Alliance de la gauche démocratique

pente fatale"- il a opéré une reconversion tactique vers une sorte d’étho-socialisme ou de chauvinisme social". Il y a néanmoins une autre lecture possible. S’agissant de l’Europe, face à la crise l’affrontement politique n’est plus tant entre la gauche et la droite (les partis de gouvernement soutiennent pratiquement la même politique à Bruxelles), mais entre les populistes (un gros tiers de l’électorat), qui auront du mal à s’unir et les "réalistes" (les deux tiers) conservateurs, libéraux ou sociaux-démocrates

organisés et surtout peu disciplinés. On trouve à droite les monarchistes eux-mêmes divisés en trois branches : les légitimistes, les bonapartistes et enfin les orléanistes et à gauche les partis sont aussi divisés en différentes branches. On voit aussi émerger une droite républicaine et une extrême droite nationaliste. A gauche une division va avoir lieu à l’occasion du congrès de Tours : le SFIO et les communistes. Ce multipartiste va perdurer sous la troisième République. Ainsi en raison de cette

jamais. » Opposition entre la France rurale et campagnarde qui soutient le régime impérial et une capitale où il existe un milieu urbain révolutionnaire (les blanquistes). Mais il y a aussi des modérés, incarnés par Thiers qui ne refusent pas une alliance avec les royalistes. Mais échec des Républicains fassent au plébiscite de 1870.Vote le 15 Juillet 1870 des crédits militaires. Les impératifs de la Défense Nationale: Le Gouvernement de la « Défense Nationale » établi suite à la proclamation

d’Allemagne (SPD:Sozialdemokratische Partei Deutschlands). Docs 1 et 2 p 136: 1891, congrès d’Erfurt, le SPD adopte programme politique proposant synthèse entre le marxisme et le réformisme. La lutte des classes est mise de côté au profit de l’action démocratique qui doit permettre améliorat° du quotidien prolétaires grâce à réformes, votées par une bourgeoisie soucieuse du peuple → préparation de la révolution passe au 2° plan. Doc 1 p 134→ progress° socialistes aux élect° : en 1871,SAP = 100 000 voix

Québécois. Et le second, plus universel, exprime l’opposition classique entre la droite et la gauche.» Toujours selon Noël, dans une grille popularisée récemment par les concepteurs de la Boussole électorale, formée par le croisement de ces axes qui situe les fédéralistes en bas, les souverainistes en haut et les positions de gauche et droite dans leur camp respectif, le PQ se retrouve en haut à gauche. Le nationalisme au Québec semble inséparable de l’idée que le Québec forme une société distincte

plus importante est l’ecclésia. » La dernière phrase pourrait être « La démocratie athénienne ne ressemble donc pas à la démocratie moderne, mais son fonctionnement (en particulier l’isonomie) a permis de fixer les bases universelles des systèmes démocratiques. » Réponses aux « À vous ! » Étape 1 Le mot à illustrer est « citoyen ». Il n’est pas le même à Rome et à Athènes, bien que ce soit le même terme. Mais le mot central de la construction de la problématique est « être ». Car « être » c’est

verrons ces motivations, et revendications en transformations. 2- Dans les dernières années de la période, l’idée nationale change de contenu dans certains pays et renversent ses alliances. Depuis le début du 19ème siècle, le nationalisme se situait plutôt à gauche. La tendance dominante avait été libérale et démocratique. Dans l’empire des Habsbourg également, un nationalisme d’inspiration démocrate s’exprime notamment chez les jeunes tchèques. Mais dans d’autres pays, le nationalisme devient l’allié

suisses (DS : schweizer-demokraten.ch) ; Lega dei Ticinesi (Lega : legaticinesi.ch) ; Union démocratique du Centre (UDC : svp.ch) ; Union démocratique fédérale (UDF : udf.ch). – Centre : Parti chrétien social (PCS : csp-pcs.ch) ; Parti démocrate-chrétien (PDC : cvp.ch) ; Parti évangélique suisse (PES : evppev.ch) ; Parti libéral suisse (PLS : liberal.ch) ; Parti radical démocratique (PRD : prd.ch). – Gauche : Alliance socialiste (AS : solidarites.ch) ; Grünes Bündnis (GB : gb-aves.ch) ; Grünliberale Zürich

Capitulation de l'allemagne. Avril 1946 : Création du Sed ( parti socialiste unifié d'Allemagne ) qui devient rapidement parti unique dans la zone Est. 24 mai 1949 : Création de la République Fédérale allemande. 7 octobre 1949 : Fondation de la République Démocratique Allemande. 1956 : Communisme interdit dans le contexte de la guerre froide. 1959 : Congrès de Bad Godesberg. → Abandon du Marxisme 1960-1970 : Fondement de l'APO ( façon de lutter → révolutionnaire ) Février 1990 : Le SED devient le PDS. Octobre

PAGE 17 I. La construction de l'Etat libéral (1833-1868) PAGE 18 Vers l’épreuve externe PAGE 24 II. Le Sexennat démocratique (1868-1874) PAGE 26 Vers l’épreuve externe PAGE 31 III. Les débuts de la Restauration monarchique (1874-1898) PAGE 33 Vers l’épreuve externe