Affreux

« mort » (l.16), « prisonniers amaigris » (l.18), « souffrants » (l.20), « faibles » (l.21), « sceau du mal » (l.24), « mal » (l.25), « monstre » (l.26), « atrocités » (l.33), « violents » (l.35) « tuait » (l.40) , « furieusement » (l.43), « sadisme affreux » (l.46), « assassinait » (l.51), « martyre » (l.53), « frappant » (l.53), « plaies » (l.54) etc. De plus, l'auteur le décrit presque comme étant un animal féroce, il le déshumanise, lui fait perdre toute émotion ou tendresse humaine. « L'Hauptscharführer

cacophonie de bruits très désagréables tels : « un affreux hurlement » vers 14 et « geindre opiniâtrement » vers 16. L’auteur semble être en proie à des hallucinations ; la prison qu’il décrivait dans les trois premiers quatrains et qui était extérieur semble maintenant être dans sa tête. Pour rendre compte des véritables hurlements qu’il entend Baudelaire utilise des hyperboles comme : « sautent avec furie » vers 13. « Lançant vers le ciel un affreux hurlement » vers 14 peut faire penser à une plainte

autre part, l’auteur insiste fortement sur le sentiment de désespoir et celui de la mélancolie qui envahissent tous deux un corps victime de Spleen, comme nous le montre le champ lexical de la souffrance: « proie », « ennuis », «gémissants », « affreux », « hurlement », « pleure » ainsi que « despotique » qui est omniprésent dans le texte et montre ainsi que la souffrance est présente tout au long de la crise, mais qu’elle est également mentale et éveille particulièrement l’ouïe comme le prouve

singularité; surprenant.) de ces badauds est plutôt superficielle: elle ne correspond à rien du désir louable de s’intéresser à tout ce qui concerne son Pays, à lui, L’étranger (= ? ). * II : (L 14 – 29) « J’entrai tout à coup dans un néant affreux. » (L 23) Ce second paragraphe (L 14 à 29) approfondit l’étude du défaut des Parisiens qui vient d’être relevé, révélé, critiqué : * Il s’agit d’une curiosité qui n’est ni scientifique, ni délibérément malveillante, mais indiscrète et embarrassante

l’extrême rapidité du montage et de l’augmentation du niveau sonore. » Mireille Chalvon doit sa modération au souvenir des controverses suscitées en 1977 par Goldorak, quand l’ennemi était nippon, ou même par Casimir traité à ses débuts de « monstre affreux qui fait peur aux enfants », et depuis adoré des familles. La violence d’aujourd’hui sera-t-elle la limonade de demain ? D’après Claire Ulrich, L’Événement du jeudi, 2 au 8 février 1995. |Thèse défendue |

fureur ». allitération en [f], « Phèdre » et «fureur » se répondent, la fureur de Phèdre est personnifiée. Elle emploie encore la troisième personne du singulier « veuve de Thésée ». elle se considère comme un monstre, se compare aux « monstres affreux » tués par Hippolyte v.701. « la veuve de Thésée ose aimer Hippolyte », c'est un crime, Phèdre=criminelle=monstre 2ème partie rédigée : Phèdre sait son amour maudit, et elle rejette la faute sur les dieux. Elle se décrit « infortunée »

et trop difficiles , quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie » → antithèse suggérant que le combat à mener pour préserver sa vertu est certes difficile (intensifs « trop » + adjectifs péjoratifs « rudes, difficiles, affreux ») mais noble et héroïque car il exige de l’individu une grande force

le parricide et l’inceste qui désolent une famille, et la contagion qui ravage un pays ! Et quel exemple plus frappant du ridicule de notre théâtre et du pouvoir de l’habitude, que Corneille, d’un côté, qui fait dire à Thésée, Quelque ravage affreux qu’étale ici la peste, L’absence aux vrais amants est encor plus funeste ; et moi qui, soixante ans après lui, viens faire parler une vieille Jocaste d’un vieil amour, et tout cela pour complaire au goût le plus fade et le plus faux qui ait jamais

vendeur de voitures pas très honnête, l'a placé entre les mains de la redoutable Mlle Le gourdin : une terrifiante directrice qu'il a rencontré alors qu'elle venait de lui acheté une voiture.                Ce que fait Mlle Legourdin aux enfant est si affreux que personne ne croit ces derniers lorsqu'ils s'en plaignent (toutefois les parents sont aussi effrayés par la directrice que leurs gamins).               Mlle Candy, la maîtresse de Matilda, est la première à reconnaître combien la petite fille

Objet d'étude: La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle Baudelaire, Les Fleurs du Mal , 1857. Spleen ( LXVIII) Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et