Alexandre de Médicis

Carlos roi d'Espagne personnage type de la renaissance. Doña Sol de Silva amante d'Herani. Personnages mis en scène par Alfred de Musset: · Lorenzaccio (1834) Alexandre de Médici, duc de Florence Lorenzo de Médici, cousin Un grand nombre de personnages sont mis en scène ; seigneur républicain, bourgeois, peintre, famille de Médici, un marchand, pages, soldats, courtisantes, domestiques... · Les Caprices de Marianne (1833) Coelio amoureux de Marianne et fils de Hermina.Il veut montrer son

ne sont pas des valeurs terrestres. Il en éprouve un grand désespoir. Il témoigne de cette difficulté d’être d’une génération romantique consciente de l’absurdité du monde, de la perversion de l’homme. Il a utilisé la débauche pour approcher Alexandre de Médicis, afin de pouvoir mieux le tuer et ainsi atteindre le but qu’il s’est fixé. Mais les plaisirs lui sont devenus peu à peu indispensable : ce sont maintenant pour lui des moyens d’évasion destiné à lui faire oublier son irrémédiable déchéance

était autrefois (brillant, intellectuel). Cependant, Catherine, pense qu’il a gardé ses qualités d’autrefois. Mais il y a aussi un problème politique: le peuple florentin éprouve de la lassitude envers la tyrannie des Médicis et les républicains veulent renverser le duc Alexandre. Sujet: La scène a lieu devant le portail d’une église. C'est une scène de rue, facile à mettre en scène. C'est d'ailleurs la seule scène d'extérieur de l'acte II. Cette scène est relativement longue et se divise en

Alfred de Musset, Lorenzaccio, acte IV, scène 9. [La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les

de Musset, Lorenzaccio (1834), Acte IV, scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les

Mondes, mais elle est stratégiquement mise en 1e position dans le recueil, du fait de l’influence du genre dominant des ces années 30, le drame romantique (paysage dominé par Victor Hugo et Alexandre Dumas). Musset cherche à mettre son Lorenzaccio en compétition avec les drames historiques de l’époque : Alexandre Dumas, Antony, 1831, la Tour de Nesle, 1832, Victor Hugo, Lucrèce Borgia, 1833. Théophile GAUTIER, s'il a aimé Musset dès la première heure, apprécie aussi Victor Hugo. Pourtant, quand

leurs ouvrages. La mère de Henri IV mourut d’une pleurésie ; combien d’auteurs la font empoisonner par un marchand de gants qui lui vendit des gants parfumés, et qui était, dit-on, l’empoisonneur à brevet de Catherine de Médicis[4] ! On ne s’avise guère de douter que le pape Alexandre VI ne soit mort du poison qu’il avait préparé pour le cardinal Corneto, et pour quelques autres cardinaux dont il voulait, dit-on, être l’héritier. Guichardin, auteur contemporain, auteur respecté, dit qu’on imputait la

parallèle peut être ainsi conduit : Musset Lorenzo France 1830 Florence, Renaissance Fin de la Restauration (Bourbons,souverains légitimes ») Début de la Monarchie de Juillet ( Louis Philippe, branche des Orléans) Règne du duc Alexandre de Medicis ( branche illégitime) Opposition républicaine inefficace Opposition républicaine sans espoir véritable de réussite. Voir P. Strozzi Déception de Musset face aux républicains empêtrés ds les discours stériles Amertume de Musset libéral

ont modifiés les critères afin de définir de nouvelles figures de l’excellence. Aristote, valorise le grand homme « le magnanime », c’est-à-dire que c’est l’homme de bien, qui contrairement au héros classique a été purifié de la violence. Quant à Alexandre, dont Aristote était le précepteur, parle plutôt d’un modèle héroïque homérique. C’est-à-dire qu’il construit par lui-même sa légende, grâce aux scientifiques, géographes, qui l’entourent. Enfin, pour l’époque hellénistique, l’héroïsation se banalise

regarde Lorenzo, mais aussi pour Marie Soderini, Tebaldeo, et ce personnage essentiel qu'est Florence : hommes, femmes, ville, bien loin d'être conçus abstraitement, sont aimés, plaints, par un mouvement qui est celui de la compréhension et du cœur. Alexandre lui-même n'est pas complètement odieux. Tous prennent place dans un univers sentimental. La poésie de Lorenzaccio est une poésie passionnée. C'est aussi une poésie de transfiguration, par l'effet de cet autre prisme qu'est l'imagination. On peut