Allumer le feu

équitable pour eux, nous et notre terre. Les grands discours c'est bien. Mais les petits gestes c'est mieux. La différence on doit la faire aujourd'hui, car on le peut. Vas-y consomme! Consomme. Consume, consume! Tronçonne, tronçonne! Allume, allume! Mais que fais-tu si notre futur s'retrouve entre le marteau et l'enclume. Si ça brûle et que ça s'consume. Et qu'notre terre ressemble à la lune. Que fais-tu si notre futur s'retrouve entre le marteau et l'enclume. Dites-moi pas que

La poupée Dès que je l’ai vu je l’ai tout de suite aimée. Elle était belle belle belle avec ses petits vêtements. Et ses chaussures, si jolies! Si j’avais su ce qui serait arrivé, je n’aurais jamais demandé à maman d’entrer dans ce magasin. Mais cette poupée dans la vitrine était si belle. Comment j’aurais pu faire pour savoir? Et maman, ma pauvre maman! Elle me manque tellement, je me sens si seule, maintenant. Comment j’aurais pu savoir? La madame du magasin était si gentille. Elle m’avait

Projet personnel d’orientation Ma démarche exploratoire |Il s’agit de ma       démarche. | Identification |NOM :       |GROUPE :       | |DATE du début de la démarche :      

Arrivés au lieu de départ, Henri et moi, nous avons vérifié que nous prenions bien le sentier qui était prévu. Henri était un ami à moi, à qui je voulais faire découvrir les environs, mais il semblait encore septique. Peu à peu on (re)découvrit les alentours, un seul infesté de racines, et incrusté de toutes sortes d'arbres, des arbres qui semblait nous observer. -" Henri, je te présente la fameuse montagne des pères, tu seras ébloui par cette nature ! - Hum je vois en attendant n'oublie pas

je travaille dans une maison de retraite , je seconde l'animatrice de la structure, tous les quinze jours nous faisons une sortie à la crèche de notre ville avec trois ou quatre résidentes. Le bonheur et la joie de ces personnes est touchantes . Tout au long du chemin les résidentes nous parlent de la rencontre qu'ils vont faire , on sent bien leur impatience de cette rencontre et ils nous racontent les visites passées .A notre arrivée les enfants âgés de deux à trois ans trépignent et appellent

ggjjjjkllLe mot « wiki » signifie « vite » en hawaïen3. Il a été choisi parWard Cunningham lorsqu'il créa le premier wiki, qu'il appelaWikiWikiWeb. Il utilisa l'expression « wiki wiki », unredoublement qui signifie « très rapide », « très vite » (« wiki » se traduit par « quick » en anglais, et le redoublement apporte une accentuation du terme4), car c'est le premier terme hawaïen qu'il apprit lorsqu'il dut prendre un bus à la sortie de l'aéroport, et qu'à la création de son site, il voulait un terme

Deux élèves de seconde, Richard et Mohammed se retrouvent un après-midi afin de débattre sur l’utilité de l’école, chacun va tour à tour exposer ses arguments d’abord Richard et puis ensuite Mohammed : Richard : « Si nous étions tous comme Montesquieu, Voltaire etc., c'est vrai que l'école aurait été inutile. Mais il ne faut pas négligé le fait qu'ils ont été eux aussi à l'école. Alors si l'école existe c'est pour apprendre à des gens qui ne sont pas capables de réfléchir par eux mêmes, d'avoir

CHANGEMENT DE VIE QUELLE HISTOIRE …. !.......QUELLE HISTOIRE…. ??? EST-CE SI COMPLEXE LES SENTIMENTS … ??? POURQUOI TOUT SE MAL QUE L ON SE FAIT, OU PLUTÔT QUE JE VOUS FAIS ??? POURQUOI TOUT CES DOUTES CES QUESTIONS CES PROBLEMES, CE MANQUE DE COMPREHENSION DE FRANCHISE, CES PRISES DE TETES, CES COUPS DE GUEULE. POURQUOI TOUTES CES MENACES DE FUITES DE DISPARITION, APRES TOUTES CES PROMESSES CES BELLES PAROLES QUE

When I'm the loose it is you who shining through and through again Whenever, the rain comes down, the sun turns grey... When I needed you, you were always there When it comes to you, really nothing can compare You feel what I feel, know what I know Even through the darkest night You'll see what I see There's a reason to belive in you and me... I would die if you left me Drowning in sorrow Baby don't kill me tonight Would you hold on to me, girl? and love me tomorrow When I'm feeling

donc à Sainte-Marie toujours pleurant et toujours mourant : il me semblait qu’on m’arrachait le cœur et l’âme ; et en effet, quelle rude séparation ! Je demandai la liberté d’être seule ; on me mena dans la chambre de madame du Housset, on me fit du feu ; Agnès me regardait sans me parler ; c’était notre marché ; j’y passai jusqu’à cinq heures sans cesser de sanglotter ; toutes mes pensées me faisaient mourir. J’écrivis à M. de Grignan, vous pouvez penser sur quel ton ; j’allai ensuite chez madame