Alfred Dreyfus

Chapitre 3 : Médias et opinion publique dans les grandes crises politiques en France depuis l'affaire Dreyfus Comment les médias participent-ils à l'élaboration de l'opinion publique ? Quel rôle les médias jouent-ils dans les grandes crises politiques ? Depuis la fin du XIX siècle, l'OP est lié à l'essor des médias. La période est marqué par l'avènement des médias de masse, tenant un rôle indispensable dans un société démocratique. Devenus le lieu où se forme l'OP, ils ont une place prépondérante

est une construction politique progressive, désormais bien installée mais qui a tardé à élargir les droits démocratiques à l’ensemble de ses citoyens (exemple du vote des femmes), qui a connu des crises qui l’ont gravement ébranlée, comme l’Affaire Dreyfus voire des remises en cause radicales, à l’image du régime de Vichy qui s’installe pendant l’année 1940. Ces sujets d’étude visent à faire comprendre aux élèves que la République et la démocratie ne sont pas des données intangibles mais peuvent être

crise aura donc imprégné la IIIe République puisqu’elle permettra par la suite des revirements majeurs des charges des Chambres et du gouvernement. La IIIe République sera par ailleurs marquée notamment par plusieurs scandales tels que l’affaire Dreyfus qui divisa l’opinion publique française en deux mais aussi l’affaire de Panama qui conduisit certains hauts placés à voter des lois en échange d’une contribution financière… Enfin, les instabilités gouvernementales apparaissent comme la maladie chronique

furent écartés, parmi lesquels Clemenceau (battu à Draguignan), Floquet (battu à Paris), tandis qu'une partie de l'opinion perdait confiance dans le régime parlementaire et devenait attentive à la dénonciation du régime au moment où éclatait l'affaire Dreyfus. Enfin, l'épargne française se détourna des grandes entreprises industrielles pour préférer les petites valeurs à revenus fixes et les emprunts d'État. Le scandale financier doublait le scandale politique. L'antisémitisme allait y trouver des prétextes

antiparlementaire. Mais constituant une menace, il est écarté : ce fut la fin de la tentation autoritaire. Le scandale politico financier de Panama anima lui aussi le camp de l’antiparlementarisme (régime corrompu, etc). Ce fut suite à la longue « affaire Dreyfus » que la république fut définitivement acceptée : les dreyfusards ont défendu plus largement des notions de valeur morale par exemple, dont on retrouve trace ensuite au XXe siècle. La minorité royaliste ou Bonapartiste du XIXe n’est plus influente

du naturalisme dont la vingtaine de roman sur l'histoire des Rougeons Macquart sont des exemples. Rendu célèbre en 1877 par L'Assommoir. A la suite de celui-ci, il devient le romancier le plus célèbre de son temps. C'est un auteur engagé (Affaire Dreyfus). Il s'exile en Angleterre après cette affaire. Il meurt d'une asphyxie due à un système de chauffage défectueux, peut d'origine criminelle. résumé: Cette extrait raconte le moment où la locomotive déraille. Plan Problématique: Dans quel

permet au régime de surmonter de nouvelles crises - échec du général Boulanger qui voulut renverser le régime - scandale de Panama où des députés avaient été achetés pour voter une loi en faveur de la Cie du canal de Panama - affaire Dreyfus (faussement accusé d’espionnage) qui divisa fortement l’opinion et mise en lumière l’antisémitisme latent d’une partie de la population. III) l’apogée du modèle républicain. A : Le soutien des classes moyennes. De 1902 à 1914, les radicaux sont

entre son épouse et cette jeune femme. Il aura deux enfants avec elle : Denise et Jacques. 1892 : Il est nommé président de la société des gens de lettres. 1897 : Il commence à prendre parti pour le capitaine Dreyfus. 1898 : Affaire Dreyfus : Convaincu de l’innocence du capitaine Dreyfus , Emile Zola publie dans L’Aurore le 13 janvier une lettre au président Félix Faure intitulée : J’accuse. Enorme résonance de cet article. La France se divise en deux camps hostiles : les dreyfusards et les anti-dreyfusards

Le terme « intellectuel » est d'apparition récente. Il est directement lié à l'Affaire Dreyfus en France : le mot a été adopté par Maurice Barrès et Ferdinand Brunetière, qui, dans leurs écrits anti-dreyfusards, entendaient dénoncer l'engagement d'écrivains comme Émile Zola, Octave Mirbeau ou Anatole France en faveur de Dreyfus, et sur un terrain – les affaires militaires et l'espionnage – qui leur était étranger. La connotation péjorative initiale (l'intellectuel comme penseur réfugié dans l'abstraction

Jaurès prend part. A la Une du Petit Journal, on voit Mariane, qui représente la République, montrer à Jean Jaurès la perte de Strasbourg en 1870-1871. Les deux grands débats qui agitent la vie politique française à la Belle Epoque sont l'Affaire Dreyfus, qui divise la société française entre dreyfusards et antidreyfusards (conflit qui s'immisce jusque dans les familles), et les lois concernant la séparation de l'Eglise et de l'Etat qui sépare la France entre les catholiques et les républicains.