Al-Qaïda en Irak

capacités militaires, industrielles et politiques jusqu’à la capitulation. Au-delà de cette opération, la communauté internationale qui va se mobiliser, pour lutter contre le terrorisme et en particulier contre les auteurs présumés des attentats, soit Al-Qaïda. Un dialogue va s’instaurer non pas entre le Nord et le Sud mais au sein de la communauté internationale puis entre cette dernière et « l’axe du mal », représentant le terrorisme international selon l’expression du président américain George W. Bush

et le gouvernement de Lionel Jospin afin de poursuivre les objectifs légitimes de sécurité collective, conformes aux intérêts de la France et inscrits dans le cadre d’un mandat de l’ONU. Il s’agissait de défaire l’organisation terroriste d’Al-Qaïda, responsable des attaques du 11 septembre, et le régime des talibans à l’abri duquel elle avait pu agir et ainsi empêcher, à terme, que l’Afghanistan offre à d’autre organisations terroristes menaçant sécurité internationale et celle du pays, la possibilité

contre la menace du terrorisme. Cependant, au lieu d'utiliser le bénéfice de ce succès et construire quelque chose de solide sur cette base, ce gouvernement a choisi d'utiliser le terrorisme comme un argument de politique intérieure, enrôlant un Al Qaïda dispersé et largement affaibli comme allié administratif. Nous avons répandu une terreur et une confusion démesurée dans le public, liant arbitrairement deux problèmes sans relation, le terrorisme et l'Irak. Le résultat, mais peut-être aussi le motif

occidentaux, et l'ASL peu à peu soutenue et armée par la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar, et dispose de l'aide d'agents de la CIA opérant à partir de la Turquie. L'ASL est également progressivement renforcée par des jihadistes proches de la mouvance Al Qaïda, ce qui participe de la défiance de certains États face à cette armée informelle et disparate, et au caractère potentiellement confessionnel de ce conflit. Ce conflit entraîne plusieurs conséquences, notamment sur la population. En effet, ce conflit

suivent comme camp David et Oslo sont favorisés par les deux grands, la crise de Suez est arbitré par les deux géants et enfin l’année 1978 puis 1979 avec la révolution iranienne puis l’invasion de l’afghanistan par l’armée rouge et la guerre iran-irak démontrent que le proche et le moyen orient est un enjeu crucial pour les deux puissances tant stratégique que politique face à la montée de l’islamisme qui représente un barrage contre le communisme pour les soviétiques et un nouvel allié pour les

Etats-Unis, ni la Chine, ni les Etats du Proche-Orient ne reconnaissent son autorité. Le droit d‘ingérence : - En 1988, l’ONU reconnaît le droit d’assistance humanitaire aux victimes de situation d’urgence. Des interventions sont organisées en Irak en 1991, en Somalie en 1992, en Yougoslavie, etc. - Mais le droit d’ingérence est difficile à appliquer faute de forces militaires suffisantes. 2. L’affirmation de la puissance américaine 1. Les moyens de la puissance américaine L’absence

Apres la crise de Suez en 1956, il y a un nouvel enjeu qui est la question des territoires occupés, la guerre des 6 jours ( 5-10 juin 1967 ), après l’Egypte, le nationalisme arabe triomphe en Syrie et en Irak ou le Parti Baas qui est un mouvement nationalisme et socialiste arabe fondé à Damas en 1947 comprenant deux branches, syrienne ( toujours au pouvoir ) et irakienne ( renversé par les USA en 2003 ), s’empare du pouvoir. En 1967 Nasser ferme le détroit

pendant la guerre froide Il n’empêche que les agences de presse ont résisté à ces transformations On est plus dans le déplacement que la substitution E] De nouveaux défis pour les agences naissance et dvlpt d chaines de tv par satellite (ex : cnn, al jazeera, lci, fox news…) le dvlpt de c chaines de tv n’a pas tué les agences de presse en revanche, de nvo défis apparaissent aujourd’hui ¤ le nomic et la contestation de l’info ont mis du tps à faire aboutir leurs revendications, ms ds un grd nb

surtout utilisée en France et désigne ce que les Français appelaient le « Levant » à l’époque coloniale. Elle désigne la zone qui s’étend des « détroits » (Bosphore et Dardanelles) à l’Egypte et à l’Euphrate (Turquie, Syrie, Palestine, Israël, Jordanie, Irak et Egypte) et en somme l’ancien Empire ottoman dans ses frontières de 1914 plus l’Egypte. Cette vison "franco-centrée" avait l’avantage à l’époque coloniale de gommer l’appartenance de l’Afrique du Nord (française à l’époque) au même ensemble culturel

militaires classiques sont rarement opérantes face à des adversaires insaisissables – La guerre du Golfe, une exception ? – Les difficultés des forces multinationales : en Bosnie, en Afghanistan, etc. – L’hyperpuissance enlisée : les États-Unis en Irak. III. Les conflits contemporains témoignent d’un certain désordre mondial – De nouveaux rapports de forces entre puissances anciennes ou émergentes. – L’arc des crises, une zone de haute tension. – L’incapacité de la communauté internationale à régler