Agriculture sur brûlis

alors que leur population est presque trois fois moindre que celle de l’Inde qui n’est que le 4e ou 5e producteur mondial. Thème 1 : Clés de lectures d’un Monde complexe 983421_ldp_geo_ter_lu.indd 6 18/04/12 15:12 3. Transport, industrie, agriculture et services sont responsables de 80 % environ de la production de gaz à effet de serre en France. Il aurait été possible de les cartographier sur le document 1 en remplissant chaque cercle de pays de la même façon que le pour le document 2. 4. Les

différentes catégories de dépendants, les royaumes de jungle étaient plus pauvres et décentrés. Leur organisation historique et écologique 3 était souvent caractérisée par une économie de subsistance basée sur la forêt : chasse/cueillette, agriculture sur brûlis et parfois prédation, quand il s’agissait des populations des collines venant piller les populations paysannes des plaines plus sédentarisées et souvent hindouisées. Les sujets du roi de Bastar, en Inde Centrale, étaient des Gond qui révéraient

subsoudanais) et la zone des savanes et forêts claires (secteur soudanais). La région étudiée est située dans le secteur forestier mésophile de la forêt guinéenne dont le climax prédominant est la forêt dense humide semi-décidue. Dans les zones soumises à brûlis, la savane guinéenne domine. La forêt primaire a partout fortement régressé et la forêt dégradée qui la remplace est caractérisée par un tapis de dicotylédones qui s’oppose au feu en saison sèche. De nouvelles espèces sont apparues, en particulier

terres (par exemple en tant que guides). Le tourisme peut encourager une gestion plus durable des terres en procurant une nouvelle source de revenus (se substituant ainsi à des pratiques non durables comme l’exploitation des forêts ou l’agriculture sur brûlis) et inciter les propriétaires à préserver la nature ou à se lancer dans l’agriculture biologique, deux types d’initiatives très appréciées des visiteurs. Les politiques doivent développer les services d’assistance, de conseils et autres qui encouragent

Infestation par les glossines ; - Erosion hydrique - Conflits aires protégées/agriculteurs - Surpâturage ; - Destruction des forêts galeries; - absence de cultures fourragères - Déforestation ; -agriculture itinérante sur brûlis - Conflits d'utilisation des terres (élevage, agriculture) - agriculture itinérante sur brûlis - Déboisement (coupe de bois de - Ensablement de la retenue d'eau -Perte de la biodiversité - Désertification ; - Forte migration des populations entraînant des conflits d’utilisation des

Bassin du Djerem - Surpâturage ; - Destruction des forêts galeries; - absence de cultures fourragères Ngaoundal Mayo-Darlé Zone de forêts humides - Déforestation ; -agriculture itinérante sur brûlis Okola Zone de transition forêt/savane - Conflits d'utilisation des terres (élevage, agriculture) - agriculture itinérante sur brûlis Yoko, Batschenga Zones de savanes arbustives - Déboisement (coupe de bois de - Ensablement de la retenue d'eau -Perte de la biodiversité Lagdo ; Tcholliré Zones

privé ; • Réformer le code d’investissement privé de capitaux étrangers pour assurer une certaine sécurité pour les investisseurs nationaux ; • Assainir le climat des affaires pour susciter l’émulation dans le secteur privé. 4- Agriculture et développement durable Les efforts d’un gouvernement UFC dans le domaine de l’agriculture porteront prioritairement sur un défi fondamental : faire de l’agriculture le soubassement du développement rural et le pilier de l’économie nationale

pourrait le croire au premier abord. Ainsi, des cultures comme celle des Chiriguanos ou des Guaranis connaissaient l’agriculture, mais restaient cependant des peuples d’une grande mobilité. Les Guaranis, par exemple, pratiquaient l’agriculture sur brûlis. Mais cette façon de faire les poussait à migrer tous les trois à cinq ans en quête de nouvelle terres à défricher. 183 Bandieri, Susana, op. cit., p. 35. 180 38 dimensions surprenantes. Ainsi, des coquilles de mollusques (utilisées de

pourrait le croire au premier abord. Ainsi, des cultures comme celle des Chiriguanos ou des Guaranis connaissaient l’agriculture, mais restaient cependant des peuples d’une grande mobilité. Les Guaranis, par exemple, pratiquaient l’agriculture sur brûlis. Mais cette façon de faire les poussait à migrer tous les trois à cinq ans en quête de nouvelle terres à défricher. 183 Bandieri, Susana, op. cit., p. 35. 180 38 dimensions surprenantes. Ainsi, des coquilles de mollusques (utilisées de façon rituelle

brindilles d’herbes séchées sont alors enflammées. La maîtrise du feu, progrès considérable, remonte à 40 000 ans environ. Le feu éclaire, rassure, chauffe, fait fuir les animaux sauvages. Il cuit les aliments, mieux conservés ainsi ; il détruit, par brûlis volontaire, les surfaces forestières à défricher. On peut aussi penser que le travail des hommes connaît une première spécialisation : ne faut-il pas garder, défendre la possession du feu ? Enfin les premières techniques nées du hasard et de l’expérience