Pour ou contre la peine de mort
-" Henri, je te présente la fameuse montagne des pères, tu seras ébloui par cette nature !
- Hum je vois en attendant n'oublie pas qu'on doit être de retour avant dix-huit heures. "
-" Quel peureux !", lui lançait-je histoire de le taquiner, Henri était tout comme moi originaire de Kourou, mais il avait toujours vécu à l'hexagone, il était un peu hors du commun, pour ne pas dire bizarre !
On continuaient donc la marche, contrairement à ce que j'aurais pu croire, les animaux fut de la partie. Oiseaux, fourmis, agoutis et d'autres petits insectes, Henri avait l'air surpris.
Je connaissais presque par coeur ce sentier, il m'était impossible d'oublier le chemin du retour, je rassurai donc Henri. Il était seizes heures à ma montre quand nous avions fait à peine deux kilomètres.
Il fesait encore jour même si on observait déjà le soleil s'incliner, c'était maginifique, à ce moment précis j'étais décider à vraiment faire le sentier complet avec Henri. On continuaient à marcher et à observer, ces arbres semblaient faire pareil, ce qui n'était pas rassurant. Tel des des yeux, ces arbres nous suivaient, petit à petit je sentais que Henri n'étais pas rassuré. Je n'allais pas le prendre dans mes bras ! Au bout de sept kilomètre, il était dix-huit heures, quand soudainement des moustiques anormals venu de je ne sais où nous poursuivaient, il semblait affamés. Ils étaient surtout très gros !
Vu qu'il était déjà dix-huit heures, et que j'avais promis à Henri qu'on rentrais avant la nuit, je dévais renoncer à aller j'usqu'au bout du sentier. On rebroussaient donc chemin, le retour nous paru beaucoup
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