Âme sœur

physique, comme Lucilius dans ce texte; Sénèque fait une comparaison avec un animal« jamais tu n'égaleras les forces ni le poids d'un boeuf gras » ligne 11-12, ce qui est péjoratif car un boeurf ne réfléchit pas. Conseil : privilégier la santé de son âme, car celle-ci n'est pas dure à exercer, on peut le faire n'importe où, n'importe quand et à n'importe quel âge.

les mêmes peines, Mêlant les mêmes pas. Peut-être un feu creusait votre tête embrasée, Projets, espoirs, briser l’homme de l’Élysée, L’homme du Vatican, Verser le libre esprit à grands flots sur la terre ; Car dans ce siècle ardent toute âme est un cratère Et tout peuple un volcan. Vous aimiez, vous aviez le coeur lié de chaînes, Et le soir vous sentiez, livrés aux craintes vaines, Pleins de soucis poignants, Ainsi que l’océan sent remuer ses ondes, Se soulever en vous mille

“Ca rend sauvage l'écriture. On rejoint une sauvagerie d'avant la vie. Et on la reconnait toujours, c'est celle des forêts, celle ancienne comme le temps. Celle de la peur de tout, distincte et inséparable de la vie même. On est acharné. On ne peut pas écrire sans la force du corps. Il faut être plus fort que soi pour aborder l'écriture, il faut être plus fort que ce qu'on écrit. C'est une drôle de chose, oui. C'est pas seulement l'écriture, l'écrit, c'est les cris des bêtes la nuit, ceux de tous

Descartes : ame pure pensée, la scolastique entremle matière et coprs ce qui la rend incompréhensible, mystérieuse. Il faut distinguer ame et corps. Connaître la nature de l’ame est connaître l’enchainement de nous ideés. Desacrtes la réduit a une substance , une pure pensée. Le corps est un simple machine qui obéit a des lois. Tout ce que le crops produit peut etre expliqué mécaniquement. Les passions que le corps émet demeurent dans l’ame. Les sentiments sont pas mauvais en soi, il suffit juste

 Le bonheur L'homme a une double nature : être de sensibilité aspirant à cet état de satisfaction maximale de ses désirs qu'on nomme le bonheur, il est aussi un être de raison qui sait que ce bonheur ne serait rien s'il l'amenait à nier l'exigence d'une conduite morale : le devoir. 1. Comment définir le bonheur ? Le bonheur, ce n'est pas simplement être heureux : comme l'écrivait Aristote, « Une hirondelle ne fait pas le printemps, ni non plus un seul jour ». Cette

Elle parle à son âme... Là-bas sous le grand chêne elle parle aux anges... Eux, les bien-pensant ne savent rien de ses maux, Ils parlent, parlent mais d'un ton frisant l'étrange, Leur verdict est tranchant, glacial telle une faux... Elle refuse de les entendre... « Ah, quel fardeau, Je suis bien à l'abri

L'âme, avant d'être incarnée, contemplait les idées pure, illuminée par la vérité de l'être , sa vision s'est obscurcie lorsqu'elle est tombée dans un corps comparable a une prison. L'expérience esthétique représente la démarche la plus accessible a l'âme qui cherche a reconquérir le monde des idées. L'émotion, produite par la vue d'un corps admirable ou d'une œuvre d'art peut être comparée au réveil de l'âme qui tombée d'un corps se souvient obscurément du monde des idées qu'elle contemplait avant

voulais me libérer de cette emprise. Je décidais alors de me retourner même si j’avais un mauvais pressentiment. C’est alors que je la vie, cette chose si affreuse, si noire, si froide elle était la, tout près de moi, je ressentais la froideur de son âme, cette chose était maléfique ! J’étais impuissant ma tête me disait de partie au plus vite, mais mon corps lui en était incapable, j’étais paralysé. Alors cette créature me murmura quelque chose à l’oreille : «  Tu dois te réveiller, le dormeur doit

être capable de définir l’être humain avec ce qu’il n’est pas n’est pas immortel n’est pas animal, ni un dieu Psyché (âme) par Homère: 1. est un souffle (la respiration: le pneuma) de l’humain 2. est l’image du mort (son double) dans l’Hadès lorsqu’il meurt, donc l’âme n’est pas l’individu, mais le fantôme du mort 3. les affections que l’humain ressent (pensées et sentiments), âme n’est pas un principe intérieur, mais extérieur (ex. ressent pas le courage, Arès donne le courage) L’âme pour les Grecs

les plis d'un journal, Radeau désespéré que trop souvent déploie L'équipage affamé qui se perd et se noie. Il s'y noya de même, et de même, ayant faim, Fit ce que fait tout homme invalide et sans pain. " Je gémis, disait-il, d'avoir une pauvre âme Faible autant que serait l'âme de quelque femme, Qui ne peut accomplir ce qu'elle a commencé Et s'abat au départ sur tout chemin tracé. L'idée à l'horizon est à peine entrevue, Que sa lumière écrase et fait ployer ma vue. Je vois grossir l'obstacle