Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice

www.UnMondeLibre.org L'état de la démocratie libérale en Afrique Résurgence ou recul ? par Tony Leon* Résumé P our une grande partie de la période postcoloniale, la tendance en Afrique a été à la dictature à parti unique. Aujourd'hui, même les dirigeants africains les plus despotiques souhaitent voir leur leadership confirmé par voie électorale. La démocratie est de plus en plus considérée comme la seule forme légitime de gouvernement en Afrique, mais la plupart du temps les élections

francophonie, dont Djibouti est membre à part entière. | |Dans une lettre adressée, le 9 mai 2003 à M. Abdou Diouf, secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), | |Ahmed Dini en appelle à son sens de la démocratie et lui rend compte des graves anomalies qui, selon lui, ont entaché le déroulement du | |scrutin du 12 janvier 2003. Il demande à l’OIF d’agir pour faire respecter ses principes fondateurs, « défense des droits de l’homme et | |promotion

héritages et la quête d’un destin maîtrisé. C’est de cette dynamique que se nourrit la politique aujourd’hui en Afrique. Les pays africains connaissent quasiment tous une crise socio-économique aiguë ces dix dernières années. Cette crise résulte en grande partie de la mauvaise gestion de la chose publique. Ce faisant, les populations africaines se dressent dans bien des pays contre leurs dirigeants politiques, ce qui fait remettre en question le politique. Cette remise en question de

d’aider à l’échange et à la diffusion des idées et des expériences de la Fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de l’homme (FPH) et de ses partenaires. Les ECLM sont membres de la Coredem, une confédération de sites-ressources pour une démocratie mondiale qui rassemble des partenaires autour d’une charte, d’un moteur de recherche et d’un wiki, www.coredem.info L’auteur Alexandre Wong est chercheur associé en philosophie (UPR 76 CNRS, groupe THETA), consultant (Les Jardins de la Cité), docteur

internationales se distillent dans un monde fini (reconnu par l’humanité moderne et disposant des moyens modernes de destruction, de production et de communication) et global ( caractérisé de plus en plus par l'interdépendance entre les différentes parties de l’humanité. Il existe trois types de RI : les relations transfrontières entre particuliers ( vacances, import-export...) régies par le droit international privé => société internationale les relations entre états ( relation diplomatico-stratégiques

quatrième conférence mondiale sur les femmes de Beijing, les gouvernements (y compris africains) se sont engagés à encourager et accélérer la participation des femmes à la prise de décision dans tous les organes publics et politiques. Cette volonté politique s’est renforcée en 2004, à travers la Déclaration Solennelle sur l’Égalité entre les Hommes et les Femmes en Afrique, par laquelle les États membres de l’Union Africaine, ont réaffirmé leur engagement pour assurer la parité au sien de la Commission

articles et ouvrages, dont: Le commerce et la traite des footballeurs africains et sudaméricains en Europe, L'Harmattan, 2001, Paris. La démocratie et ses blocages au Congo-Kinshasa de 1958 à nos jours, L'Harmattan, 2004, Paris. L'Occident pour ou contre la démocratie en Afrique - Le cas du Congo-Zaïre, L'Harmattan, 2005, Paris. Photo de couverture 1 : EtÎelU1eTSHISEKEDI WA MULUMBA s'adresse à la foule dans un meeting de son parti, l'UDPS (in Nigrizia, Avri12006) copyright L'HARMATTAN, 2006 site

dans les pays ou des coups d’états se produisent, les états sont obligés de négocier avec (cf : mali, Burkina Faso qui ont connu des coups d’états et la France doit négocier avec notamment le Mali). C’est aussi le cas quand il y a des difficultés de mettre en place le pouvoir notamment dans les démocraties parlementaires ou les partis doivent se mettre d’accord pour former une coalition, c’est l’ancien parti qui gère le pays comme en Belgique ou pendant 541 jours pas de gouvernement légal issus des dernières

. . . . . . . . . . . .55 4. Santé et prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .59 . . . . . . . . . . . . . . . . . .60 . . . . . . . . . .63 4.1. Droit à la santé, justice sociale et responsabilités citoyennes 4.2. Réduire la vulnérabilité des populations face aux maladies prioritaires 4.3. Des initiatives locales pour renforcer la santé communautaire . . . . . . . . . . . . . . . . .67 . . . . . . . . . . .

éventuelle dévaluation et ses conséquences dans la zone UEMOA. La première partie propose une brève revue de la présentation de l’UEMOA et de sa monnaie. La seconde partie propose l’’étude d’une dévaluation monétaire dans l’UEMOA par le biais d’une définition de la dévaluation elle-même puis par l’analyse des ses raisons avant de voir les conséquences qu’elle générera. Quand à la troisième et dernière partie nous parleront d’une autre vision de la dévaluation selon ceux qui dévaluent