Affreux

gros problème c'est pour rédiger le développement. Déjà j'arrive pas à établir un bon plan et après quand je l'ai, n'analyse le texte ça ça va je trouve des figures de styles et des procédés mais après quand il faut les organiser dans le plan c'est affreux mais j'y arrive pas je sais jamais quoi mettre avec quoi et même après je sais pas interpréter ce que j'ai trouvé. En fait en gros je sais faire que l'introduction et la conclusion à part l'ouverture parce que c'est dur mais bon à ce qu'il parait

mais bientôt à son tour Un aigle au bec tranchant dévore le vautour; L'homme d'un plomb mortel atteint cette aigle altière: Et l'homme aux champs de Mars couché sur la poussière, Sanglant, percé de coups, sur un tas de mourants, Sert d'aliment affreux aux oiseaux dévorants. Ainsi du monde entier tous les membres gémissent; Nés tous pour les tourments, l'un par l'autre ils périssent: Et vous composerez dans ce chaos fatal Des malheurs de chaque être un bonheur général! Quel bonheur! ô mortel

Hélas ! je ne t'ai pu parler que de toi-même ! Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour : Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte ! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper ; Voilà mon cœur : c'est là que ta main doit frapper. Impatient déjà d'expier son offense, Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice

De la peine ? — Non, non, pas de la peine ! — Du plaisir ? — Du plaisir, ah ! non, pas du plaisir ! — Quoi donc, mon amour ? Je t’en prie, dis-moi tout… Si tu savais… Dis-moi ce qu’on éprouve. — Mon Dieu ! est-ce qu’on peut dire ça ?… C’est affreux, ça vous emporte, oh ! si loin, si loin ! J’ai plus vécu dans cette minute-là que dans toute ma vie passée. » Les dents serrées, n’ayant plus qu’un bégaiement, Jacques cette fois l’avait prise ; et Séverine aussi le prenait. Ils se possédèrent, retrouvant

les enfants qui travaillent, actuellement dans le monde devraient être forcés à arrêter car c’est inadmissible que de pauvres petits enfants ruinent leur enfance à cause d’un travail, que les enfants deviennent analphabètes ; en plus que ce soit affreux qu’ils travaillent , ils ne sont pas du tout bien payés ( ils travaillent très dur et ont de tout petits salaires). le travail des enfants devrait être définitivement interdit pour qu’ils puissent bénéficier de meilleures conditions pour leur développement

battement de la pendule, le bruit du feu, et Charles, debout pis de sa couche, qui respirait. - Ah ! c'est bien peu de chose, la mort! pensait-elle ; je vais m'endormir, et tout sera fini? Elle but une gorgée d'eau et se tourna vers la muraille. Cet affreux goût d'encre continuait. - J'ai soif... oh ! j'ai bien soif soupira-t-elle. - Qu'as-tu donc? dit Charles, qui lui tendit un verre. - Ce n'est rien!... Ouvre la fenêtre..., j'étouffe! Et elle fut prise d'une nausée si soudaine, qu'elle eut à peine

Il se réveilla brusquement. Tous les passagers gisaient inconscients, le front ensanglanté. Il avait un affreux mal de tête, la bouche pâteuse et les yeux exorbités. Soudain, une explosion le projeta à vingt mètres. Les réservoirs d'essence venaient d'exploser. Le choc fut bref et il se releva en boitant. Il marcha environ un kilomètre et s'arrêta sur une plage paradisiaque. Malheureusement, son cas ne ressemblait guère au paradis. La faim

bavards, hypocrites, orgeuilleux et lâches, méprisable et senduels; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et depravées;[...] il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de êtres si imparfaits et si affreux. »

controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris Vian est condamné en 1950 pour outrage aux bonnes . S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux et Elles se rendent pas compte.Boris Vian (10 mars 1920, Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine), France - 23 juin 1959, Paris) est un écrivain français, ingénieur de l'École centrale, inventeur, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste)

dégoûtant, dit Isis. Ce matin, on l’a mené chez le tondeur pour qu’il soit beau, on l’a fait baigner et tout, et à deux heures, trois de ses amis étaient ici avec un ignoble vieux paquet d’os et il l’on emmené. Il va sûrement revenir dans un état affreux !... (l. 797 à 801) » La parodie, ici, se trouve dans l’excessivité des actions que les personnages ont à l'intention du chien, qui est alors traité presque de la même manière qu’un être humain. On peut pour le constate en relevant les verbes dont