Allemagne Enjeu Rivalité Est Ouest

d’Europe au XXème siècle Introduction : - L’Europe est avant tout un territoire de conflits entre les peuples - Conflits pour lutter contre des envahisseurs ou pour agrandir son espace - Certaines rivalités ont durées des siècles : France-Angleterre ou Allemagne - Dés XVIIème, l’Europe présente une homogénéité culturelle, politique et économique - La Première G.M va faire germer l’idée d’une conscience européenne - Sa construction va s’étaler sur tout le XXème

d’armement et d’usines. Il y a des régimes totalitaires, ils utilisent la violence, la terreur pour former de nouveaux hommes. On décompte 4 grandes dictatures : * Italie, 1922 Mussolini arrive au pouvoir et fonde le fascisme. * Allemagne, janvier 1933 Hitler prend le contrôle de l’Allemagne et instaure le Nazisme * Japon, Hiro Hito dirige le pays d’une main de fer * URSS, 1924 Staline prend le pouvoir suite à Lénine, il dirigera l’URSS également d’une main de fer Face à

belligérants évitaient l’affrontement direct[5]- d'où l'expression : « Paix impossible, guerre improbable ». Si l'on retient généralement la fin de la Seconde Guerre mondiale comme point de départ de l’affrontement idéologique entre les deux blocs Est-Ouest, certains auteurs à l'instar d'André Fontaine, ancien rédacteur en chef du journal Le Monde, font remonter cet affrontement à la révolution russe de 1917. Selon Claude Roosens, la distinction idéologique propre à la guerre froide serait la conséquence

les autres. Depuis le 18ème siècle, tout est rétroactif : il y a plus de cloisons entre les affaires de dedans et dehors. Il y a 5 branches des sciences politiques dont les relations internationales (RI). Il y a des enjeux humains derrières ces RI : un espace où se mêle des enjeux humains mais aussi des passions humaines et où s’oppose la liberté, volonté, avidité. Il y a des constances, des choses qui n’ont jamais varié. Si c’est une branche dans les sciences politiques, les RI ne sont pas des

Postdam, l’été 1945, le malaise se confirme. Les divisions entre les Alliés l’emportent et un climat de méfiance s’installe. Quelles sont les raisons de ce malaise et pourquoi dès qu’il s’agit d’intervenir en Allemagne, on assiste à des séismes qui ont pour épicentre ce pays ? Le monde assiste , dès lors, au durcissement progressif des relations entre deux entités , deux modèles politiques et économiques . Beaucoup de pays

LA FRANCE SOUS DOMINATION ALLEMANDE, 1940-1944. Vision des occupants et des occupés, étude des deux camps. OCCUPANTS ET OCCUPES, UN DIPTYQUE TROP SOUVENT APPRÉHENDE DE FAÇON DÉSÉQUILIBRE. Vichy, enjeu de mémoire. 1995: Chirac reprend la thèse de l'appui volontaire de l' Etat Français à la mise en place de la solution finale dans un discours. Régime né de la défaite de Juin 1940 devant les nazis. Déroute militaire conjuguée avec la chute d'un régime républicain; l'histoire de Vichy s'inscrit

question allemande, les occidentaux décident d’unifier leurs zones (bizone en 1947, puis trizone en 1948) et annoncent la création d’une monnaie allemande : le deutsche Mark ;  Staline réagit, le 24 Juin 1948, en établissant un blocus sur Berlin Ouest ;  Les américains répondent en créant un gigantesque pont aérien pour ravitailler la ville ;  N’ayant pu faire céder les occidentaux, Staline lève le blocus en Mai 1949  La crise débouche sur la division de l’Allemagne en RDA et RFA ; La guerre

belligérants évitaient l’affrontement direct5- d'où l'expression : « Paix impossible, guerre improbable ». Si l'on retient généralement la fin de la Seconde Guerre mondiale comme point de départ de l’affrontement idéologique entre les deux blocs Est-Ouest, certains auteurs à l'instar d'André Fontaine, ancien rédacteur en chef du journal Le Monde, font remonter cet affrontement à la révolution russe de 1917. Cette version est aussi avancée par le Professeur Claude Roosens, Professeur à l'UCL. Ainsi,

zones d’occupation (carte p.23) Les américains et les britanniques veulent éviter un nouveau « diktat » à l’Allemagne et souhaite mettre fin à la politique de désindustrialisation et de désarmement décidée à Yalta et à Potsdam. Ils craignent qu’une Allemagne pauvre bascule dans le communisme. Staline perçoit ce changement de la part des alliés et renforce sa volonté de faire de l’Europe centrale et orientale libérée par son armée un « glacis protecteur » contre l’Ouest. C’est dans ce contexte de méfiance

politiques et d’une économie libérale tandis que les soviétiques instaurent un régime marxiste - le tribunal interallié de Nuremberg (novembre 1945-octobre 1946) est la dernière action commune des alliés ; la question allemande est devenue un enjeu A la conciliation se substitue les premières frictions : - l’ambition expansionniste de l’URSS se heurte à l’expansionnisme américain : - la mainmise de Staline sur la Pologne en marque le commencement - le discours de Churchill