Ah ! ça ira

bandoulière, et contemplant mélancoliquement le soleil tout prêt à se coucher, là-bas, dans la mer. – Un joli spectacle, Pascal ! – Superbe ! on ne s’en lasserait jamais. – Seriez-vous poète ? – Ma foi ! non ; je ne suis qu’un simple gabelou, mais ça n’empêche pas d’admirer la nature. Brave Pascal ! Nous causâmes longuement et j’appris enfin l’origine des appellations bizarres dont il affublait ses jeunes camarades de pêche. – Quand j’ai épousé ma femme, elle était bonne chez le sous-inspecteur

s'attendaient, avec la brosse de Teyssèdre au lointain. «Gentil, tout ça ...», fit Paul. Sa mère leva la tête: «Ça, quoi?» Du bout de l'éventail, d'un geste d'atelier il indiquait les bras nus, le dessin des épaules tombantes sous un corsage de fine batiste. Elle se mit à rire: «Oui, mais il y a ça....» Elle montrait son cou très long où des craquelures marquaient l'âge de la femme. «Oh! et puis....» Elle pensa: «Qu'est−ce que ça fait, puisque tu es beau ...» mais ne le dit pas. Cette parleuse renommée

Répond qu’elle veut les protéger. Julia dit que Jan n’est plus malade, mais qu’il ne sort pas juste parce que F.O veut garder son secret, Julia veut vraiment savoir. Julia prend la clé de la chambre de Jan. Page 20 La narratrice lui dit de ne pas faire ça, que c’est mal. Julia sait, elle s’en va et laisse la narratrice travailler seule. Au souper, F.O tremble des mains quand elle mange sa soupe. Page 21 Julia chanta ce soir-là et s’arrêta brusquement, La maison fut plongée dans le silence. La narratrice

dirait qu'il vont nous dire quelque chose sur Emma par rapport à Charles. Peut-être que Emma s'ennuie, et peut-être qu'elle n'aurait pas imaginé l'amour comme ça. « Serait-elle entrain de perdre espoir? » Au chapitre 6 on nous raconte qui était Emma avant de se marier avec Charles, c'est un passage qui ne m'intéresse pas autant que ça. Nous voyons que plus les jours passent Emma s'ennuie elle se pose même la question : « Pourquoi, mon Dieu, me suis-je mariée ? », si elle dit cela c'est qu'elle

est bizarre, il en convient lui-même, mais le motif en est pardonnable et même délicat ; c'est qu'il m'a prié de lui permettre de n'arriver d'abord chez vous que sous la figure de son valet, qui de son côté fera le personnage de son maître." MARIO Ah, ah ! cela sera plaisant. SCÈNE 3 11 Le Jeu de l'Amour et du Hasard MONSIEUR ORGON Ecoutez le reste... "Mon fils sait combien l'engagement qu'il va prendre est sérieux, et il espère, dit-il, sous ce déguisement de peu de durée saisir quelques

bizarre, il en convient lui-même,  mais le motif en est pardonnable et même délicat ; c'est qu'il m'a prié de lui permettre  de n'arriver d'abord chez vous que sous la figure de son valet, qui de son côté fera le  personnage de son maître."  MARIO  Ah, ah ! cela sera plaisant.  MONSIEUR ORGON  Ecoutez le reste... "Mon fils sait combien l'engagement qu'il va prendre est sérieux, et il  espère, dit-il, sous ce déguisement de peu de durée saisir quelques traits du caractère de  notre future et la

confirmer mes dires. Entre Lady Macbeth, avec un flambeau. Tenez, la voici qui vient! Justement dans la même tenue; et, sur ma vie! Profondément endormie. Observez-la; cachons-nous. LE MEDECIN. Comment s'est-elle procuré cette lumière? LA SUIVANTE. Ah! elle l'avait près d'elle; elle a de la lumière près d'elle continuellement; c'est son ordre. LE MEDECIN. Vous voyez: ses yeux sont ouverts. LA SUIVANTE. Oui! mais ils sont fermés à tout sensation. LE MEDECIN. Qu'est-ce qu'elle fait là?... Regardez

sais que je suis nul, mais il n’y a pas d’autre solution Il nous est impossible d’être amis quand tu passes ton temps avec une bande de Penser à toi trop souvent ne fait qu’aggraver la situation, alors n’écris plus Oui, tu me manques aussi. Beaucoup. Ça ne change rien. Désolé. Jacob. Mes doigts caressèrent la feuille, s’arrêtant sur les mots où il avait appuyé si fort sa plume que le papier avait failli se déchirer. Je l’imaginais rédigeant cette missive, traçant maladroitement de son écriture grossière

liberté, il se sentait au cœur tous les instincts du sous-off lâché en pays conquis. Certes il les regrettait, ses deux 4 années de désert. Quel dommage de n’être pas resté là-bas ! Mais voilà, il avait espéré mieux en revenant. Et maintenant !... Ah ! oui, c’était du propre, maintenant ! Il faisait aller sa langue dans sa bouche, avec un petit claquement, comme pour constater la sécheresse de son palais. La foule glissait autour de lui, exténuée et lente, et il pensait toujours : "Tas de brutes

bandoulière, et -6- contemplant mélancoliquement le soleil tout prêt à se coucher, là-bas, dans la mer. – Un joli spectacle, Pascal ! – Superbe ! on ne s’en lasserait jamais. – Seriez-vous poète ? – Ma foi ! non ; je ne suis qu’un simple gabelou, mais ça n’empêche pas d’admirer la nature. Brave Pascal ! Nous causâmes longuement et j’appris enfin l’origine des appellations bizarres dont il affublait ses jeunes camarades de pêche. – Quand j’ai épousé ma femme, elle était bonne chez le sous-inspecteur