Albert II

Albert Camus, La peste (1947) Lecture analytique n°2 : La méditation de Rieux. L’extrait présente la méditation du docteur Bernard Rieux suite à la visite de son confrère Castel qui confirme le diagnostic tant redouté de la peste. Pourtant présenté comme le plus averti et le plus inquiet des personnages, le docteur ne croit pas à la réalité de l’épidémie, malgré les cas mortels déjà recensés parmi la population oranaise. Pour lors, la « peste » est un mot, mais un mot qui a un fort pouvoir évocatoire

L’Etranger, Albert Camus, excipit I : Un monologue tragique. 1 – Construction en deux parties nettement séparées dans l'extrait : « alors / lui parti »... Elles s'articulent autour de la présence ou absence de l'aumônier. Opposition entre l'homme face à autrui ou face à lui-même. Dans un premier temps, révolte très vivante, grâce au discours indirect libre qui fait entendre la voix même de Meursault. Oralité presque théâtrale du discours. On a un net effet de réel … Puis passage à la paix

 La peste – Albert Camus Exposé : le personnage de Tarrou. Introduction : Jean Tarrou = un des personnage principal de la peste. Apparition au début du récit dans la cage d'escalier de l'immeuble du docteur Rieux. ( partie I - p19) Au début du récit (partie I – p28-29), Tarrou est un personnage énigmatique. On en apprend un peu plus sur lui seulement à la 4ème partie du récit. (p222). Présentation du plan. Portrait physique : «  encore jeune, à la silhouette lourde, au visage

Sonderdrucke aus der Albert-Ludwigs-Universität Freiburg JOSEPH JURT Le mythe d’Adam Le Premier Homme d’Albert Camus Originalbeitrag erschienen in: 2002. PEYTEL Gérard (Hrsg.): Mythes des Origines : Eidôlon. Ort: Université Bordeaux-III, 2002, S. 307-316. Joseph Jurt Le mythe d’Adam Le Premier Homme de Camus Le Premier Homme a été le dernier roman d’Albert Camus. Lors de l’accident mortel de l’écrivain, le lundi 4 janvier 1960, on trouvait sa serviette qui renfermait des papiers

Commentaire n°1 : L’étranger A. Camus « Réflexion sur la sentence » Albert Camus est né à Alger dans un milieu modeste en 1913. Il connait la pauvreté, la maladie et la guerre. Il n’a pas participé à cette dernière en tant que combattant, mais son métier de journaliste et son départ pour la France, lui ont permis d’y participer indirectement. Les prises de consciences induites par ses expériences douloureuses, l’amènent à attacher son nom à une doctrine personnelle, la philosophie de l’absurde

arrive chez Rieux : sa femme est morte. On apprend l'identité du narrateur : C'est Rieux qui a voulu relater ces événements avec la plus grande objectivité possible. Il sait que le virus de la peste peut revenir un jour et appelle à la vigilance. II. Avis sur l’ouvrage  Je pense que dans cet ouvrage qu’A.Camus nous propose, on peut voir qu’à l’époque,la peste a traumatisé des sociétés entières. En effet, Camus décrit à travers Rieux, des habitants paniqués, et qui perdent espoir rapidement face

Plan détaille de : La Peste (le Prêche de Paneloux), Albert Camus(1947) « La justice, comme la peste, change les âmes et les visages. » de Colette Piat. Comme le laisse entendre cette phrase, la peste n’est que le reflet d’une justice divine qui s’abat sur les Hommes afin de les éclairer et de les ramener à la raison. C’est d’ailleurs cette thèse que défend le père Paneloux dans son prêche à l’intention de ses concitoyens. En effet, dans ce passage, situé dans la 2ème partie, alors même que

Objet d'étude : Convaincre, persuader, délibérer. Textes :   Texte A : Clément MAROT, Épître au Roy, 1527 Texte B : VOLTAIRE, Traité sur la tolérance, 1763 Texte C : Albert CAMUS, L'Étranger, 1942.   Texte A : Clément MAROT, Épître au Roy, 152. [Encore une fois emprisonné pour avoir tenté de délivrer un prisonnier, Marot, poète de la cour, s'adresse au roi François 1er; son protecteur, afin d'obtenir sa libération.] Au roi, « pour le délivrer de prison ». Roi des Français, plein de toutes bontés

Sartre, Les Mouches, acte II, scènes et, 1943. C – Albert Camus, Caligula, acte II, scène 5, 1944. D – Eugène Ionesco, Le roi se meurt, 1962. Ce corpus contient quatre textes. Ce sont tous les quatre des extraits d’œuvres théâtrales qui nous parlent du pourvoir des rois. Le premier représente les scènes 3 et 4 de l’acte III de la pièce « Ubu Roi » d’Alfred Jarry écrite en 1896. Son registre littéraire est la comédie. Le second extrait décrit les scènes 3 et 4 de l’acte II de l’œuvre « Les Mouches

que l'homme n'est pas entièrement bon ni mauvais. Chaque homme est unique et chaque mort doit être respectée : cette idée constitue donc une base de la condition humaine pour Camus. II. Une victoire non définitive Cette idée est annoncé explicitement : « ne pouvait pas être celle de la victoire définitive ». Albert Camus contredit donc l'allégresse du premier paragraphe et montre la fragilité de la victoire. Le combat devra continuer : « devraient accomplir encore ». « son arme inlassable » = la