Aimer à perdre la raison

se trouve souvent déchiré entre le délice de la passion et les normes de la raison, perdu entre le désir de faire et le devoir qui nous interdit d’agir. Toutefois, on doit choisir, en mettant terme à notre embarras, on se situe déjà, on se déclare involontairement, soit raisonnable, soit passionné. Certes la raison avec la force de sa logique, nous garantie la sécurité, nous assure la tranquillité de vie, nous mène à la satisfaction de soi et nous rapporte le respect des autres. Être sage, c’est

Nietzche Dans cette extrait, Nietzsche nous apporte sa pensé par rapport au but de la vie, si l’homme à un but ou pas. On peut également rappeler que Nietzche a été un des précurseurs de l’existentialisme, bien qu’il n’ait jamais employé ce mot. L’existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui postule que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions, en opposition à la thèse que ces dernières lui sont prédéterminées par quelconques doctrines théologiques, philosophiques

_Ces derniers temps passé à ses côtés, me procurent une sensation étrange. Depuis que je l'avais perdu, je n'avais même pas envisagé pouvoir aimer à nouveau, d'ailleurs je ne me rappelais même plus de l'effet que cela faisait. Mais depuis quelques jours, je ressens quelque chose que je n'arrive pas à identifier, le seul avantage c'est qu'avec sa présence à mes côtés je ne souffre plus, je n'ai plus cette impression de solitude permanente . Je me surprends à rire, à sourire, à parler aisément dans une

cause. Quoi ? cette absence, à laquelle ma douleur, toute ingénieuse qu'elle est, ne peut donner un nom assez funeste, me privera donc pour toujours de regarder ces yeux, dans lesquels je voyais tant d'amour et qui me faisaient connaître des mouvements, qui me comblaient de joie, qui me tenaient lieu de toutes choses, et qui enfin me suffisaient ? Hélas ! les miens sont privés de la seule lumière qui les animait, il ne leur reste que des larmes, et je ne les ai employés à aucun usage, qu'à pleurer sans

fondé sur la raison et qui cherche à faire se propager la connaissance tout en s’opposant à l’obscurantisme, l’intolérance, et l’absolutisme, entre autres. Bien que Diderot soit principalement connu pour son travail sur l’ Encyclopédie , il a écrit au cours de sa vie des œuvres dans beaucoup de genres différents, et notamment celui du théâtre. Le Fils naturel ou les épreuves de la vertu est un drame bourgeois en cinq actes et en prose qu’il a écrit en 1757

pour différentes raisons, ils semblent peu à peu sombrer dans la folie avec pour la plus part beaucoup de questions existentielles comme par exemple « Où suis-je ? Qu’ai-je fais ? », Andromaque, ou encore « Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ? », Le mariage de Figaro ou la folle journée. Mais il existe aussi dans ces trois monologues des différences avec le sujet de la plainte qui est différente des autres où Figaro parle de sa vie en ce posant une question et se répond à lui-même. Ce personnage

tellement plus forts que nous Qu'on osera enfin se dire qu'on s'aime et puis c'est tout. Bien sûr y a eu l'absence, bien sûr y a eu le doute. J'suis quand même là; même immobile, même maladroit. L'amour débarque à l'improviste, comme par effraction. Un instant, et plus rien n'existe. Soudain, tout est hors temps, hors norme. Soudain, la vie ne fait plus peur. On a le coeur en flammes, la tête à l'envers, un vide au creux du ventre. Soudain, vous avez du sang neuf, un coeur nouveau, les idées

Rêvassité Solene.F __________ L'important c'est d'aimer, mais tu vois là dedans, pour moi l'importance c'est de t'aimer. Solene.F __________ Pas de notre faute si on nous "jalouse" notre amitié est un bien précieux et vous êtes un trésor à mes yeux. Solene.F __________ Coeur aimé, coeur volé. Coeur perdu, coeur vaincu. Et j'attends. Solene.F __________ Il n'existe que deux étapes dans la vie, Grandir et Mourrir. Solene.F __________ Non, je ne vise plus l'Amour. C'est

« Pourtant si belle, pourtant si bien. Des rêves plein la tête en projet pour demain. Tu pensais qu'avec lui, ta route était tracée. Tu pensais que vos vies étaient à jamais unies. Il t'avais promis d'être la pour la vie. Il t'avais juré de n'jamais te quitter. Il t'avais promis de n'pas s'en aller. Il est parti, &' tout est fini. » « Dis moi pourquoi je t'accorde toute cette importance? Dis moi pourquoi je pourrais tout te pardonner, en peu de temps? Dis moi pourquoi je t'idéalise, pourquoi

Lettres portugaises traduites en français [par Gabriel-Joseph de Guilleragues (1628-1685)].- A Paris, chez Claude Barbin, 1669. [pic] Saisie du texte : S. Pestel pour la collection électronique de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (07.05.1996) Texte relu par : A. Guézou Adresse : Bibliothèque municipale, B.P. 7216, 14107 Lisieux cedex -Tél. : 02.31.48.66.50.- Minitel : 02.31.48.66.55. - Fax : 02.31.48.66.56 Mél : bmlisieux@mail.cpod.fr, [Olivier Bogros] bib_lisieux@compuserve.com http://www