Aillaud

et votre expérience de spectateur. " On a souvent reproché au roman d'encourager les rêves et les illusions du lecteur. Ce reproche vous parait-il fondé ? Vous construirez votre réponse sur les œuvres romanesques que vous connaissez. " Gilles AILLAUD affirme qu'il est des pièces qui ne sont pas à « représenter mais à lire ». Vous réfléchirez sur ce propos en vous aidant des Suvres que vous avez étudiées en classe et de votre expérience de spectateur. " Attendez-vous de la poésie qu'elle nous

Educational Video Group, Inc. On pourra prendre connaissance de l’enregistrement et du texte du discours sur le site du John F. Kennedy Library and Museum : Remarks in the Rudolph Wilde Platz, West Berlin, June 26, 1963 Le tableau de Gilles Aillaud (1968) Reproduction publiée par le site de la revue Connaissance des arts On pourra consulter : Un diaporama sur la figuration narrative (Connaissance des arts) Le site de l’exposition “Figuration narrative - Paris, 1960-1972″, Galeries

introduisant la pièce aux yeux des spectateurs, elle la rend vivante et actuelle. Chaque représentation est alors une recréation de la pièce par le metteur en scène, créant un lien entre les spectateurs et les acteurs qui regardent sur scène. Mais Gilles Aillaud, scénographe de Bérénice à la Comédie Française pense plutôt qu’il existe des « pièces qui ne sont pas à représenter mais à lire », telle que Bérénice de Racine. La lecture d’une pièce de théâtre peut aider les lecteurs à percevoir au mieux l’aspect

procédé comme s’interroge Francis Huster: « Un texte de théâtre est à voir. Un texte de théâtre est à écouter. Est-ce qu’un texte de théâtre est à lire? » Ensuite, le théâtre est souvent perçu comme un art visuel et auditif, cependant Gilles Aillaud affirme le contraire en déclarant qu’il y a des pièces qui ne sont « pas à représenter mais à lire ». Le théâtre peut donc être prédestiné à la lecture. En effet, certains dramaturges ont conçu des textes qui n’exigent aucune représentation. Par

représentation comme incarnant la vocation première d’une œuvre théâtrale et enfin nous nous demanderons ce que le lecteur attend réellement de la part d’une pièce de théâtre. Le texte d’une pièce est essentiellement une œuvre littéraire. Selon Gilles Aillaud , la pièce de Racine est plus un poème qu’une véritable œuvre théâtrale et pour lui la jouer est totalement absurde. Plusieurs pièces de théâtre sont écrites exclusivement pour être lue comme c’est le cas de la pièce de Musset qui s’intitule : « un

cohérence artistique du spéctacle. Il fait des choix et met en valeur certaines choses, au détriment des autres. Au-delà des indications sur la voix, les regards et les déplacements, son rôle est de nourrir l’imaginaire de l'acteur. Dans Bérénice, Gilles Aillaud le metteur en scène s'est basé pour la mise en scène sur deux choses, le coté Titus et le coté Bérenice. Il s'est tout d'abord inspiré de l'appartement de Grüber pour le décor. Dans ce dernier, une coupole s'y trouve ayant un aspect opprimant, Rome

...................................................... Texte B. Jean Racine, Bérénice, acte V, scène 5 (vers 1303-1347) ......................................................................... Texte C. Interview du scénographe et peintre Gilles Aillaud, Théâtre aujourd’hui ............................................... Document D. Photo de la mise en scène de Klaus Michael Grüber à la Comédie-Française................................. Annexe. Bérénice, liste des personnages....................

rêvent les jeunes filles) b) Le théâtre " injouable " : Victor Hugo (Cromwell : plus de 60 personnages, sans compter les foules, 74 scènes, 6 000 vers). c) Le théâtre de Racine n'est pas très théâtral. C'est le point de vue du scénographe Gilles Aillaud qui a participé à la mise en scène de Bérénice par Klaus Michael Grüber (Comédie Française,1984). Pour cet artiste, la pièce de Racine est plus un poème élégiaque qu'une véritable œuvre théâtrale. Le mettre en scène est presque aussi absurde qu'une

L’ANTI-URBANISME AMERICAIN : JEFFERSON, THOREAU, SULLIVAN 1830 1860 CULTURALISME : HOWARD (inventeur de la cité-jardin, charnière entre pré urbanisme et l’urbanisme), SITTE, UNWIN NATURALISME : WRIGHT. ANTHROPOLIS : GEDDES, MUMFORD, HAZEMANN, AILLAUD,… Formes universelles (géométrie, formes simples, orthogonalité). Détachement par rapport au site (relatif) au profil d’un idéal. Importance de la santé et de l’hygiène (soleil, verdure,…). Abolition de la rue. Tissu urbain peu dense. Construction

TSCHUMI REICHEN et ROBERT LES GRANDS PROJETS DU SEPTENNAT. Les Motivations sont : 1. Enfants. 2. Placements financiers. 3. Territoire (sécurité dans espace clos). 4. Ecologie. Pyramide du Louvre Sous De Gaulle, Pei et sous Pompidou, Emile Aillaud mais sans suite. Sous Giscard d’Estaing, Willerwal. POPB Sous Mitterrand, Otto Von Spreckelsen : on crée l’environnement en alignement mais on décentre le bâtiment par rapport à l’axe ainsi créé. Œuvres sous Mitterrand : Ministère de Finances