Alexandre de Médicis

Laurent de Médicis qui régnait alors sur Florence. Par ce traité de politique, il s’inscrit dans la lignée des grands penseurs qui ont essayé de faire de leur roi des « despotes éclairés » : Platon pour Dion de Syracuse, Aristote pour Alexandre le Grand, Sénèque pour Néron, Suétone pour Hadrien. Mais si ce traité est resté célèbre, c’est certainement en raison des mystérieuses intentions de l’auteur. Souhaitait-il rentrer en grâce et trouver un emploi de conseiller auprès de la famille Médicis ? Ne dresse-t-il

grande fresque historique n’a rien { voir avec ces travaux précédents. Celle-ci lui offre une petite pièce : une conspiration en 1537. Varchi et Marguerite de Navarre court déjà écrit sur ce sujet : Varchi, contemporain de fait, et biographe des Médicis, publie en 1547 Storia fiorentina tandis que Marguerite de Navarre publie en 1548 l’Heptaméron. On a donc témoignages de première main dont se sert George Sand pour écrire les 6 scènes de la pièce. Musset modifie un peu l’histoire originale : la mère

qu’ils sont cousins or le fait que Lorenzo l’appelle Altesse et qu’il le vouvoie « dites »( l.7) montre bien son talent de flatteur, il amène Alexandre à se ranger a son point de vue du connaisseur ligne 14 , qui s’applique a étudier les cheminement de l’amour , étudier en se lancer infiltrer paternellement. Le message envoyé est le suivant : Alexandre tu est un être hors du commun intelligent, rusé , puisque tu es même capable d’étudier les progrès de l’amour, du reste le duc ne répond même pas

élu à l'Académie française en 1852. De santé fragile (malformation cardiaque), mais surtout en proie à l'alcoolisme et à la débauche il meurt le 2 mai 1857. Résumé du livre A Florence, Lorenzo projette d'assassiner son cousin, le tyran Alexandre de Médicis, un butor débauché et cruel. Entre désenchantement et idéalisme, la figure complexe de celui que l'on surnomme Lorenzaccio a inspiré à Alfred de Musset ce chef-d' œuvre du drame romantique. C’est un drame en cinq actes, publié en 1834 dans

Machiavelli, homme politique, écrivain et philosophe italien. Secrétaire de la république de Florence, il a rempli de nombreuses missions diplomatiques (en Italie en France et en Allemagne) et réorganisa l'armée. Le renversement de la république par les Médicis (1513) l'éloigna du pouvoir. Il mit à profit cette retraite forcée pour écrire la majeure partie de son œuvre d'historien et d'écrivain : Le prince  (1513, publié en 1532), Discours sur la première décade de Tite-Live (1513-1519), L’Histoire de Florence

reprise de Georges Sand, sa liaison de l’époque. Elle en avait fait qu’un acte que Musset développe en cinq actes ; c’est une pièce qui est destiné à être lu « dans un fauteuil ». La pièce se déroule en 1537 à Florence sous le joug du duc, Alexandre de Médicis. Lorenzo projette de l’assassiné pour amener une République. Pendant que tout ceci se trame, on remarque la manipulation et les trahisons qui ont envahi Florence. Donc, quels sont les sentiments que le spectateur ou le lecteur peut éprouver

les textes du corpus. Sujet corrigé pour l'écriture d'invention - écrit du bac de français www.bacdefrancais.net/ecrit/invention-sujet-1.php‎ Annexe au corpus : Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938). ... d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. La Boétie L.A 1 - Espace Lettres sabariscon.e-monsite.com/pages/cours-premiere-l/la-boetie-l-a-1.html‎ Séance 2 : lecture analytique 1 : depuis « Or ce tyran » p 3 à « devient sèche et ... le Prince

Musset, Lorenzaccio (1834), Acte IV, scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les

employé comme fonctionnaire dans la république de Florence, notamment comme légat auprès de puissances étrangères comme la France, l'Allemagne ou César Borgia1. En novembre 1512, quelques mois après l'instauration d'une monarchie à Florence par les Médicis, il est déchu de sa charge ; en décembre, après la découverte d'un complot républicain ourdi par ses amis, il est emprisonné puis exilé dans sa métairie de Sant’Andrea in Percussina2. C'est là qu'il écrit le Prince. La rédaction en est commencée en

travers plusieurs personnages proches de lui, comme Tebaldeo représentant ta pureté passé et enfouie. Krejca a aussi donné une dimension fantastique à sa mise en scène: l'idée de métamorphose d'un duc à un autre quand le tapis qui contenait Alexandre de Médicis s'ouvre pour laisser place au corps de Côme, son prédécesseur. Finalement, il a donné une dimension éternelle à cette histoire, car après la découverte de Côme, nous apercevons un « Lorenzo » à ses pieds, ainsi cette histoire est sans fin,