Albert Jacquard Progrès Technique

toujours plus » inscrite dans la devise olympique, « Citius, Altius, Fortius 1 », rejoignant une forme de « darwinisme social », est considérée comme une incitation au dépassement, lui-même interprété, quelles qu’en soient les formes, comme un progrès sans fi n. Ainsi se trouve justifi ée la recherche effrénée, et à tout prix, de la performance qui repousse les limites et donne à l’homme sportif, qui est un être humain et fi ni, le sentiment quasi sacré d’accéder au domaine de l’infi nitude.

naturelle par des êtres vivants - Quel est l’exemple de lutte biologique donné dans le texte ? La coccinelle contre les pucerons …/… …/… Support 02 : Manipulation du vivant (P26) A- Observation du texte : - Auteur : « Albert Jacquard - Titre :Manipulation du vivant - A qui est destiné le texte ? aux lecteurs. • Hypothèse de sens : - Quel est le thème de ce texte ? Les modifications du vivant - A travers le titre, de quoi va nous parler

| |1.2.2 L'esprit d'innovation | |1.2.3 Vers un nouveau système technique | |1.2.4 Le mercantilisme | |1.2.5 Évolutions

« de vulgarisation » (vulgarisation signifiant « diffuser au plus grand nombre », sans connotation négative). Certains chercheurs ont ainsi développé leur talent pour le récit et empruntent des voies détournées pour instruire le grand public. Albert Jacquard est, dans ce domaine, sans doute un des plus célèbres. Eloge de la différence (1978) ou encore L’équation du nénuphar (1998) ont connu beaucoup de succès auprès du grand public.  Il faudrait donc se garder d’un raisonnement simpliste : les

qu'est-ce qui se joue dans ces formes de dialogue ? Quels changements, quels gains, apportent les relations virtuelles par rapport aux relations directes en face à face ? Continuité/discontinuité La facilité des échanges, qui reposent sur des moyens techniques en permanence disponibles, permet une relation ininterrompue. Or se donner le temps de la réflexion, prendre de la distance avant de poursuivre et de revenir à une situation et, dans cette interruption, avoir mûri, progressé, organisé sa pensée

explication.) * Dans le plaidoyer (comme dans tout texte argumentatif d'ailleurs), on retrouve : 1- L'expression des sentiments (Par exemple :... nous sommes sensibles...) 2- La volonté d'impliquer le destinataire par l'emploi de certaines techniques d'interpellations (Par exemple: la phrase interrogative, les verbes de modalité «pouvoir» et «devoir») 3- L'emploi des introducteurs d’arguments (Par exemple: parce que) et des autres articulateurs logiques qui introduisent, par exemple, l'opposition

de registres) Les notions essentielles -Que fait un poète ? Quel sens assigne-t-il à son travail ? -Poésie et quête du sens. Comment comprendre cette expression ? -Poésie et musique. En quoi sont-elles liées ? -Le lyrisme. Orphée. -Vocabulaire technique de base pour décrire l’organisation d’un texte. quel(s) vers y trouve-t-on, s’il est écrit en vers ? S’il n’est pas en vers, que dira-t-on ? Quel type de strophe(s) trouve-t-on ? Quel(s) schéma(s) de rimes ? … 1 STI2D 3 SEQUENCE I - Textes

1 Les repères de la communication la les vers séquence sur quatre semaines fondements de la communication, ce qui la favorise, de multiples formes d’expression. Textes et Documents e – Théodore Zeldin, De la conversation, 1998. – Albert Jacquard, Petite Philosophie à l’usage des non-philosophes, 1997. – Sempé, dessin. – Robert Guédiguian, Marius et Jeannette, 1998. – Schéma de la communication. – Claude Zaiman, Manières de table, 1991. – Robert Desnos, L’Aumonyme, 1923. Compétences

décroissance : vers un mouvement ? 3. La décroissance est-elle réalisable ? Conclusion INTRODUCTION Le 14 février 2002, à Silver Spring, devant les responsables américains de la météorologie, M. George W. Bush déclarait : « Parce qu’elle est la clef du progrès environnemental, parce qu’elle fournit les ressources permettant d’investir dans les technologies propres, la croissance est la solution, non le problème ». L'ancien président des Etats-Unis d'Amérique, pays dont l'économie nationale est la plus

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1. Le statut de l’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2. Le progrès scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3. L’épistémologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .