Allemands des Sudètes

pour la première fois à Berlin le 24 septembre 1921, c’est surtout sa seconde visite dans cette ville le 10 mars 1931 qui marque la première confrontation entre Chaplin et Hitler car tous les deux ayant acquis une popularité. A ce moment là, les allemands rient autant de Chaplin qu’ils ne font confiance à Hitler. Une énorme foule attend Chaplin à la gare centrale. Cependant, il ne fait pas l’unanimité dans un pays dominé par les nazis même si en 1931, Hitler n’est pas encore élu. Les journalistes

baisse, le franc est dévalué. Léon Blum démissionne en 1938. C’est Edouard Daladier qui devient président du conseil, il veut remettre la France au travail. III/ Crise et montée du nazisme en Allemagne. Une démocratie fragile. La démocratie allemande est fragile a cause est fragile à cause de : 1929, elle doit rembourser les dettes aux E.U. Du Diktat de Versailles + de l’humiliation par rapport à la défaite de 1918. Spartakisme (révolution communiste) République de Weimar ->

Religieux | L’Entre-deux-guerres 1 ] Identifie dans les propos d’Hitler des éléments expliquant le climat de cette période p. 60, doc. 2. a] Quelle est sa position concernant le système démocratique ? b] Comment présente-t-il la minorité allemande (les Sudètes) en Tchécoslovaquie ? Quel est son objectif ? 2 ] Analyse cette caricature suisse réalisée durant l’Entre-deux-guerres. Caricature parue dans le journal Nebelspalter, octobre 1936. a22 4 La Seconde Guerre mondiale La Seconde Guerre mondiale

1923, la difficile mise en place d’un ordre contesté montre déjà des fragilités de la SDN qui peine à s’imposer comme une institution de premier plan (I); cependant de 1924 à 1930 a lieu un bref age d’or grâce à l’amélioration des rapports franco-allemands qui fait croire à l’illusion d’une sécurité collective (II); illusion vite dissipée de 1931 à 1939: la marche à la guerre signe de l’échec d’un système que les États démocratiques ont voulu, mais ne sont pas prêts à défendre (III). La Première

semaine l’armée allemande se rapproche de paris et viole la neutralité de la Belgique en envahissant la France (à 50 Km). Les français qui sont dirigés par le général Joffre repoussent les allemands.  la bataille de la marne septembre 1914 : victoire de la France. Les soldats lorsqu'ils partent du front pensent que la guerre de mouvement serait courte où la priorité est donnée aux offensives. Sur le front est, la bataille de Tannenberg est remporté par les généraux allemands Ludendorff et Hindenburg

 guerre  mondiale   3 Les origines de la Grande guerre ont été largement débattues. Pour les alliés victorieux, la question se posa en ces termes : en quoi les Allemands et leurs alliés sont-ils responsables de son déclenchement ? A Versailles (28 juin 1919) les gagnants inscrivent dans le traité final la culpabilité allemande, qu’ils utilisent en premier lieu pour justifier les réparations réclamées. Les débats parmi les historiens sur les origines de la guerre se sont concentrés sur les facteurs

de le Triple Alliance. Le 3 aout 1914, elle déclare la guerre à la France et à la Russie. Alliée à ces dernières dans la triple Entente, le Royaume-Uni déclare la guerre à l’Allemagne après l’invasion de la Belgique, pays neutre, par les troupes allemandes. Pourtant membre de la triple alliance, l’Italie entre en guerre aux côtés de l’Entente en mai 1915, en échange de la promesse de territoires. Les gouvernements se sont enfermés dans une logique de guerre, sans mesurer l’ampleur qu’allait prendre

* difficultés budgétaires : un déficit gonflé par les pensions invalides, et du solde de la dette de guerre. Les rentrées fiscales à la fin de la guerre ne couvrent que 20 % des dettes. * et monétaires : Trop dépendante des réparations Allemandes, les spéculateurs préfèrent « assurer » avec le dollar et la livre (« crise de confiance » des petits porteurs »). Par ailleurs, la guerre a obligé à faire fonctionner « la planche à billes », qui amène une inflation sérieuse. Dépréciation du franc :

Europe, la politique de l'apaisement est inaugurée à partir de 1935. Jusqu'alors, la France reste attachée à une politique de fermeté incarnée par son ministre des Affaires étrangères, Louis Barthou. L'idée est de bloquer toute velléité de revanche allemande (système d'alliance autour du Reich et à l'égard de toute violation du traité de Versailles). La disparition de Barthou sonne le glas de cette politique intransigeante face à l'expansionnisme hitlérien. On entre dans l'époque de l'accommodement

accords qui permettrait de mettre fin à la crise des Sudètes et sceller la mort de la Tchécoslovaquie comme Etat indépendant. http://www.ushmm.org/wlc/fr/media_fi.php?ModuleId=187&MediaId=406 http://fr.wikipedia.org/wiki/Accords_de_Munich L'opération Barbarossa, ou barberousse est le nom donné à l'attaque de l'URSS lancée par Hitler et dirigée par Friedrich Paulus le 22 juin 1941. Barberousse était le surnom de l'Empereur allemand Frédéric Ier ( 1122-1190 ) qui était parti en croisade