Aimer à perdre la raison

désir me poingt. Vraiment d’un bon oiseau guidé je ne fus point,Et mon cœur me donnait assez signifianceQue le ciel était plein de mauvaise influence,Et que Mars était lors à Saturne conjoint. Cent fois le bon advis lors m’en voulut distraire,Mais toujours le destin me tirait au contraire :Et si mon désir n’eut aveuglé ma raison, N’était ce pas assez pour rompre mon voyage,Quand sur le seuil de l’huis, d’un sinistre présage,Je me blessai le pied sortant de ma maison ? Du Bellay, Les Regrets. Sonnet

moi que je peins ». Il est la « propre matière de son livre » : Qui peint – t- il ? : À travers lui l’humanité toute entière : Si Socrate a ramené la « philosophie du ciel à l’homme » : Montaigne ramène la philosophie à sa personne. Il désigne un moi qui est la chose la moins saisissable : « je ne peins pas l’être je peins le passage » : Pour Montaigne on a aucun accès à « l’être » et nous sommes donc voués à l’impermanence : le maitre de Montaigne serait le présocratique Héraclite qui rappelle

reviendra pas. C'est trop tard. Il a fini de jouer, fini de faire semblant. Cela ne lui apporte plus rien. Tout s'est arrêté il y a bien longtemps, alors abstiens toi, abstiens toi de croire que c'est encore possible. Il n'a plus envie de s'amuser avec toi, de te dire de fausses belles promesses, il s'est lassé, tu comprends? Tu peux rien contre ça, tu peux rien contre le temps qui passe. Alors pars, vas t’en, vas vivre ta vie. Tu es jeune, pourquoi tu restes accrochée à lui ? C'est fini, le cinéma est

lui révèle comment, sans qu'il en ait jamais rien su, elle a consacré et brûlé sa vie à son amour pour lui. La nouvelle raconte la confession d’une femme à la veille de sa mort, à un homme qu’elle a aimé toute sa vie sans que celui-ci l’ait vraiment « vue » ni vraiment « regardée ».Tous les ans, pour son anniversaire, il reçoit un bouquet anonyme. Un jour, ce ne sont pas des fleurs qu’il reçoit mais une lettre écrite par une femme qui lui a consacré son existence. Il trouve cette lettre, c'est celle

Sur le banc le plus a droite de l'entrée du parc ,Louis-Philippe grignotait son crouton de pain,au coté de David qui lisait le journal du jour. Louis-Philippe était un assez bel homme d'une vingtaine d'année qui travaillait pour une grande multinational spécialisé dans le commerce japonais. David était lui aussi un bel homme a seulement vingt-cinq ans ,l'associé d'un archéologue reconnu travaillant sur les arts grecs. Les deux jeunes hommes se connaissaient depuis leurs années du collège et chaque

un des principaux rédacteurs de L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert. D'après une compilation récente, il serait l'auteur de près de 18 000 des 72 000 articles de L'Encyclopédie, sans compter les articles signés conjointement avec Daubenton et d'Argenville. On le surnommait d'ailleurs l'"esclave de L'Encyclopédie". D'Alembert reconnaissait la dette des encyclopédistes à son égard: «La médecine, non moins nécessaire que la jurisprudence

toutes les heures. Chaque jour, je pense à toi, Chaque nuit, tu es avec moi. Nous nous retrouverons, Pour partager nos émotions, Pour être heureux, Ensemble tous les deux...♥ - Des fois, Tourner lα pαge ne suffit pαs ; Il faut donc l'αrrαcher... - Tu sais ce qu'il y a de plus douloureux dans un chagrin d'amour ? C'est de ne pas pouvoir se rapeller ce que l'on ressentait avant.. Essaie de garder cette sensation parce que si tu la laisses s'en aller, tu la perds à jamais. - Çα fαit tellement du bien

Une critique de la jeunesse dorée à travers le personnage de Ella, qui s'est autoprénommée Hell (du diminutif de son prénom El'-la). Hell est une jeune fille issue de l'Ouest parisien, un milieu aisé dans lequel elle baigne depuis son enfance. Convaincue d'appartenir à une espèce d'essence supérieure, elle prend un malin plaisir à afficher ses signes ostentatoires de richesse et à vivre une existence futile, superficielle et purement matérialiste (« Je suis une pétasse. [...] Mon crédo : sois

s'émane d'une créature comme vous... Je suis amoureux, ou fou de vous, les deux si vous voulez... Oh.. Oh... Je vous aime à l'italienne » susurra le bel étalon. « Encore des mots, toujours des mots les mêmes mots et rien que des mots... » -à part- « ma beauté les fait tous chavirer jusqu'au cieux, les hommes sont tous semblable, hahaha je m'en réjouis. J'hume l'exaltation à pleins nez ! Son amour pour moi est un roc, un pic, un cap. Que dis-je un cap ? C'est une péninsule. » « Que dites-vous 

Le désir A. L’homme, un être de désir   1. L’essence de l’homme. Cela signifie que, au plan de l’expérience comme à celui de l’individu, l’horizon de ses aspirations ne se limite pas à ce qui lui est instantanément donné, ni au monde dans lequel évolue immédiatement. Dans son rapport au monde, dans son rapport aux autres et d’abord dans son rapport à lui-même, l’homme aspire à autre chose qu’à ce qui est déjà là.  Le mot « désir » : besoin, volonté, envie, souhait, tendance, penchant