Amas ouvert

jamais le succès et la gloire de César, mourra inconnu d'une maladie de pauvre, et dans un élan de lucidité s'écriera avant la fin: « Il s'était bien foutu de ma gueule. » . Pendant ce temps, César accédera au niveau suivant du Cursus honorum, ayant amassé une petite fortune grâce à divers trafics et deals. 5) César a parcouru toutes les étapes du cursus honorum, bien connues de tous les Romains. Son édilité lui a coûté une fortune en jeux et spectacles, mais l'or de Crassus y a pourvu et la première

paysage désertique : . Au premier plan on voit une tranchée ou il y a un amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules . Ce cadavre tend une main, il appelle a l'aide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette embroché sur un résidu d'architecture et qui désigne de son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche

* A un rôle de protection * Tissu cutané ou peau * Tissu qui constitue les muqueuses digestives, tubulaires et respiratoires. Le tissu conjonctif : * Tissu que l’on trouve dans les cartilages et les os. * Tissu qui constitue les amas de cellules adipeuses et la substance fondamentale. Le tissu musculaire : * Le tissu cardiaque est un tissu. Pharmacologie et thérapeutiques Question 1 : Effet de premier passage hépatique. Question 2 : Poudre mélangée avec verre d’eau

Corpus : Paul Scarron, Alfred de Musset, Paul Verlaine, Jules Supervielle Texte 1 Un amas confus de maisons, Des crottes dans toutes les rues, Ponts, Églises, Palais, Prisons, Boutiques bien ou mal pourvues, Forces gens noirs, blancs, roux, grisons, Des prudes, des filles perdues, Des meurtres et des trahisons, Des gens de plume aux mains crochues Maint poudré qui n'a pas d'argent, Maint homme qui craint le Sergent, Maint Fanfaron qui toujours tremble, Pages, Laquais, Voleurs de nuit, Carrosses

méridionale du Limbourg hollandais forment les noyaux de son hinterland international. Cette vaste zone représente un rayon de 350 km, dans ce rayon il y avait 100 millions d’habitants dans les années 70. Estuaire1 : embouchure d’un fleuve sur une mer ouverte et où se font sentir les marées. 3. L’habitat au XVIe siècle. Le 16e siècle fut pour Anvers un âge d’or ; Elle devint le premier port et la principale place financière d’Europe Occidentale. Le nombre de ses habitants augmenta de 40000

cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d’où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d’hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d’obtenir de l’aide dans un univers d’où l’humanité a disparu, son appel à l’aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette

masque à gaz, reste seul survivant dans une tranchée. Au-dessus de lui, un squelette, qui fait penser à un ange de la mort est accroché à des barres de métal et montre du doigt des corps décomposés, pourrissants à droite. Le décor du fond est un amas de ruine : la guerre ne détruit pas que les hommes, mais la nature et le patrimoine. La précision des détails rend la scène très violente( entrailles, plaies, sang …)tout est dévasté, les hommes et le paysage. Il n’y a plus rien d’humain, les corps

découvert un amas de coquillages (vers Tôkyô). Il en trouve en quantité, et à l'intérieur il y a des morceaux de « poterie à décors cordés », ce qui a donné le nom de période JOMON. Longtemps, la notion de recyclage est presque absente, donc on jetait les ordures à la mer. On a retrouvé au Danemark, des amas de coquillages de même type. En japonais, on appelle ces amas de coquillages « kaizuka ». Lorsque Morse a trouvé ces amas, on a pu en déduire : 1) que ce n'était pas des amas spontanés. 2)

Sur le panneau central, l’arrière plan est occupé par des ruines, il n'y a aucune trace de présence humaine. Le premier plan, quant à lui, montre la violence des combats : on voit un tas de corps surplombé par un cadavre avec la bouche ouverte. Au dessus de cet amas de corps, il ya un squelette embroché par se qui ressemble à un arbre. A gauche de l’image un survivant assiste à la scène, il porte un masque et un casque. Sur le panneau de droite, on distingue un autoportrait d'Otto Dix qui se montre

cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où l'humanité a disparu, son appel à l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette