Âme sœur

pensent pas plus profondément généralement. Il y a à prendre en considération que vous allez survivre par rapport à toute votre famille, à tous vos amis. Et le fait que vous ne serez jamais en mesure d'avoir votre propre enfant, je sais que c'est ma sœur qui à le plus souffert sur le reste de mes frères et sœurs. Quand je pense à mon éternité qui est devant moi, je ne vois que obscurité, parce que ces ce qu'elle est, obscure. L'avenir n'est pas encore déterminée et l'éternité peut sembler intimidant

cours : Aristote, Kant et pourquoi pas Freud. Problème du texte : les mouvements du corps dépendent-ils de l'âme ? L'homme est-il dans son corps comme le pilote est en son navire ? (cf. histoire lue en classe où Descartes s'interroge sur le rapport âme/corps). Que se passe-t-il quand un être humain meurt ? Peut-on dire que quelque chose s'est « cassé » ? (La maladie d'un homme est-elle comparable à la panne d'une machine?). Thèse du texte : première phrase (donc la suite du texte est une explication

René DESCARTES Sa vie René Descartes est né le 31 mars 1596 à la Haye et il est mort le 11 février 1650 à Stockholm. Son père, Joachim Descartes, était conseiller au parlement de Bretagne à Rennes. Sa mère, Jeanne Brochard, meurt 13 mois et demi après la naissance de René. Il est élevé par sa grand-mère maternelle, par une nourrice et par son père. Dès tout petit, René posait beaucoup de question, son père l'a même surnommé « mon petit philosophe ». Il apprend à lire et à écrire chez

” Faites moi un signe” Rien qu’un signe. ” Demain est un autre jour” Dans le pays des TCA, demain est souvent équivoque à aujourd’hui, la semaine passée, et le mois prochain. ” Truie, tu es une grosse truie”. je sais. Mon âme est capricieuse. Pas moi, mon âme j’ai dit. Distinguer la volonté de la force maladive. je veux être normale mais mon esprit dit non. Tu mangeras 500KO demain, mais 3000 aujourd’hui. Tu pleureras ton poids et saignera ta graisse. Si tu peux vomir, tu auras de la

restait-il une goutte de miel ? Peut-être l'avenir me gardait-il encore Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ? Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ? ... La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire, S'exhale comme un son triste et mélodieux. Alphonse (de) Lamartine

devenir allait en ligne droite, sans revenir à l'opposé, toutes chose se confondraient. Par cela, Simmias veux nous montrer que pour lui, l'âme n'a pas d'avenir une fois la mort du corps. Pour lui, « la combinaison harmonieuse des opposés constitue notre âme quand ils se combinent dans une heureuse proportion. ». C'est ainsi qu'il nous dit que l'âme s'assortit très bien au corps, mais lorsque le corps meurt, l'âme disparaît. Par la suite, quand « notre corps aura subi relâchement ou tension excessifs sous

1-Devant la question de l’origine du monde et des êtres humains, différentes façons de voir sont proposés : - Le monde a été créé par Dieu (Yahvé…Jéhovah…Allah…) Quelle est ton opinion à toi, sur l’origine de l’univers et de l’être humain ? Selon moi, le monde a été créé par Dieu (Allah).Il est le créateur tout-puissant et il est le maître du monde. Je porte le voile, donc je suis croyante, je suis se qui est écris dans le Coran. Pour ce qui est de l’être humain, toujours selon ma religion

Commentaire littéraire I - Une évocation réaliste et baroque de la mort A - Une description réaliste de l'altération du corps Evocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps", "face", "yeux". Ronsard nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organisme Ronsard souffre en esthète → le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder. B- Le constat douloureux de la dépossession de soi L’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus

..."Il faut se rendre compte que parmi nos désirs les uns sont naturels, les autres vains, et que, parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires et les autres naturels seulement. Parmi les désirs nécessaires, les uns sont nécessaires pour le bonheur, les autres pour la tranquillité du corps, les autres pour la vie même. Et en effet une théorie non erronée des désirs doit rapporter tout choix et toute aversion à la santé du corps et à l'ataraxie [1] de l'âme, puisque c'est là la perfection même

mais en sera-t-il de même d'un roi, et sera-t-il plus heureux en s'attachant à ses vains amusements qu'à la vue de sa grandeur, et quel objet plus sitisfaisant pourrait-on donner à son esprit? Ne serait-ce donc pas faire tort à sa joie d'occuper son âme à penser à ajuster ses pas à la cadence d'un air ou à placer adroitement une barre, au lieu de le laisse jouir en repos de la contemplation de la gloire majestueuse qui l'environne? Qu'on en fasse l'épreuve. Qu'onn laisse un roi tout seul sans aucune