Alain Et Georgette

la sainte Agnès, martyre à treize ans, vierge dont les cheveux s'étaient allongés pour voiler sa nudité)HORACE , amant d'Agnès. (Dans la comédie italienne, Horacio est le nom habituel de l'amoureux)ALAIN , paysan, valet d'Arnolphe. GEORGETTE , paysanne, servante d'Arnolphe. CHRYSALDE , ami d’Arnolphe ENRIQUE , beau-frère de Chrysalde. ORONTE , père d'Horace et grand ami d'Arnolphe.

Arnolphe qui est au début maitre de tout le monde et donne des leçons a tous ceux qui l’entourent : A Agnès, puisqu'il la prend en charge dès l'âge de quatre ans et donc lui donne des leçons paternelles: « J'ai suivi vos leçons » (v.1510) A Alain et Georgette puisque ce sont ses valets et il se sent supérieur a eux : «De toutes vos leçons nous nous souviendrons bien. » (v.666) Deuxièmement, Agnès, qui donne elle aussi des leçons à son tour : A Horace, en lui prouvant qu'elle peut se battre pour

de cette influence germanique. C'est en août 1890 qu'il devient célèbre, du jour au lendemain, grâce à un retentissant article d'Octave Mirbeau sur La Princesse Maleine dans Le Figaro. En 1902, il écrit Monna Vanna que jouera l'actrice en vogue Georgette Leblanc, rencontrée en 1895 et qui sera sa compagne jusqu'en 1919 où il épouse la jeune Renée Dahon. L’oeuvre de Maeterlinck connaît un succès mondial. En 1908, Constantin Stanislavski crée sa pièce L'Oiseau bleu au Théâtre d'art de Moscou. Elle

par son destin, quoi qu’il fasse, l’amour triomphera sur son obsession de contrôle, mais plutôt que d’éviter l’entropie il persévère essayant d’annuler une fatalité, il en fait trop et les choses s'empirent tout comme à l’acte V scène II, où Alain et Georgette respectent tellement les règles de leur maître qu’Horace craignant de recevoir trop de coups fait le mort ayant un double effet sur l’histoire : les deux serviteurs effrayés partent et Agnès lui vient en secours, la rencontre était inévitable

je l'ai vue à tel point innocente, Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents

essentiellement, dans la comédie, une fonction. Il est un homme du peuple, parfois issu de la paysannerie, et qui en a gardé le langage simple. Il n’est pas toujours caractérisé par la vivacité de son intelligence. Dans L’École des femmes, Alain et Georgette, valets d’Arnolphe, sont des personnages dont le maître ne réussit pas à faire des alliés très fiables. Leur obéissance aux consignes repose sur la peur qu’ils ont de leur maître. Dans Dom Juan, la faiblesse intellectuelle de Sganarelle

choqués de cette comédie. Dans la pièce, il s'agit d'une jeune femme nommée Agnès qui est, depuis son enfance, éduquée par son maître Arnolphe. Ce dernier envisageant de l’épouser, il la surveille tout le temps avec l'aide de ses deux serviteurs Alain et Georgette pour qu'elle ne puisse en aucun cas tomber amoureuse d'un autre. Malheureusement, ce projet d'Arnolphe ne fonctionne pas du tout: Agnès rencontre un jeune homme, Horace qui la porte aux nues et rapidement, tombe amoureuse de ce charmant jeune

Spectateur: Arnolphe va t-il arriver à ses fins? Résumé entre les 2 textes: Chrysalde se demande si une femme sotte sera distinguer le bien du mal (pas convaincu). Apprend qu'Arnolphe se fait aussi appeler M. de La Souche. Connaissance d'Alain et Georgette qui sont incapables de pervertir Agnès (sots). Elle apparaît pour la 1ère fois conforme au portrait idéal d'Arnolphe. Celui-ci rencontre sur la place le jeune Horace qui lui parle de M. de La Souche comme d'un barbon ridicule, et apprend ainsi sa

sa famille « est toute morte ». Elle finira par rejoindre les républicains avec ses bambins. Les trois enfants : Les enfants de Michelle Fléchard, sont composés de René-Jean, l’ainé de quatre ans qui est brun, de Gros-Alain, le cadet de trois ans qui est châtain et de Georgette la benjamine qui est blonde et à dix-huit mois au début puis vingt au milieu du livre. Tout d’abord recueilli avec leur mère par les républicains, ils seront ensuite enlevés par les royaliste sur ordre de Lantenac et maintenu

«En sage philosophe on m’a vu, vingt années, contempler des maris les tristes destinées. » v.1188-1189. Il atteint par instants à une plénitude oratoire qui incite à penser à une sorte de parodie (Acte III, scène 2, v. 700-712). Comme l’explique Alain très bien dans l’acte II, scène 3 : le jaloux écarte tout le monde autant qu’il peut. C’est l’idée dont on ne peut s’empêcher de rire par réflexion, que la jalousie est une chose qui chasse les gens d’autour d’une maison. Un jeu comique fait d’Arnolphe