Agent général d'assurance

« Grosse aventure » signifiait qu'il y avait un côté hasardeux. C'était une somme d'argent qui était avancée a un commerçant pour faire un échange maritime : si on perd la marchandise on perd tout, sinon on gagne beaucoup d'argent. C'était une sorte d'assurance qui ressemble plus à un prêt aléatoire. On retrouve l'aléa et la prise de risque, ce qui est toujours le cas aujourd'hui. On retrouve aussi derrière la prise de risque, l'avantage économique, ce qui est toujours d'actualité. À la fin du 17ème

REMERCIMENT……………………………………………………………………………  INTRODUCTION………………………………………………………………………….... Chapitre introductif : ……………………………………………... I. Introduction :…………………………………………………………………………... Chapitre 1 : …………………………………………….. I. Le secteur d’assurance au Maroc :…………………………………………………... 1. Généralités :…………………………………………………………………. 2. Un symbole du changement pour Axa :  :…………………… 3. Organisation juridique…………………………………………………….. II. Axa Assurance Maroc :………………………………………………………………

Georges-Henri Levy Direction générale Groupe Molitor Astrid Cambournac Responsable Département marketing Groupe Molitor Laurent Ouazana Direction générale Cipres vie ■ Le modèle courtier grossiste est antérieur aux années 1980 et a été développé principalement, à l'origine, sur des produits IARD. Par la suite, les stratégies des sociétés d'assurances, et en particulier leur regroupement, ont eu notamment pour conséquence de favoriser l'émergence de produits d'assurance de « niche », commercialisés

période par l'intensification de la concurrence qui en a résulté. L'environnement et les besoins ayant caractérisé l'émergence du marketing comme discipline d'analyse du marché sont en particulier : * L'amélioration de la circulation d'information générale et commerciale par l'organisation des espaces publicitaires et les divers progrès techniques. * Besoin et utilisation d'études de marché à partir de 1910[5] pour s'informer sur les opportunités du marché. * Besoin d'une professionnalisation

les budgets publics sont restés très restreints, n’assurant que les frais engendrés par la guerre, la justice, l'administration générale (Cour, diplomatie,…). Ainsi, certains Etat ont pu ne pas avoir vraiment recours à la fiscalité, bénéficiant des « ressources du domaine ». - forme normative ou réglementaire ou qualitative = normes juridiques s'imposant aux agents (législation). A la différence de la présence budgétaire, il est difficile de se doter d'indicateur pour apprécier le poids de

contrat d’assurance est défini comme celui par lequel une personne dénommée assureur s’engage à assurer la couverture d’un risque en cas de réalisation de celui-ci moyennant le versement d’une somme d’argent par une autre personne désignée par souscripteur, cette somme d’argent étant définie comme une prime. Le droit des assurances dérive du contrat d’assurance en même temps qu’il encadre ce contrat. Ces dispositions règlementent non seulement la relation juridique née du contrat d’assurance mais également

cette première étape du cours se structure autour des trois thèmes suivants : A. le système financier et l’importance de l’intermédiation financière; B. les principaux intermédiaires financiers; C. le rôle des assureurs (sociétés/compagnies d’assurances) en tant qu’intermédiaires financiers. I. Le système financier et l’intermédiation financière I. A. Le système financier, base du « financement des investissements productifs » De façon conventionnelle, en économie le « système financier » se

qui naît au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale est financé par l'impôt, fournit des prestations uniformes à tous les membres de la société, les prestations ne fournissant en général que des minima assez bas[]. Le régime français de l'État-providence combine ces deux aspects. Outre l'objectif d'assurances contre les risques et aléas de la vie, l'État-providence poursuit souvent un objectif de justice sociale, via certains mécanismes complexes de redistribution des richesses. 3) Enjeux

............................................................................................3 Remerciements..........................................................................................................................4 Introduction générale...............................................................................................................6 |Première partie 

...............................6 Section 1 : Le Conseil des ministres ................................................................6 Section 2 : La Commission régionale de contrôle des assurances ..................8 Section 3 : Le Secrétariat Général de la Conférence......................................10 Chapitre II : L’ordonnancement juridique ..............................................................11 Titre III : Dispositions financières ...........................................