Afrique équatoriale

développement et quipréconise que le développement culturel et la planification doivent y être intégrés et doivent prendre en compte d'autres secteurs tels que le développement économique, social et humain- a été reconnue à l’échelle internationale et en Afrique. Lors de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles de 1982, la Déclaration de Mexico sur les politiques culturellesa été élaborée. Elle préconise ce qui suit: «La culture constitue une dimension fondamentale du processus

similaires. Ces compositions font du culte haïtien une version souvent appauvrie des systèmes religieux africains. Le panthéon haïtien incorpore des divinités des esclaves originaires du Congo ou de l Angola et garde en mémoire des dieux disparus en Afrique. Histoire du vaudou A l’époque coloniale le culte des esprits est un refuge pour des esclaves promptement convertis sans instruction religieuse (cette dernière étant un facteur d’émancipation aux yeux du maitre). C’est st Mery qui relate

planète par les gouvernements et les organisations humanitaires. L’Unicef, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance, dépêche des professeurs en Afrique ou en Amazonie pour apprendre aux enfants à lire et à écrire. Il existe encore quelques rares endroits sur la planète où l’écriture est méconnue ou n’est pas utilisée sous la forme que nous connaissons. En Afrique noire, en Océanie, dans les cultures chamaniques d'Asie centrale et septentrionale, chez les Shilluk du haut Nil, dans la tribu achanti des

Le terme d’ethnophilosophie a été créé par le Camerounais Marcien Towa pour désigner un courant de pensée à dominante africaine, inspiré par l’ouvrage de Placide Tempels sur la Philosophie bantoue, et qui consiste à identifier la philosophie d’une société à sa vision du monde, à son système de valeurs ancré dans le fond du psychisme et lisible à travers mythes et rites, proverbes et coutumes. Selon cette conception, toute société dite traditionnelle aurait une philosophie implicite que le philosophe

les crises financière et alimentaire sont passées par là, déposant leur lot de désastres sociaux. 64 millions de personnes supplémentaires tomberaient en 2010 dans l’extrême pauvreté. D’autant que la crise limite l’accès à l’emploi de qualité. En Afrique subsaharienne, seule 13% de la main d’œuvre est salariée. La précarité de l’emploi empêche de dépasser le niveau de subsistance. Aussi, 64% des travailleurs vivent avec moins de 1,25 dollar par jour, selon les estimations de 2009.

Faculté des sciences d’économie et de gestion de Nabeul Rapport élaboré par : 1 master prof en Marketing Touristique Festival de DOUZE | | | | | | |PLAN :

Le pétrole rapporte au pays près de 58 millions de dollars par an et assure 90 % des exportations, 80 % des ressources fiscales et 42 % du PIB. Avec une production supérieure à 700 000 barils par jour, l’Angola se place dans le deuxième rang en Afrique subsaharienne derrière le Nigeria et fournit près de 6 % de l’approvisionnement mondial. La découverte de nouveaux gisements en 1998 devrait entraîner un doublement des ventes. Ensuite, le diamant constitue le deuxième produit

PERCEPTION DE L’ENVIRONNEMENT AU NIVEAU DE L’AFRIQUE Par Mahi TABET AOUL La prise de conscience de la question environnementale, en Afrique, a été brutale car conjuguée à une perte soudaine de ressources naturelles et de capacités de production. En effet, au cours de la décennie 70 du siècle dernier, le problème de l’environnement a pris une nouvelle dimension et un tournant décisif avec l’occurrence de sécheresses sans précédent dans l’histoire qui ont ravagé le Sahel en provoquant des catastrophes

L’eau fait partie d’une des ressources nécessaires à la survie humaine. Ne pas disposer d’eau potable en quantité suffisante dans une région constitue donc un handicape considérable pour les populations, à la fois sur le plan de l’hygiène et sur celui de la santé, mais également à l’échelle nationale elle ralentie la croissance des pays. Aujourd’hui c’est 35 pays qui sont sévèrement touchés par ce qu’on pourrait appeler « la crise de l’eau ». D’autre part en 2025 c’est 1/3 de la population du globe

quelques exemples. Ainsi, 16 des 19 programmes engagés et supervisés par le FMI et mis en œuvre en collaboration avec la Banque mondiale en 2008–2009 ont augmenté les dépenses sociales inscrites à leur budget pour 2009. Neuf d’entre eux concernaient des pays subsahariens : Burundi, Congo, Côte d’Ivoire, Libéria, Malawi, Mali, Niger, Togo et Zambie. Plusieurs pays africains dotés de stratégies de réduction de la pauvreté ont maintenu les financements destinés aux secteurs sociaux