Allocation personnalisée d'autonomie

encourage le développement des SSIAD1 et la création d’associations pour développer l’offre de services à domicile. 1997 : Création de la PSD2 pour pallier aux dépenses liées à la dépendance. La loi N°2001-647 du 20 juillet 2001 relative à la perte d’autonomie des personnes âgées porte création de l’APA3 qui vient remplacer la PSD. La loi N°2003-289 du 31 mars 2003 viendra modifier la précédente en créant notamment la grille d’évaluation AGGIR4 dans le but d’améliorer la prise en charge des personnes

les professionnels ou non professionnels du secteur. Le mandataire judiciaire à la protection des majeurs peut être amené à se rapprocher du CLIC dans le souci d’une meilleure préhension d’une mesure confiée et d’apporter les réponses les plus personnalisées à la personne âgée qui est au centre de la mesure. Le CLIC est un service de proximité. Il est en général de niveau 3, dont le champ d’intervention est une politique publique territorialisée en faveur des personnes âgées dans le cadre du schéma

sociale des patients. Ils réalisent ainsi des tests permettant de mesurer le degré de dépendance et d'autonomie (physique ou psychique) d'une personne âgée dans son quotidien par le biais de la grille AGGIR 1 (Autonomie Gérontologie Groupes Iso-Ressources). Ces informations que les médecins ou internes transmettent sert de support pour déterminer le montant de l'Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA). Les limites se trouvent dans la disponibilité de ces professionnels, souvent occupés, et avoir

plus près des besoins de la population varie en fonction de l’inégalité des ressources des collectivités locales et des différences de choix politique. III LA DECENTRALISATION Avant 1982, les communes et les départements n’avaient que très peu d’autonomie par rapport à l’Etat. L’Etat a transféré les compétences aux collectivités locales, améliorant ainsi l’équilibre des pouvoirs sur l’ensemble du territoire et la démocratie. Le principe est d’adapter les politiques publiques au plus près des besoins

repas - Assistante sociale : service d’accompagnement social - Aide sociale légale : - Service pour ouvrir leur droit (dossier) - CMU : couverture maladie universelle - APA : allocation personnalisée d’autonomie - AAH : allocation adulte handicapé - ASV : allocation spéciale vieillesse - RQTH : reconnaissance qualité travailleur handicapé - cartes : pension, macaron, invalidité - constitution de dossier de retraite - Service d’aide dans le placement

incluent également des dépenses d’action sociale, comme l’aide à la garde d’enfants, aux personnes handicapées ou âgées (allocation personnalisée d’autonomie), des aides au logement. Les prestations délivrées par les institutions de protection sociale prennent plusieurs formes : - prestations sociales (au sens strict) : versement en espèces (pension de retraite, allocations, indemnités, ...) ou en nature (remboursement de soins ou de médicaments, ... ) ; - prestations de services sociaux : accès

LA DEPENDANCE : NOUVEAU RISQUE SOCIAL ? Autonomie et dépendance La perte d’autonomie se traduit par l’impossibilité d’une personne à effectuer certains actes de la vie quotidienne. Le vieillissement de la personne est l’une des causes de la perte d’autonomie, le handicap en est une autre. Sur le terrain la perte d’autonomie peut nécessiter l’assistance d’une tierce personne. La perte d’autonomie peut être consécutive d’une diminution des capacités physiques et ou mentales de la personne

|-6 mai 2004 : création de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) | | |↳finance la prestation de compensation personnalisée ainsi qu’une partie du coût de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) | | |↳financer par la journée de solidarité | |

plus, une personne séjournant en EHPAD, dispose le plus souvent d'une chambre individuelle, où elle peut amener avec elle quelques objets personnels. On peut dire que la décision de partir en EHPAD, intervient lorsque la personne est en perte d'autonomie. Elle peut avoir du mal à se déplacer et à effectuer les gestes du quotidien ou ne plus avoir toutes ses facultés mentales. Egalement, avant d’intégrer un EHPAD les patients doivent se plier à un examen médical afin que les médecins jugent leur

* Situation de Mme L Mme L.F., âgée de 90 ans réside dans la maison de retraite depuis 6 mois, entrée le 11 avril 2011 pour perte d’autonomie en raison de la maladie d’Alzheimer de stade modéré. Mme L mesure 1m52 et pèse 47kg700. Elle a un IMC de 20. Elle porte des lunettes car ne voit pas bien : baisse de l’acuité visuelle, mais ne les met que pour lire. Elle se déplace à l’aide d’une canne et à, une prothèse intermédiaire suite à une fracture du col du fémur droit. Elle dispose d’un lit médicalisé