Alcools Surréalisme

Cys, … (nombre de C de la chaine latéral + Cα et C carboxyl) − C4 : Thr, Asn, Asp, … Selon la nature chimique du groupement latéral R Groupement latéral aliphatique • hydrocarboné : − linéaire : Gly, Ala − ramifié : Val, Leu, Ile • fonction alcool : Ser, Thr • soufré : Cys, Met • fonction acide (et amide correspondante) : Asp, Asn et Glu, Gln • fonction basique : Lys, Arg Groupement latéral cyclique • aromatique : Phe, Tyr, Trp • fonction basique : His • acide α – iminé : Pro • hétérocyclique

     Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure Apollinaire, Alcools (1912) Les différents plans possibles : I. LA FORME POETIQUE. a) 4 quatrains et refrain sous forme de distique (2 petit vers qui reviennent toujours) Forme:10/4/6/10. b) Refrain : vers impaires, heptasyllabes (élément essentiel de la musicalité

FICHE DE SYNTHESE ORAL : Apollinaire, Alcools, « Le pont Mirabeau ». Introduction : Le recueil de poèmes Alcools fut ecrit par Guillaume Apollinaire suite à un echec, une rupture amoureuse marquante avec Marie Laurencin, qui l’inspira par la suite. Poète de la Belle Epoque, il était face aux grands progrès, cinéma, automobile… Cette période connaissait une relative stabilité politique et économique. Apollinaire, maitre de l’Esprit Nouveau avec ses idées esthétiques novatrices, a suivi les pas

demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure "Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912) Melancholia  Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de

Tout p r réuss le ir ou BAC Alcools Guillaume Apollinaire Édition de Henri Scepi « Sous le pont Mirabeau coule la Seine »… Parmi les vers que les amoureux de poésie murmurent de temps à autre, bon nombre, sans aucun doute, proviennent des pages vivifiantes d’Alcools. Ce recueil révèle la fascination d’Apollinaire pour l’esprit nouveau des premières années du XXe siècle. Il nous fait don de mots en liberté qui chantent la mélancolie des souvenirs d’amours défuntes, la

époque heureuse où le poète découvre l’Europe Centrale et tombe passionnément amoureux de la miss anglaise Annie Playden qui lui inspirera des poèmes importants dans lesquels le poète célèbre sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans Alcools. Une fois à Paris, courroucé par son aventure malheureuse avec Annie Playden, il choisit son pseudonyme, forgé de deux prénoms : Guillaume Apollinaire. Le 18 avril 1903, le poète assiste au caveau du Soleil d’or à une soirée de la revue

qu’Apollinaire connaît le succès avec la publication d’Alcools. Dans ce recueil il ne va presque jamais respecter les règles de la poésie classique, Alcools montre le poète déchiré par ses ruptures amoureuses (avec Annie Playden, et Marie Laurencin). Le titre du recueil est polysémique et à de nombreuses significations. En quoi les différents poèmes présents dans Alcools présentent les différents aspects de ce titre polysémique ? Dans un premier temps le titre a une signification avec son premier sens

Les aspects de la modernité dans Alcools d'Apollinaire Les progrès techniques évoqués : A la fin des années 1880, l'exposition universelle de 1889 inaugure la Tour Eiffel. Le poème « Zone » exprime la beauté du monde moderne. Apollinaire a aussi fait un calligramme en forme de Tour Eiffel

comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle Il a parut pour la premiere fois dans le premier numéro de la revue "Les Soirées de Paris en février 1912. Puis Guillaume Apollinaire l'a repris dans son célébre receuil Alcools en 1913. Puis officiellement et individuellement en 1916 Les chants lexiquaux dominats sont ceux de l'amour et du temps, sujets éternels qui ont donc était repris de nombreuses fois en chanson par de grands Artiste comme Cora Vaucaire sut une musique

tour du monde appelé « la tour de 300 mètres ». Apollinaire à séjourné régulièrement à Paris et est fasciné par toutes ces prouesses technique comme on peux le voir dans le poème « Zone ». C'est le poème liminaire (qui ouvre le recueil) du recueil Alcools qui a été publié en 1917. initialement le recueil devait s'appeler Eau de vie c'est au dernier moment que le titre sera changé et que la ponctuation sera enlevé et que deux poèmes seront ajoutés « Zone » au tout début du recueil et « Vendémiaire »