Afrique subsaharienne

remontent loin dans l’histoire. Dans son ouvrage, L’Afrique dans la mondialisation, Makhtar DIOUF suit l’évolution de ce phénomène dans l’histoire du continent africain et montre la continuité de la mondialisation en Afrique. Selon DIOUF, la mondialisation a suivi trois étapes en Afrique : 1) la colonisation, 2) la période des indépendances (une période favorable), et 3) la nouvelle mondialisation. Dès ses premiers contacts avec l’Occident, les intérêts commerciaux des « maisons de commerces » et les

porteuses pour les exportations ; la promotion de l’intégration régionale ; la dynamisation du secteur privé. Les observations empiriques et les comparaisons internationales montrent aujourd’hui que le secteur privé n’est pas développé en Afrique subsaharienne à cause de la non-stabilisation du cadre macroéconomique et du cadre institutionnel non favorable. Il revient alors à l’Etat d’occuper une place prépondérante en matière de financement de l’économie, mais il n’en a pas toujours été ainsi

lieu en Afrique noire sont comme la révélation d’un nouvel esprit, la fusée fulgurante, le signal lumineux, d’un nouvel avenir pour ce continent. Elles ont constitué pour certains pays d’Afrique la clef pour l’avènement du renouveau démocratique. C’est dans le souci de penser l’esprit authentique de ce « phénomène social total » que F. Eboussi Boulaga, après son voyage au Bénin et au Congo pour le compte du journal Le Messager rédige cet ouvrage intitulé Les conférences nationales en Afrique noire

celle en cours du gouvernement multipartite initié par le président Malien A. T. Touré peuvent inciter à une sérieuse réflexion, surtout après l'expérience universellement louée du premier gouvernement de large union nationale de l'après Apartheid en Afrique du Sud formée sous l'égide du Président N. Mandela... Une grande attention devrait être bien sûr portée à la représentation nationale. En particulier sa composition dont l'importance n'échappe à aucun observateur. Un débat récurrent à ce propos

aller soutenir le développement des pays d’accueil au détriment de ceux qui ont pendant des années misés sur eux pour leur avenir. Ainsi, selon une étude de la Banque mondiale, la part de l’enveloppe sectorielle allouée à l’enseignement supérieur en Afrique est particulièrement importante. Autour de l’année 2003 par exemple, elle représentait un peu plus de 18% du budget de l’État contre 17% dans les autres pays à faible revenu. L’enseignement supérieur public dans les pays africains coûte ainsi en moyenne

habitant était parmis les plus faibles (inférieur à 500 $ par habitants/an). Ces pays essentiellement d’Afrique Subsaharienne n’ont aucune richesse naturelle, des Etats inexistants, une population majoritairement analphabète donc n’ayant aucun ressor de developpement. Dans le Nord, l’IDH stagne en majeur partie, elle augmente vers la Russie. Dans le Sud cela va de la diminution (exemple en afrique du sud) à la trè haute augmentation (exemple en Inde). Dans le monde deux pays diminuent seulement. L’évolution

1,3% par année persiste, la population doublera encore en seulement 50 ans. Chaque jour, il y a environ 200 000 naissances soit la population de la Nouvelle-Calédonie. Le taux d’accroissement varie d’un pays ou d’une région à l’autre c'est en Afrique qu'elle est la plus importante mais c'est en Europe et en Amérique du Nord que la croissance de la population est la moins forte. Nous pouvons aussi voir que les ressources vitales à notre survie (la nourriture, l’eau douce) sont en danger à

l’histoire en 2008. Le riz demeure un aliment de base politiquement important des pays asiatiques où il est produit, ainsi que dans un nombre croissant de pays africains. Sur la base de l’estimation FAO , plus de 115 millions de ménages en Asie et Afriques vivent de ces Activités rizicoles 2. Observation de l’offre sur le marché du RIZ 1. les conditions de productions Le riz est la deuxième céréale alimentaire produite dans le monde, avec un volume annuel estimé à 699 millions de

larevuenouvelle, n° 10 / octobre 2004 dossier O.N.U. et Afrique La gestion des crises : une gageüre ? Les guerres déchirent l’Afrique, détruisant le tissu social, fragilisant les économies. L’Organisation des Nations unies a fait la preuve de son incapacité à gérer ces conflits, conduisant à mettre en place d’autres initiatives, africaines, par exemple. Les « partenaires » africains devraient prendre en charge leurs conflits, théorie qui permet aux autres États de se défaire de toute responsabilité

biens intermédiaires et biens de consommation. 96% des importations françaises en provenance du Gabon concernent des matières premières (pétrole, bois et manganèse). Le Gabon est ainsi la deuxième destination d’investissements français en Afrique subsaharienne après le Nigeria. Avec 800 millions de dollars de stock, les investissements français représentent plus de 80% du total. La décision de plusieurs groupes français (Comilog par exemple) et internationaux opérant au Gabon de maintenir leur niveau