Al-Qaïda en Irak

médiatique ? Pour cela, nous verrons tout d'abord les faits en eux-mêmes à l'aide d'images, de témoignages, du discours officiel du Président d'Amérique George W. Bush et un témoignage d'Oussama Ben Laden, un des leaders du groupe terroriste Al Qaïda. Puis par la suite, nous observerons la naissance du doute, avec un lapsus du Président Bush, des scientifiques qui contredisent la version officielle et une interview d'un chercheur sur ce sujet. Nous finirons, par étudier une théorie du complot

 1 Introduction Depuis que le général Hafez Al-Assad a pris le pouvoir par un cout d'état militaire en 1970, la Syrie a été dirigée par une dictature pour plus de la moitié d'un siècle. Elle est dirigée par la famille Assad, membres de la secte alaouite qui est un groupe ethnique et religieux. À la mort de Hafez Al-Assad, son fils Bachar succède son père et est élu président de la République par un référendum qui s'est tenu le 10 juillet 2000. Il promet de mettre en œuvre des réformes économiques

2003. 186 TOPIQUE de « guerre juste ». L’Afghanistan, car le chef d’Al Qaida semblait s’y être caché (la justification première étant qu’Al Qaida aurait fait tomber les tours), et l’Irak, car le pays aurait disposé d’armes de destruction massive. L’idée étant que, si par un mécanisme imaginaire ils se coalisaient, une prochaine attaque sur New York pourrait être plus dévastatrice. Même si, ni le chef d’Al Qaida ni les armes de destruction massive n’ont été trouvés à ce jour, l’effort essentiel

antipacifistes était que la nature du nazisme était bien connue depuis 33 et y céder en 38 était céder à la violence en général. Les critères du jus ad bellum ont été utilisés pour disqualifier l'intervention américaine en Irak, pas de liaison entre armes de destruction massive, Al Qaida, Irak => pas d'intention droite, pas de cause juste, pas de respect du dernier recours, autorité non légitime. Pertinence critique maintenue du jus in bello. Le débat demeure vif sur la conduite de la guerre. On a reproché

occidentaux.)  Impasse sur toutes les volontés nationales  Accords Sykes-Picot prévoit en 1917 + Traité de Sèvre :  la France reçoit un mandat sur la Syrie, détache le Liban et Les Britanniques un mandat sur la Palestine et sur la Mésopotamie ( Irak + Transjordanie  débouché sur la méditerranée + continuent d'exercer leur influence sur l'Égypte et les Émirats du Golfe Persique, Koweït, Qatar, Oman, Yémen. C/ Les tensions au sein de la région  La forte présence des puissances européennes

désignés par l’administration Bush comme l’ « axe du mal » (Iran, Corée du Nord, Afghanistan, Irak) ainsi que de potentiels rivaux (Chine, Russie). Ils endossent l’habit de «gendarmes du monde » depuis la fin de la guerre froide. Dans un sens, les Américains sont prisonniers de leur puissance. Après les attentats du 11 septembre 2001, les EU interviennent militairement en Afghanistan (2001-2012) puis en Irak (2003-2011).     B.    Une puissance économique. L’économie des EU est la première du monde

les attentats du 11 septembre où Bush adopte l’unilatéralisme avec les guerres en Irak et en Afghanistan où les Etats-Unis on attaquait ces deux pays pour lutter contre le terrorisme, malgré l’opposition de certains alliés comme la France et l’Allemagne et contre l’accord de l’ONU. Ces guerres montrent l’apogée de l’unilatéralisme à l’américaine. Toutefois, même après avoir renversé la dictature et Saddam Hussein en Irak, les Américains ne parviennent pas à contrôler les pays, en proie à une guerre

qui maintenait les prix bas. Lui-même producteur de pétrole, l'Irak aurait eu besoin que les prix augmentent pour se reconstruire.  Les attentats terroristes. De nombreux attentats ont été générés par l’organisation terroriste Al-Qaïda. Les attentats commis par Al Qaida sur le sol des États-Unis le 11 septembre 2001 (3 000 victimes) demeurent la plus grave opération menée par une organisation terroriste.  Le Moyen-Orient possède des ressources convoitées qui peuvent être source de conflits. Les

Mauritanie et Soudan, 2 pays majoritairement musulmans) ⇨ le Moyen-Orient = pays arabes du Machrek : Égypte, pays de la péninsule arabique et du Golfe (Arabie Saoudite, Yémen, Oman, Qatar, Emirats arabes unis, Bahrein, Koweit) et le Croissant fertile (Irak, Syrie, Liban, P alestine) ⇨ Autres pays à part : pays musulmans non arabes (Iran et Turquie), pays assimilé à l’Occident (Israël), Pakistan et Afghanistan. La région est à la fois marginale et centrale : ⇨ Marginale, car excepté Israël

Après le départ des Soviétiques en 1988, le pays passe sous le contrôle des talibans qui veulent créer un État fondé sur la « charia » (la loi islamique). L’Afghanistan devient alors la base arrière du terrorisme islamiste et en particulier d’Al-Qaïda du Saoudien Oussama Ben Laden. Le coup de Kaboul a été monté par Moscou pour sauver un régime communiste afghan menacé par une révolte générale d’inspiration islamiste. L’Iran et l’Afghanistan de 1979 ne sont pas de nouveaux exemples d’un expansionnisme