Alphabet arabe

Histoire et évolution de la langue arabe L'arabe appartient à la famille des langues afro-asiatique (ou chamito-sémitique) constituée de plus de trois cents langages,  dont certains se sont éteints et d'autres ont été utilisés de façon secondaire comme langue liturgique. L'arabe et l'hébreu sont les deux principaux exemples de langues sémitiques vivantes tandis que le Haoussa et divers dialectes Berbères sont des exemples de survivance des langages Hamites. Le plus ancien exemple connu, d’Arabe

consistances que peut prendre la neige ( ou la glace). Réciproquement, leur vocabulaire est moins riche que celui des Touaregs pour décrire les sables. Aussi comment traduire le sonnet de Rimbaut Voyelles dans une langue d'où ces lettres sont absentes, en arabe par exemple ? En somme, comme l'a écrit Levi Strauss, la langue est «le fait culturel par excellence ». On comprend alors pourquoi Dans Problème théorique de la traduction, Mounin atteste que le bilingue- parasité d'interférences- serait un mauvais

qu'en alphabet, il faut reproduire des sons. On réduit le nombre de signes (+ simple). Le plus vieux connu est l'alphabet ougaritique (30 signes cunéiformes) en Syrie actuelle vers –1500. Le premier alphabet on cunéiforme est apparu en Phénicie (Liban actuel) vers -1400 avec 22 signes consonantiques et s'écrivait de droite à gauche. Les Phéniciens commerçaient avec la Méditerranée. A l'occasion de ses échanges, ils font connaître leur alphabet. Vers le 8ème S. ils font apparaître un alphabet araméen

sociologiques et éducationnelles I – Introduction A – Généralités Au Maroc, et plus généralement en Afrique du Nord, un très grave déni culturel et identitaire basé sur la discrimination est à la base de l'action de l'Etat national qui se veut arabe et musulman et engage toutes ses forces pour arabiser les berbérophones. L'objet de cette discrimination officielle permet d'établir la violation des principes de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination

géo-histoire lui confère une unité relative 1. La configuration spatiale et les données bioclimatiques y contribuent S’étendant sur trois mille huit cents kilomètres d’ouest en est et large au plus de sept cents kilomètres, la Méditerranée « euro-arabe » illustre parfaitement le concept de « méditerranée » tel que le définit Y. Lacoste en insistant sur les « interrelations existant entre de multiples pays situés autour d’une étendue marine de l’ordre de quatre mille kilomètres de longueur » (Y. Lacoste

Il a détruit au lieu de construire. Il a oublié que la différence dans la culture constituerait au contraire une richesse à exploiter. Le thème de notre article d’aujourd’hui est le suivant : « Orient, Occident…. Quelle place pour la littérature arabe ? » Cette littérature qui ne représente pas seulement une vision, une inspiration et une improvisation mais une évidence, une réflexion et une détermination. « …Alors parlait le roi Jean

subsaharienne : au dessous du sahara/du Sahel : l’Afrique noir Maghreb=Maroc=occident (l’Ouest) à l’opposé le machrék (l’Orient) Pays riche différent de pays développé Arabe : la culture arabe (Kabils et berbères nient leur arabité du point de vue ethnique et culturel) plus grand pays musulman : l’Indonésie L’Iran est perse et non arabe Métropole : ce sur quoi s’appuie la Mondialisation, région dynamisée par des villes tentaculaires (les métropoles) ne pas résonner en terme de pays, ce sont généralement

notent sont dépourvus de sens en eux-mêmes et ne sont significatifs que lorsqu’ils sont en relation/système avec d’autres signes. Parmi les phonogrammes, on distingue :  Les lettres notant les phonèmes ou sons de la langue EX. lettres de notre alphabet ( alphabet latin)  c = [k] comme dans claque/ e = [] comme dans mégère; Les syllabogrammes notant une syllabe EX. syllabogrammes du linéaire B, la toute première écriture grecque en vigueur du XIVe siècle à 1200 ACN lors de la période mycénienne  =

population du Niger est formée de huit groupes ethnolinguistiques majoritairement adeptes de l’islam : les Haoussa (43,3 %), les Zarma (17,9%), les Fulfulde (8,5%), les Tamacheq (8,4%), les Kanuri (4,8%), les Songhaï (4,7%), les Arabes (qui parlent un arabe dialectal, 1,2%), les Gourma (0,5%). La tendance est au bilinguisme, voire au multilinguisme (au moins deux langues nationales plus le français, langue officielle) . Conformément à la Constitution du 9 août 1999 : "Toutes les communautés composant

: Le Maroc a reçu des apports humains et culturels en provenance de l’orient, de la France et de l’Espagne... Le paysage linguistique marocain, caractérisé par la multiplicité des langues, est le témoin de ces brassages : I-1-L’arabe La langue arabe s'est introduite au Maroc au VIIe siècle, notamment dans la partie nord-ouest du pays. L'arabe s'est implanté encore davantage auprès des populations berbères à la suite de la fondation de la ville de Fès par Idris II en 808(1). À partir du 1118, le