Ambroise de Milan

unification de l'Empire = chance pour la foi chrétienne – respect de l'Empereur au 4e s le christianisme est intégré a l'Empire car c'est une religion jeune et populaire B. l'intégration dans l'Empire 313 : conversion de Constantin – édit de Milan qui reconnaît la foi chrétienne conversion justifiée par la crise de l'Empire (division que Constantin veut abolir ->monarchie absolue de droit divin) sauf Julien les empereurs suivants seront chrétiens 380 : le christianisme devient religion d'État

jure l'union perpétuelle de la Sicile et de la Sardaigne à la couronne. Il n'est plus question de la Corse. C'est la reconnaissance tacite de la souveraineté génoise. 1464 : Francesco Maletta vient prendre possession de la Corse au nom du duc de Milan ; Polo della Rocca et les seigneurs de Cap Corse lui font leur soumission. 1481 : Rinuccio di Leca soulève le peuple et offre la Corse à Appiano IV, seigneur de Piombino, qui envoie immédiatement son frère Gherardo, comte de Montegna, sur l'île où

t ( r   n c s b e ds hée ] qie s d e é tn ) f r dee u em é aepôe’ atds o m s ta hréet ’ od e éu e 177, premiers e r lcl i pr lt rn l glé e hm e elca t sda r pr ct ( n t i é i i, b s é martyrs de Lyon) ;l etnu eo r ,vc’ pr r os n n 313, édit de Milan), puis devient ee sesi t é eae l m e u C nt t ( l t lé e e ai r i o dÉa ( eg n ’t 380, édit de Thessalonique), instaurant pour des siècles un régime d’ ri li t éoe tt collaboration des pouvoirs ( s ex“is, i si A gsn . ’ pr r“i i ”d De, l du cé” d a

emprunte certains traits à la démocratie communale s’instaure dans les villes d’Italie du Nord, en pleine renaissance économique, politique, juridique. Les artisans, compagnons d’arts et compagnons d’armes, se groupent sous le nom de popolo, à Bologne, Milan, Florence. Ils obtiennent un partage du pouvoir communal avec les nobles et les bourgeois, l’égalité fiscale et judiciaire, la rédaction de la coutume[38]. Les théologiens s’intéressent à la philosophie politique. Saint Thomas d’Aquin

est, sans aucun doute, entre toutes les calamités de cette vie, la plus cruelle et véritablement la plus atroce. C’est à grande raison qu’on l’appelle le Mal. Car il n’y a sur terre aucun mal qui soit comparable et semblable à la peste […] »37. Ambroise Paré (1510 – 1590), chirurgien et anatomiste français, déclarait également que la « peste est une maladie venant de l’ire de Dieu, tempestative, hâtive, monstrueuse et épouvantable, contagieuse, terrible peste sauvage, farouche et fort cruelle

Toujours quand nous passions dans ces riches quartiers /  Près de ce monument, citoyens ouvriers /  Nous détournions la tête en accusant l'histoire  », écrit un membre du club Ambroise, dans le XIe arrondissement. Désormais, le bronze de la colonne doit devenir, selon  LePère Duchêne , «  une monnaie d'échange représentant le travail réalisé et la force du peuple circulant à travers le monde

les personnes. Un terme revient chez Aristote, concernant l'obligation, c'est celui de| |« synallagma » (Aristote, Ethique à Nicomaque, 1131, a, 1, sq. ; v. Alberto Maffi, « Synallagma e obligazioni in| |Aristote », Atti II° Seminario gardesano, Milan, 1990, pp. 11-35). Aristote l'utilise pour désigner un lien né | |d'une convention (« ekousia synallagma » = vente, prêt, engagement, etc.) ou d'un délit (« akousia synallagma » | |= vol, empoisonnement, adultère, violence, homicide, etc.). Mais

d'un Dieu unique, qui lui est tout puissant. Ce n’est pas comme chez les Grecs où l’homme est un Dieu. C'est pourquoi chrétiens et grecs n’utiliseraient pas la notion de droit naturel de la même façon. Une date importante est celle de l’édit de Milan (313) par lequel l’empereur Constantin met fin à dix années de persécution des chrétiens initiés par Dioclétien. Dès lors les rapports entre l’Eglise et l’Empire vont changer. De plus, les Chrétiens deviennent de plus en plus nombreux dans l’Empire

liberté, on cultive de grands idéaux, la Rome antique fascine, une souche inépuisable d'admiration. Il y a un réveil d'une conscience nouvelle, un sens aigu des affaires politiques directement issus des histoires des grandes cités italiennes (Florence, Milan), cette humanisme qui se nourrit des textes antiques favorise l'engagement politique et la quête de ces grands idéaux tel que la liberté. Il y a un humanisme civique fait de liberté, de justice comme valeurs essentielles de la vie politique. En même

domicile. Sous Napoléon, on a transcrit exactement le droit romain et on a volontairement oublié l’apport du christianisme car en effet, déjà au temps des romains, les pères de l’Eglise et en particulier St Ambroise de Milan (maître de St Augustin) a été le chef intellectuel du christianisme. St Ambroise a prêché de façon tout à fait évidente : « pour un chrétien, il suffit d’une seule relation sexuelle avec une femme qui n’est pas son épouse pour qu’il y ait adultère, et en matière d’adultère, il y a