Albert de Saxe-Cobourg-Gotha

partage des pvrs, accorde une C°, mais il confie le pouvoir à son fils. Agitation de la bourgeoisie à Turin, royaume de Piémont. Victor Emmanuel refuse d’accorder une C°, se retire, laisse sa place à son frère Charles Félix : absent, son neveu Charles Albert assure la régence en gouvernant avec une C°. 14 décembre 1825 : mvt décabriste en Russie, à ST Petersburg, des officiers de la garde rapprochée du tsar se soulèvent pr la mise en place d’un régime plus libéral. Mvt réprimé. ⋄ une fermentation libérale

voici qu’elle se déchire. Un État peut-il vivre longtemps sans gouvernement ? Depuis les élections du 10 juin 2007, le premier ministre et son équipe gèrent les affaires courantes et le gouvernement ne s’est réuni qu’une fois en trois mois. Le roi Albert II joue les bons offices mais sans succès. Pourtant, près 70% des Belges croient encore à l’avenir de la Belgique. Mais qu’ils se rendent aux urnes comme le 10 juin dernier et ils votent sur des lignes de fracture... linguistiques. Le « mur de Berlin »

q uestion débattue importante fut celle du STATUT de la Belgique : monarchie ou république ? Si monarchie, qui serait le roi ? Après l’opp osition de la G-B au choix du fils de Louis-Philippe, on décida que le ro i serait Léopold de Saxe-Cobourg- Gotha car c’était L’EUROPÉEN parfait : origine pru ssienne, avait fait la guerre dans l’armée russe, avait épousé l’héritière du trône anglais en premières noces. C’est le 21 juillet 1831 que, venant d’Angleterre, le roi Léopold jura

et ce n'est qu'en 923 que Henri Ier parvint à réunir la Lotharingie à l'Allemagne. Cette situation ne subira plus de modification essentielle durant tout le Moyen Âge11. À la fin du xe siècle, la Basse-Lotharingie s'étend de l'Escaut jusqu'à la Saxe et la Hesse. Au nord, elle est bordée par la Frise. Sur ce duché se développent des fiefs, comtés et seigneuries quasi indépendants, tels les duchés de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg, les comtés de Hainaut et de Namur, la Principauté de Liège

est mis en douaire au profit de la reine des Français Marie-Amélie mais il est surtout sujet à de grands travaux qui continuent après la chute du régime et reste la résidence de visiteurs occasionnels comme Albert de Saxe-Cobourg-Gotha en 1836, Alexandre de Wurtemberg en 1837, Bernard de Saxe-Weimar-Eisenach en 1842 ou encore Ibrahim Pacha en 184657. IIe République et Second Empire[modifier | modifier le code] IIe République[modifier | modifier le code] Le parc du palais sous la IIe République

catégorie générale ne signifie pas tout le monde, mais il faut qu’elle soit abstraite. Il faut qu’il y ait un critère objectif. Cette catégorie peut-être « une personne » : « le Roi nomme… » (il n’y a qu’un Roi en Belgique). On n’a pas dit « le Roi Albert II,… » car tous ceux qui seront « Roi » doivent respecter cette règle. « le Bourgmestre » : il y en aura aussi plusieurs qui se succèderont… En principe, les règles de droit sont générales, mais il existe des règles de droit qui ne sont pas générales

en France. Quand au mot « Wallonie », il n’apparaît pas avant 1844 (après l’indépendance belge) dans un poème de « Grandgagnage » grand poète du patrimoine wallon. Fondation de la « Société de langue et de littérature Wallonne » en 1856. En 1886, Albert Mockel, autre poète wallon, fonde la revue « la Wallonie » à partir de ce moment, le terme substantif « la Wallonie » devient un terme du vocabulaire francophone. Symboles nationaux -le drapeau : au départ, il lie les couleurs brabançonnes (noir

gouvernement provisoire proclame l’indépendance de la Belgique. Il s’ensuit l’élaboration d’une constitution qui sera adoptée en février 1831. Le régime en place est une monarchie parlementaire, les belges choisissent comme souverain, Léopold Ier de Saxe-Cobourg-Gotha217, qui est d’ailleurs l’oncle de la plus célèbre des reines d’Angleterre : Victoria218. En 1831, l’État-nation Belge vient de naître. Et pour assurer sa pérennité il a besoin de réformes, notamment sur le plan juridique. Pour se doter d’un

comme un «bienfait» en Wallonie. Dans les régions où les révolutionnaires réussirent à prendre le pouvoir, le néerlandais fut aussitôt remplacé par le français comme langue écrite. Les Belges élaborèrent une constitution et Léopold Ier de Saxe-Cobourg-Gotha fut choisi comme souverain. Le 3 février 1831, les Français et les Wallons avaient bien tenté d'imposer comme souverain le deuxième fils du roi de France, le duc de Nemours, mais les grandes puissances, surtout la Grande-Bretagne, s'y étaient

au Congrès de Vienne en 1815. Un premier accord intervient sous la forme du Traité des XVIII Articles, plutôt favorable à la Belgique, et qui, ratifié par le Congrès le 9 juillet 1831, déter- mine en même temps le choix du roi : Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha. Guillaume d’Orange, quant à lui, refuse ce compromis et son armée pénètre en Belgique début août. L’armée belge est vaincue, mais, garantes de sa neutralité, la flotte anglaise et l’armée française interviennent contre la Hollande. La Conférence