Ahmadou Ahidjo

beaucoup marqués surtout à travers leurs sacrifices. Je ne cesserais de louer votre amour, votre courage, votre disponibilité et votre bonté. Je vous souhaite une longue vie et une santé de fer. A mon grand père Ahmadou Ndao A mes sœurs et frères : Aida, Marie, Aissatou, Cheikh Ahmadou Bamba et surtout Abdoulaye pour leurs conseils, leur soutien, leur dévouement et leur compréhension. A ma cousine Ndéye Maty Ndiaye merci pour le soutien constant et les conseils. A mon petit cousin Ablaye Ndiaye

1 www.daaraykamil.com Les Khassaides de Serigne Touba « QAÇIDAS » ne vient pas de Cheikh Ahmadou Bamba. Ce terme prend origine dans la littérature arabe particulièrement dans une de ses composantes nommée « ‘AROUD » qui renvoie à la prose et la versification. Par abus de langage, nous commettons l’amalgame entre « qaçida» qui fait référence à l’unité de prose et « qaçayid » qui est le pluriel de « qaçida ». Ainsi nous parlons de « moufrad » lorsqu’il s’agit d’un poème, de « mou sannaa

1. Nom de l’œuvre : Les soleils des indépendance 2. Nom de l’auteur : AHMADOU KOUROUMA 3. Maison d’édition : Editions du Seuil 4. Date de parution : 1970 5. Commentaire de la 1ere de couverture et de la 4eme de couverture : La couleur de la 1ere de couverture est noire et exprime la déchéance de l’Afrique et le masque qui est typique à l’Afrique. 6. Le genre littéraire : Roman à tonalité pathétique et tragique 7. Les personnages principaux : Fama Doumbouya, Salimata. 8. Personnages

IV-THEMES V-RESUME -Résumé de l’œuvre VI-BILAN -Ce que l’on a aimé -Ce que l’on na pas aimé I-PRESENTATION DE L’AUTEUR Biographie et Bibliographie Né en 1927, à Boundiali, au nord de la Côte d'Ivoire, Ahmadou Kourouma était un écrivain d’origine malinké, une ethnie présente dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest. Son nom signifie « guerrier » en langue malinké. Élevé par un oncle, il suit une scolarité à Bamako au Mali. De 1950 à 1954, (pendant la colonisation

CHEIKH AMADOU BAMBA ET LE MOURIDISME SENEGALAIS Ahmadou Bamba fut, au début de notre siècle, le « pôle spirituel » (qutb) de foules sénégalaises de plus en plus nombreuses, attirées spontanément autour de Ce « cheikh de droiture » (shaykh murshid) qui, par sa foi et sa conduite exemplaires, leur indiquait une « voie » religieuse (tarîqa), et leur apportait une règle de vie (adab). C’est ainsi que naissent les confréries populaires musulmanes, depuis des siècles, et que naquit, en particulier

Les religions et les croyances Près de 90 % de la population sénégalaise est de confession musulmane. L’islamisation du pays date du XIème siècle époque à laquelle les Almoradives (moines guerriers berbères), conquierent le Nord du Sénégal. L’apparition du christianisme est beaucoup plus récente. Souvent mêlée à ses deux religions, l’animisme, avec ses rites et ses croyances, est encore très présent. Religion musulmane Religion venue du nord par le biais du commerce caravanier, l’islam s’est

NUMÉRIQUE : Le comité national à pied d’œuvre - 26/10/2010 ENVOI DE FONDS DES ÉMIGRES A TOUBA : Quand l’informel résiste face aux structures de transfert rapide d’argent - 26/10/2010 Symposium sur le mouridisme en Mauritanie : La Fondation Cheikh Ahmadou Bamba lance le projet Sarsara - 25/10/2010 CHOC BRUTAL ENTRE DEUX LIONS : Kader Mangane envoie Souleymane Camara dans les pommes - 25/10/2010 DECOUVERTE MACABRE A THIONK-ESSYL : Un quadragénaire retrouvé mort dans la rue - 25/10/2010 |

GUERRES 1°) durant la première guerre mondiale 2°) durant la deuxième guerre mondiale V°) CAMP THIAROYE LA OU SONT TOMBES LES TIRAILLEURS SENEGALAIS VI°) COMMENT ETE PAYES LES TIRAILLEURS SENEGALAIS VIEUX MANOUMBE DIOP CHEIKH AHMADOU BAMBA DIOP ARONA MAR FATOUMATA MBAYE

Dans cet extrait (qui est le dénouement ), du roman « Allah n'est pas obligé » ,Ahmadou Kourouma nous propose une fin à la fois tragique et heureuse qui contient de nombreuses références à la religion . La fin du roman est marquée par la mort de la tante de Birahima. En effet,on peut relever à la ligne 15 «  la fosse commune dans laquelle reposait la tante » ou (L.2) «  la fosse commune où la tante a été jetée » . Sa mort est aussi accentuée par la présence du champs lexical de la religion : prier

« Allah n’est pas obligé » : c’est ce que veux affirmer Ahmadou Kourouma à travers son roman : « Allah n’est pas obligé d’être juste dans toute ces choses ici-bas ». Birahima est le narrateur d’Allah n’est pas obligé : enfant ivoirien âgé de dix ou douze ans, ce qu’il ne sait pas exactement : « Suis dix ou douze ans (il y a deux ans grand-mère disait huit et maman dix) » C’est un enfant soldat (1) : l’enfant de la rue, sans peur ni reproche : the small-soldier, qui vient de laisser tomber sa «