Alexandre de Médicis

gentilshommesPierreUn messagerL'orfèvreLe marchand de soiePuis deux précepteursUn petit salviatiUn petit StrozziDes étudiantsDes soldatsPhillipe LorenzoPuis JeanPippoLa fouleDes soldatsLe cardinal CiboCôme de Médicis | Le premier acte décrit la situation à Florence en 1537. On y voit le duc Alexandre de Médicis séduire et enlever une jeune fille avec l’aide de Lorenzo (scène 1). Pendant la scène 4, Lorenzo, provoqué en duel, s’évanouit à la vue d’une épée. Plusieurs scènes de rue montrent le peuple de Florence

1530, la chute de la république fut suivie de la reprise de la dynastie médicéenne avec Alexandre de Médicis. = les républicains tentent de faire tomber ces deux dynasties à leur profit, mais échouent puisque se sont des personnalités étrangères aux républicains qui vont accéder au pouvoir). Ainsi, l'action se déroule à Florence en janvier de cette même année. Le patricien florentin Lorenzo de Médicis, surnommé Lorenzaccio à cause de sa petite taille, est âgé de dix-neuf ans. Fervent admirateur

spectre s’est assis […] j’ai reconnu mon Lorenzino d’autre fois ». Ce spectre d’autre fois permet au lecteur de voir l’écart entre le jeune Lorenzo et l’actuel. Mais Marie ne connait pas tout de même les vrais plans de son fils de tuer le duc Alexandre de Médicis ; elle n’agit pas comme confidente. Même si elle l’aime elle ne voit que le masque de corruption et débauche sur son fils et elle dit sentir de l’honte par les actes qu’il accompli : Acte I scène VI (l.91) « ne puis-je voir une fille sans pudeur

en janvier 1537. Lorenzo de Médicis, jeune débauché cynique, pourvoit aux plaisirs de son cousin, le tyran de Florence, le duc Alexandre de Médicis. Peu à peu derrière le masque de l’homme corrompu apparaît un autre Lorenzo, bien différent du méprisé Lorenzaccio, puisqu’il aspire à assassiner le duc et ainsi à offrir aux Florentins la possibilité de reconquérir leur liberté. Mais au dernier acte, après la mort du duc, Florence se donne un nouveau maître, Cosme de Médicis, et condamne à mort celui qui

Lorenzaccio, qui afin de tuer un tyran, le Duc Alexandre de Médicis, se plonge dans le monde du vice et de la débauche. La dualité entre le but, noble et vertueux, et les moyens employés, débauche et luxure, sera très développée par Musset. Cet héros romantique, ressemblant au héros Shakespearien Hamlet, apparaît comme un double de Musset. I] Un Lorenzo débauché Lors de la première scène de la pièce, Lorenzo apparaît comme l'entremetteur du Duc de Médicis. Lorenzo au cours d'une longue tirade parle

(1810-1857), Lorenzaccio (1834), Acte IV, scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVI siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les

romantisme voit le jour, mêlant centration sur le moi et mélancolie. Plus précisément, Musset, avec sa pièce Lorenzaccio, s'inscrit dans le théâtre romantique. Ce drame, dont Lorenzo de Médicis est le héros, dépeint les oppositions que Florence a connues au XVIème siècle. Alors que Florence est gouvernée par Alexandre de Médicis, tyran et débauché, Lorenzo se rapproche de lui afin de mettre fin à son règne, établir la république et calmer les oppositions. Mais sa mauvaise réputation le suit et ses idées

contraire aux règles morales, mais le fait d'une manière enthousiaste, avec une exaltation excessive. ( voir tirade ). On relève un rythme ternaire ( ) Le Duc, au contraire apparaît comme un personnage grossier, impatient et obscur. Alexandre de Médicis, n'hésite pas à corrompre ses sujets pour subvenir à ses fins. Il jure sans cesse ( ), et s'impatiente rapidement. ( ). Le Duc apparaît ici comme un personnage rustre, préoccupé seulement par le froid et l’argent. Son attitude

aussi n'est au fond qu'une des conquête d'Alexandre de Médicis et que nombreuses sont les familles à Florence qui ont été victimes de cette soif de chair du Duc : « Que tu es belle, Florence, mais que tu es triste ! Il y a là plus d'une maison où Alexandre est entré la nuit, couvert de son manteau » Scène dont on est témoin dès la première scène de la pièce quand le Duc va rejoindre Gabrielle, une adolescente achetée par Lorenzo pour Alexandre. Ensuite en ce qui concerne toujours la débauche,

française | Cette oeuvre est un drame romantique dans la mesure où Lorenzo est un héros déchiré entre ses passions et ses engagements. C'était un être bon qui s'est pervertit dans le seul but de rétablir la République en assassinant le duc Alexandre de Médicis qui est un véritable tyran (il séduit, enlève à leur famille de nombreuses femmes, fait régner la terreur par le biais de soldats Allemands...). Or Lorenzo s'est en quelque sorte corrompu de manière définitive car il dit avoir prit goût au