Allons Mon Pauvre Coeur Allons Mon Vieux Complice

grand seigneur espagnol... un maître absolu que son rang, sa fortune, sa prodigalité rendent tout-puissant... C'est un mari peu délicat....assez galant,..., un peu libertin."De plus, il doit être joué "très noblement avec grâce.... la corruption du cœur ne doit rien ôter au bon ton de ses manières." - La Comtesse est identifiée à ses qualités morales : c'est "la plus vertueuse des femmes... Un modèle de vertu, l'exemple de son sexe et l'amour du nôtre.... Un caractère aimable et vertueux".L'éloge

ferma les yeux, et s’imagina sur la mer. » XXIII Yvonne prend le rôle de la séductrice. « Elle est si différente d’elle-même. » Transformation instantanée. Pascal entre dans le jeu. Contre Suzanne. « C’est drôle comme ils ont été tout de suite complices, sans s’être donné le mot. » « Drôle d’être ici avec une autre… Yvonne parle à mi-voix : « Jamais… Jamais elle ne viendra nous chercher ici… » » « C’est du théâtre. » (leitmotiv) « Il découvre confusément ce goût du danger qui va dominer sa vie. »

l’emporta sur son amour pour sa frégate : aussi, en voyant arriver la retraite de son commandant, il sollicita immédiatement la sienne, qui, en faveur du motif qu’il faisait valoir, lui fut accordée, accompagnée d’une petite pension. Les deux vieux amis – car, dans la vie privée, la distinction des grades disparaissait – se trouvèrent donc tout à coup appelés à un genre de vie auquel ils étaient loin d’être préparés, et dont la monotonie les effrayait d’avance ; cependant il fallait en prendre

... 4 I LA PECHE MIRACULEUSE.................................................. 8 II SAINT-LOUIS-EN-L'ILE ....................................................21 III GERMAIN PATOU............................................................ 38 IV LE COEUR D'OR ................................................................ 51 V LA BORNE .......................................................................... 68 VI LA MAISON ISOLÉE......................................................... 84 VII L'AFFUT

protection contre les intempéries du monde, ses héros et héroïnes sont des solitaires qui essayent de vivre en dépit de la nature et des hommes. Robinson, jeté sur une île déserte, arrache à la terre ce qu’il lui faut pour manger son pain quotidien ; le pauvre Jacques, né parmi des voleurs, vit à sa manière pour l’amour seul de l’existence, et sans rien posséder, tremblant seulement le jour où il a trouvé une bourse pleine d’or ; Bob Singleton, le petit pirate, abandonné sur mer, conquiert de ses seules

ai point (de nom) (...) je n'ai que des sobriquets qu'il m'a donnés ; il m'appelle quelquefois Arlequin, quelquefois Hé ». Ainsi, l’idée d’échanger de nom avec son maître, l’amuse-t-il beaucoup : il voit là une belle revanche : « Oh, oh, que nous allons rire ! Seigneur Hé ! », l. 44. Iphicrate n’est pas, lui non plus, à court de reproches ou d’insultes : « esclave insolent » l. 10, « misérable » l. 22, et « maraud » l. 48, lui lance-t-il. Une telle maltraitance est un sujet de plainte pour le serviteur

garder sa maison» par deux femmes, sa sœur, Mlle Baptistine, et une servante, Mme Magloire) et un esprit de charité vraiment évangélique, qu’il déploie dans son «dur évêché». Son incarnation des vertus évangéliques l’amène à reconnaître, à travers un vieux conventionnel mourant, la lumière de la Révolution, et même à lui demander sa bénédiction, sans qu’il soit «un évêque philosophe» ou «un curé patriote». En effet, c’est un fervent royaliste qui ne cessa de témoigner au régime impérial une réserve hostile

une chose grave, toujours. Et comme c’est une chose grave, c’est aussi une chose qui délivre. Parce que cet acte part du plus profond de vous-même. De votre centre de gravité. Les mots que vous prononcez peuvent effleurer vos lèvres, effleurer votre cœur. Ces mots-là peuvent partir de la surface – celle qu’on use sans parvenir à entamer la peine qu’elle recouvre. Ceux que vous écrivez sont plus difficiles à extraire. C’est un exercice qui demande plus d’humilité. Pourtant, dès que vous leur avez fait

chinoise », nous examinerons les écrits des intellectuels immigrés chinois en France après les années de la Révolution Culturelle, écrits qui constituent le début de ce qu’on pourrait appeler dans ce texte "la littérature franco-chinoise". Puis, nous allons élucider la fonction des prix littéraires comme une stratégie de l’industrie culturelle et comme un outil mythologique. À travers la théorie d’orientalisme d’Edward W. Saïd, nous pouvons développer la problématique de « "l’Autre" construit par l’Orient

aussi avec émotion ma main droite et ses cinq doigts, chers petits enfants qui tous réunis tiennent avec élégance et efficacité un stylo-bille volé à un aveugle qui tendait sa sébile. Gratitude aussi envers mes deux cerveaux non opérés de la prostate à cœur ouvert pour leur sublime production. Merci à vous, ego et super-ego, qui m’accompagnez sur cette douce route où nous finissons réduits en cendres ou croqués par de gourmands asticots et autres dévoreurs funéraires. Vive la Vie, vive le Poker et vive