Albert Camus La Belle époque

et le Bareki) dans un bidonville, la Cité, près de Tanger. 3 Nour est « initié » par Ma el Aïnine ; Lalla, par Es Ser : derrière ces deux maîtres, il y a El Azraq, l’Homme Bleu. Les deux héros suivent donc un même chemin spirituel, chacun à une époque et dans des contextes différents. Tous deux se dirigent vers le Nord : Nour suit sa tribu de Smara vers Tiznit, vers la Saguiet el Hamra, en quête d’une vie meilleure pour les Touaregs ; Lalla part de la Cité vers Marseille. Tous deux reviendront

fonction des temps forts de la programmation. Détails disponibles sur place. Durée : 50 minutes Public : dès 7 ans • Ça sent l’hiver ça sent bon le vin chaud et le jus d’orange à la cannelle. Ça sent bon les histoires de Noël : l’histoire de la belle mariée à un ours polaire ; d’une envie de boudin dans un plat en terre ; de la femme au nez de fer. Trois histoires qui ont du nez alors, n’oubliez pas le vôtre… Durée : 50 minutes Public : de 6 à 9 ans 15 C ontes de Neige et de Mystère dans

arts surréalistes Exercices d’approfondissement C. Guichard, Louise Bourgeois 1 A. Breton, Manifeste du surréalisme 2 A. Breton et P. Soupault, Les Champs magnétiques, « La glace sans tain » 3 R. Desnos, Destinée arbitraire, « Chant pour la belle saison » 4 P. Reverdy, Le Chant des morts, « Outre mesure » Prolongements 9 S O M M A I R E Chapitre 4 Le récit au XIXe siècle, entre réalisme et naturalisme Séquence 13 Les sources du roman réaliste Stendhal, Le Rouge et le Noir A. R

tout le mal qu'il a fait sont des signes non équivoques du bien qu'il peut faire. Alexandre Chenevert le pressentait : « Mieux employé, l'argent eût peut-être réussi à rendre les hommes presque heureux » [26]. Ernesto Che Guevara rêvait d'une époque où l'argent serait devenu aussi désuet que l'esclavage. L'État subviendrait à tous les besoins. Un peu comme naguère, dans les communautés religieuses, des hommes et des femmes vivaient sans argent. Avec cette différence, cependant, que les supérieurs

arrive dans la suite qu’on fasse la même réflexion, on se persuade aisément qu’elle est nouvelle, tant elle offre de circonstances et de dépendances qu’on avait laissées échapper. VAUVENARGUES La tentation la plus dangereuse : ne ressembler à rien. Albert CAMUS Et pourtant quelle mine inexploitée dont le matériau nous fait tellement défaut ! Puiser dans le passé auprès de sources prestigieuses pour trouver de « nouvelles » règles de conduite c’est rendre plus crédible une argumentation qui autrement

l’esprit, de la pensée qui en résultent. Le monde littéraire pâtit également de ce capitalisme naissant, se faisant, en cela, plus commercial. Seul le plaisir compte dans un monde où être c’est avoir, où être c’est paraître. Là réside le paradoxe d’une époque pleine de contradictions, oscillant en permanence entre espoir et désespoir, entre enthousiasme et désenchantement et cela va croissant. D’ailleurs, une crise sociale éclate. Le doute s’empare des esprits, les certitudes, bien que toujours présentes

arrive dans la suite qu’on fasse la même réflexion, on se persuade aisément qu’elle est nouvelle, tant elle offre de circonstances et de dépendances qu’on avait laissées échapper. VAUVENARGUES La tentation la plus dangereuse : ne ressembler à rien. Albert CAMUS Et pourtant quelle mine inexploitée dont le matériau nous fait tellement défaut ! Puiser dans le passé auprès de sources prestigieuses pour trouver de « nouvelles » règles de conduite c’est rendre plus crédible une argumentation qui autrement

arrive dans la suite qu’on fasse la même réflexion, on se persuade aisément qu’elle est nouvelle, tant elle offre de circonstances et de dépendances qu’on avait laissées échapper. VAUVENARGUES La tentation la plus dangereuse : ne ressembler à rien. Albert CAMUS Et pourtant quelle mine inexploitée dont le matériau nous fait tellement défaut ! Puiser dans le passé auprès de sources prestigieuses pour trouver de « nouvelles » règles de conduite c’est rendre plus crédible une argumentation qui autrement

1re L I - SE REPÉRER DANS L’HISTOIRE LITTÉRAIRE ET CULTURELLE ¢¢ ¢¢ ¢¢ ¢¢ 1. Découvrir les mouvements littéraires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2. Situer un texte dans son époque et son contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 3. Replacer une œuvre dans l’histoire des arts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 4. Comprendre les liens

du 28 août 2008. http://media.education.gouv.fr/file/32/09/0/encart_33090.pdf 5 Parcours thématiques 6 D'UNE EDITION A L'AUTRE : PICTURAL MALGRE TOUT Introduction On se souvient que la précédente édition du festival faisait la part belle à la peinture, technique pratiquée parmi tant d’autres par les artistes contemporains. Si la peinture comme médium artistique est quasiment absente de l’édition de Paul Ardenne, le pictural en “ce qui se rapporte à la peinture” est lui à l’inverse