Air

fourreaux de parapluie, les restes de jupe, les coupons de soie. Elle s'égratigne enfin à une étoffe criante, qui a des reflets de tigre au soleil ; - une étoffe comme une lime, qui exaspère les doigts quand on la touche, et qui flambe au grand air comme une casserole ! Une belle étoffe, vraiment, et qui vient de la grand-mère, et qu'on a payée à prix d'or. " Oui, mon enfant, à prix d'or, dans l'ancien temps. " " Jacques, je vais te faire une redingote avec ça, m'en priver pour toi !... "

l'essorage pour une charge de linge de 5 kg. En conclusion, la laveuse essoreuse C est plus efficace que celle de la marque A. Il y reste moins de masse d'eau après essorage, et ceux pour la même quantité de linge à laver (5kg). B.1. Le volume d''air dans la buanderie est : 4 m x 4 m x 2,5 m = 40 m³ La masse d'air de la buanderie est : Sachant que la masse volumique de l'air est 1m3 correspond à 1,2 kg. 40 m³ x 1,2 kg = 48 kg B.2. La masse de vapeur d'eau dans la buanderie est : 48 kg x 15.10-3

 Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que

troisième strophe évoque également la culpabilité. Le chanteur fait prendre conscience à l'enfant à qui il parle, de la réalité des choses.  ___ En conclusion, dans cette chanson, on peut percevoir les rythmes et les temps de pause dans chaque vers. Cet air est rythmique mais néanmoins pas très entrainant car on éprouve un sentiment de culpabilité en écoutant les paroles. 

au déplacement de l’avion et qui résulte de sa résistance à l’air. C’est la résistance à l’avancement, on cherche donc à la réduire au maximum. ( cf profil d'aile ) L’aile est donc un obstacle pour l’air cette car celle-ci prend le rôle d’un «brise air», elle s’oppose au déplacement de l’air. Cette force est représentée par un vecteur parallèle au vent relatif et partant de l’aile. Si un avion n’était soumis qu’à ces deux forces, il reculerait et monterait sans arrêt. Il nous manque le poids de

comprenais rien... Je partis prévenir Bastien qui dormait à poing fermés. Je le réveillai et lui racontai tout. Au début, il ne me crut pas, puis, quand je le fis descendre et qu'il vit Aurélie, allongée et brûlée vif, je vis dans son regard un air hagard qui montrait sa frayeur et son affolement. Nous allâmes prévenir le propriétaire. Il dormait profondément. Au moment où je franchis le seuil de sa porte, il se réveilla, comme si sa chambre était maléfique... Je lui expliquai ce qui s'était

LA VOIX I – le fonctionement de la voix. 1 : L'appareil vocal est composé comme un instrument à vent : d'une soufflerie, ce sont les poumons qui agissent comme une pompe à air et produisent une énergie aérienne qui constitue le moteur de la « machine à sons ». d'un vibrateur, ce sont les cordes vocales : en se rapprochant elles vibrent sous l'action du souffle pulmonaire. L'énergie pulmonaire se transforme en énergie acoustique. d'un amplificateur, ce sont des résonateurs : la

bois enchagriné, que personne jamais ne comprendra. Mon violon-girafe, par nature a la plainte basse et importante, façon tunnel, l'air accablé et bondé de soi, comme l'ont les gros poissons gloutons des hautes profondeurs, mais avec, au bout, un air de tête et d'espoir quand même, d'envolée, de flèche, qui ne cèdera jamais. Rageur, m'engouffrant dans ses plaintes, dans un amas de tonnerres nasillards, j'en emporte comme par surprise tout à coup de tels accents de panique ou de bébé blessé,

qu'il lui avait donnés, qu'elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre. Elle était jolie, élégante, avec son air gamin et ses yeux vifs. Georges pensait : « Quelle charmante maîtresse tout de même. » Elle s'approcha un peu timide, un peu inquiète, et lui tendit la main. Il la reçut dans la sienne et la garda. Alors il sentit l'appel discret de ses doigts de

cette pseudo trance quelques secondes plus tard pour reprendre le chemin brumeux où les âmes de toutes les victimes du Karrigel se lamentaient, erraient dans le but d'être enfin libéré de notre emprise, des espoirs vains.  Cette ambiance glauques, cet air pestilentiel.. Ces lieux si familiers imprégnés de souvenirs macabres prenaient peu à peu possession de mon esprit, je la sentais bruler en moi, la croix d'Ankavos toujours en vie.  Cela ne faisait aucun doute, il savait que j'étais là et me les enverrais