Alfred le Grand

 Ubu roi D’Alfred Jarry L’auteur Alfred Jarry est né à Laval (Mayenne) le 8 septembre 1873 et est mort à Paris le 1er novembre1907. C’est un poète, romancier et dramaturge français. Précoce (dès 1885), il compose des comédies en vers et en prose ainsi que des poèmes qui prennent une tonalité de plus en plus macabre au fil des années. En 1888, Alfred Jarry entre en rhétorique au lycée de Rennes. C’est dans cet établissement qu’il fera la connaissance de M. Hébert, professeur de physique,

son mari l’enferme dans le cachot d’une abbaye… lui offrant la liberté de mourir lentement d’inanition ou rapidement, tuée par le poison qu’il lui laisse…Intervient alors Alfred de Nerval, ancien amoureux silencieux de Pauline. «Par hasard», il se trouve pris dans une tempête en mer et s’échoue tout près de cette abbaye… Alfred voit quelqu’un en sortir et décide aussitôt de revenir pour découvrir ce qui s’y cache. Entre-temps, il apprend le décès de Pauline et réalise, se glissant à son chevet, qu’il

l'enferme dans le cachot d'une abbaye... lui offrant la liberté de mourir lentement d'inanition ou rapidement, tuée par le poison qu'il lui laisse... Intervient alors Alfred de Nerval, ancien amoureux silencieux de Pauline. «Par hasard», il se trouve pris dans une tempête en mer et s'échoue tout près de cette abbaye... Alfred voit quelqu'un en sortir et décide aussitôt de revenir pour découvrir ce qui s'y cache. Entre-temps, il apprend le décès de Pauline et réalise, se glissant à son chevet,

d'inanition ou rapidement, tuée par le poison qu'il lui laisse... | |Intervient alors Alfred de Nerval, ancien amoureux silencieux de Pauline. «Par hasard», il se trouve pris dans une tempête en mer et s'échoue tout près de cette abbaye... | |Alfred voit quelqu'un en sortir et décide aussitôt de revenir pour découvrir ce qui s'y cache. Entre-temps, il apprend le décès de Pauline et réalise, se glissant à son |

Issu d'une vieille famille de juifs alsaciens, il naît à Mulhouse le 9 octobre 1859. Le 6 octobre 1894, la Section de statistique (service de renseignements de l'armée) soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit non signé adressé à l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne en France et relatif à l'envoi de documents secrets. Le bordereau avait été intercepté le mois précédent à l’ambassade d’Allemagne, par une femme de ménage dans le bureau de l'attaché

Alfred de Musset (1810-1857) Alfred de Musset, de son vrai nom Louis-Charles Alfred de Musset-Parthay est un poète, dramaturge et romancier français né le 11 décembre 1810 à Paris et décédé le 2 mai 1857 à Paris également. Alfred de Musset a grandi au sein d’une famille aristocratique parisienne, aisée et cultivée qui lui transmet donc le goût des arts et des lettres. (On prétend même que sa grand-tante était Jeanne d’Arc.) C’était un brillant écolier

est une tragédie dont le héros est resté inconnu. Alfred Dreyfus demeure neutre d'aspect aux heures les plus atroces de son destin. Il ressemble à un cheval de corrida sans cri et sans regard dont les entrailles pendent. Il ne sait pas crier. Il ne veut pas crier. » (François Mauriac) L'arrestation d'Alfred Dreyfus et le premier procès 6 octobre 1894 : La Section de statistique (service de renseignements de l'armée soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit

littérature semble prendre forme peu à peu, et il affirme ainsi, à 17 ans : « Je veux être Chateaubriand, ou rien ! ». Néanmoins, en 1822, Victor Hugo se retrouve extrêmement perturbé suite à la mort de sa mère pour laquelle il éprouvait une très grande affection. Anéanti, il décide alors de débuter dans le milieu littéraire en fondant, avec ses frères, Abel et Eugène, une revue intitulée : « Le conservateur littéraire ». Ses qualités d’écrivain se font tout de suite ressentir et le propulsent dans

Ils ne jouent pas. « Un enfant qui ne joue pas n’est plus un enfant », se dit Alfred Brauner, volontaire français des Brigades internationales. Parce qu’il possède une expérience avec des enfants dits inadaptés, Luigi Longo1 lui confie, en cet automne 1937, la direction d’un comité d’aide S’engager pour l’enfance Les enfants de la guerre ne sont plus des enfants… implacable antienne, nullement abstraite pour Alfred Brauner : né en 1910, à Saint-Mandé, le voilà aux lendemains de la première guerre

l’identité québécoise, car elle s’exprimera désormais à l’aide de poèmes. Lorsqu’on évoque la poésie québécoise, un grand nom apparaît, celui d’Émile Nelligan, sa poésie était unique, inspirée de grands poètes français et empreint d’images. Il eut plusieurs autres poètes québécois après Nelligan qui furent tout aussi bons, il est certain que Nelligan a été une source d’inspiration. Alfred Desrochers est l’un des poètes ayant succédé à Émile Nelligan, il a écrit «Je suis un fils déchu», l’un de ces plus