Alain Le Freudisme

sur la légitimité de son usage pour justifier ses actes. L’inconscient peut influencer le sujet mais , mais étant doté de responsabilité, de jugement doit lui-même décider ou pouvoir justifier ses actes. En effet , Alain critique « l’excès de Freud » , c'est-à-dire le Freudisme , qu’il définit comme une psychanalyse populaire, car pour lui c’est un fatalisme où les actes accomplis par le sujet sont le résultat de ses pensées inconscientes au lieu d’être choisies par le sujet lui-même. Mais Freud

Rédiger l'examen critique du texte N°2. Retour à la première page B2- Sauvegarder le document dans le répertoire philosophie B3- Envoyer le document au professeur. LE COMMENTAIRE Etape 3, l'examen critique du texte Texte N°2 page 8/8 « Le freudisme, si fameux, est un art d’inventer en chaque homme un animal redoutable, d’après des signes tout à fait ordinaires ; les rêves sont de tels signes ; les hommes ont toujours interprété leurs rêves ; d’où un symbolisme facile. Freud se plaisait à montrer

Cette argumentation est un extrait du livre Métapsychologie de Sigmund Freud en 1915.Cet extrait traite de la théorie de l'inconscient et de sa mauvaise réception dans la communauté de la psychologie.Dans cet article, Freud mentionne d'abord dans l'introduction de la première ligne que sa théorie est peu acceptée par les experts du monde entier. Puis, des lignes 2 à 11, il explique que l'inconscient est pourtant nécessaire pour justifier certains comportements humains. Enfin, de la ligne 12 à la

neurosciences contre la psychanalyse. En 2010, Michel Onfray publiait Le crépuscule d’une idole. Que cache la remise en question de la psychanalyse et de l’idée d’inconscient qu’elle promeut ? Peut-on qualifier le freudisme de mythologie comme le firent à tour de rôle Wittgenstein, ou Alain au début du XXe siècle ou encore de nos jours le psychiatre François Roustang ? Mais Freud ne dit-il pas lui-même que « la théorie des pulsions est, pour ainsi dire, notre mythologie » (Nouvelles conférences d’introduction

-Selon Karl Popper, cette hypothèse ne serait pas scientifique car non réfutable ( pseudo-science) –Alain (rationnel traditionnel), lui, met en évidence les dangers éthiques du freudisme puisque, en expliquant tout par la libido et en rabaissant l’Homme, il serait alors soumis aux déterminations issus de son inconscient, Freud le déresponsabiliserait là.

principal est de comprendre comment la psychologie a imaginé ce personnage mythologique ». « Le freudisme, si fameux, est un art d’inventer en chaque homme un animal redoutable, d’après des signes tout à fait ordinaires, les rêves sont de tels signes ». (texte) Freud, quoi qu’il en dise par ailleurs, personnifie l’inconscient, fait d’une abstraction une entité. Et cette entité est l’animal en l’homme. Alain répond donc que l’inconscient n’est pas un autre moi. Il insiste sur la nécessité de ne pas fragmenter

Popper, une théorie qui ne rejette rien, ne prouve du coup rien non plus. Popper renie donc toute la théorie de l’inconscient et la psychanalyse qu’elle supporte. Alain quant à lui nie la théorie de l’inconscient car elle remet en cause notre liberté et notre responsabilité. Il cherche alors à démontrer que cette hypothèse est une faute. Alain en tant que philosophe rationaliste adepte de la philosophie cartésienne considère que l’homme et sa conscience ont un contrôle total sur leurs pensées, leurs

philosophes comme Alain et Sartre, désireux de garder la liberté comme essence de l’homme, se sont attachés à critiquer ce terme d’inconscient. En écrivant « [c’est une grave erreur] de croire que l'inconscient est un autre Moi ; un Moi qui a ses préjugés, ses passions et ses ruses ; une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller. Contre quoi il faut comprendre qu'il n'y a point de pensées en nous sinon par l'unique sujet, Je ; cette remarque est d'ordre moral. », Alain reproche au freudisme de présenter

d’identifier ce qu’il convient pour nous de désirer vraiment afin de construire son propre bonheur au lieu de faire celui de la société. Critique de la vision Freudienne par Alain. Fervent partisan du sujet dont la personnalité est indivis. Il récuse la vision freudienne du psychisme constitué de 2 parties distinctes. Ce refus du freudisme repose essentiellement sur une exigence morale : si nous acceptons l’idée qu’il y a en nous un autre moi, inconscient mais autonome doté d’une volonté qui agit en parallèle

l’inconscient freudien semble à première vue nous décharger de toute responsabilité. Cependant, on peut reprocher au freudisme le fait de présenter l’inconscient comme un second moi qui permettrait de décharger le sujet de ses responsabilités morales. C’est une erreur grave « de croire que l’inconscient est un autre moi […] une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller. »- Alain. Il faut donc comprendre qu’il n’y a point de pensée en nous sinon par l’unique sujet, Je . La représentation freudienne