Et s'introduit en roi, sans bruit et sans valets, Dans tous les hôpitaux et dans tous les palais. Le Soleil Commenté Le Soleil Commenté Les Aveugles Les Aveugles Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux! Pareils aux mannequins; vaguement ridicules; Terribles, singuliers comme les somnambules; Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux. Leurs yeux, d'où la divine étincelle est partie, Comme s'ils regardaient au loin, restent levés Au ciel;

abandonnent, Mais ce qui est si fascinant c'est que malgrè ça ils vous passionent, Même après une trahison, vous les aimez toujours avec autant de conviction. De devoir apprendre à vos coeur la force d'évacuer, tout en demeurant habité. Par un affreux sentiment, qui vous rongent peu à peu et lentement. Apprendre à pleurer en souriant, à s'en aller tout en aimant. Sagesse.

Rabelais de rabaisser les Théologiens de la Sorbonne qui sont encore ancrés dans le monde médiéval. La guerre picrocholine (guerre stupide pour quelques galettes de froment) est une parodie des romans de chevalerie. Frère jean va se livrer à un affreux carnage qui n'est pas du tout en accord avec la foi, puisqu'il fait égorger les survivants de la guerre, après les avoir fait se confesser.

foret pour y habiter et pour chasser , tous guerriers qui tentaient de rentrez dans la foret , étaient attrapé par des lianes d'arbres et étouffés .Parmi les villageois vivait un prince , un homme fort et courageux qui décida d'aller combattre cet affreux monstre seul, le prince était malin car il savait très qu'à la nuit tombée la foret et le monstre étaient endormie et qu'il pourrait allé combattre le monstre sans inquitude.Le lendemain il partit dans la foret , tous était sombre et calme , il sortit

personne qui vient se mêler au combat, nous savons dors et déjà que Hippolyte n’as aucune chance face a ces deux adversaires. La première fois ou Poséidon intervient est au vers 42 « en ce désordre affreux , Un dieu qui d’aiguillon pressait leurs flancs poudreux » , On observe une hyperbole épique « désordre affreux »Vers 42, entrée en scène d’un dieu qui prend pars au combat en piquant a laide de son trident les flancs poussiéreux des chevaux d’Hippolyte pour les presser. Ce qui entraîne la mort violente

sautent avec furie » v.13 = METAPHORE Les cloches marquent la fin du combat intérieur du poète · è  « Des cloches tout à coup sautent avec furie / Et lance vers le ciel un affreux hurlement » v.13 = LOCUTION ADVERBIALE DE TEMPS « tout à coup » Le son est soudain et surprenant + insupportable (comparé à un « affreux hurlement ») ; la lutte prend fin de manière soudaine et inattendue èVers 15-16= DIERESE SUR «opiniâtrement» + LEXIQUE DE LA PLAINTE («geindre» «esprits errants») + PLURIEL SUR

conjugale, à savoir la relation maître-esclave.   III. Le procès du sérail et de la tyrannie  Roxane inverse les rôles et montre la vraie nature du sérail. Il s’agit d’un lieu " affreux " qu’elle a dû elle-même transformer en " un lieu de délices et de plaisir ". L’expression renforce, par antithèse, le sens de l’adjectif " affreux ". Elle signale le clivage entre le maître auquel sont réservées les femmes et celles-ci qui n’y trouvent qu’horreur et abomination. La caractérisation des gardiens par l’adjectif

humaine » illustrent parfaitement les remarques de Camus sur le roman et sur le héros du roman. Effectivement, les romanciers ont tous créé un univers ou leur héros n’aura pas d’échappatoire face à son destin. L’univers de Roxane (Texte 1), est un « affreux sérail » ou des « gardiens sacrilèges ont répandu le plus beau sang du monde ». Roxane est prisonnière. L’univers de madame Bovary (texte 2), est une ville de province proche de Rouen ou elle s’ennuie, et ou elle se sent prisonnière. Cette ville de