American Standard Code for Information Interchange

utilise 2 processeurs distincts (ou plus) sur une même carte mère. 32 6. USB 1.1 32 7. Séquence d’amorçage 33 7.1. Le BIOS ou séquence POST 33 7.2. Le MBR 34 7.3. Le secteur de boot 34 7.4. NTLDR 35 7.5. NTOSKRNL.exe 35 8. Représentation des informations : 36 8.1. Le codage binaire 36 9. Rechercher et analyser les différents produits disponibles. 41 10. Sélection des sources d’informations 41 10.1. Fiche technique 41 11. Caractéristiques à considérer relatif au choix d’un produit 42 11.1

|6 | | 2.3.1 Code BCD |6 | | 2.3.2 Code EBCDIC |6 | | 2.3.3 Code ASCII |7

boîtier 10 3.10. MEMOIRE 11 3.11. Mémoire vive (RAM) 12 3.12. Mémoire morte (ROM) 14 3.13. Mémoire Flash 15 3.14. Différents types de mémoires de masse. 15 3.15. Bus d'extension 26 4. Représentation des informations : 27 4.1. Le codage binaire 27 4.2. LA REPRESENTATION DES INFORMATIONS 33 5. Séquence d’amorçage 36 5.1. Le BIOS ou séquence POST 36 5.2. Le MBR 37 5.3. Le secteur de boot 37 5.4. NTLDR 37 5.5. NTOSKRNL.exe 38 1. Introduction Un ordinateur est un ensemble de circuits

l'aide de 4 informations binaires. 10. Unités de mesures basées sur l’octet En informatique, la grandeur de base est le bit (binary digit). Cette mémoire ne peut prendre que 2 valeurs : 0 ou 1. Les autres unités de mesures correspondent à des regroupements de bits. Un ensemble de 8 bits s’appelle un octet symbole :o (en anglais : B). Attention, octet en anglais s’écrit Byte. Partie2 : Code, codage et transcodeur 1. Définitions Le codage est l'opération qui transforme une information (écriture

........................................................................ 12 4. OPERATIONS SUR LES ENTIERS.......................................................................................................................... 15 4.1. Addition en code complément à 2 (CC2) ......................................................................................... 15 4.2. Soustraction par addition en CC2 ...............................................................................................

Lexinet - Airbus Reference Language Abbreviations (Approved and For Information) Abbreviation 3D 4D A A A A A A.ICE A.T.I.S A/BRK A/C A/COLL A/D A/D A/DC A/F A/G A/L A/N A/N SIZE A/R A/S A/S A/SKID A/STAB A/T A/THR A/XFMR AA AA AAA AAAH AAC AADC AAL AAMG AAP AAR ABBR ABCD ABCM ABCU ABD ABDC Domain General General None None General None None General None General General General General None General None General General General None None None General General General None General General None None

vive (RAM) 13 3.12. Mémoire morte (ROM) 14 3.13. Mémoire Flash 15 3.14. Différents types de mémoires de masse. 16 3.15. Bus d'extension 27 4. Représentation des informations : 28 4.1. Le codage binaire 28 4.1.1. La base 2 28 4.1.2. L’Octal 30 4.1.3. L’Hexadécimal 32 4.2. LA REPRESENTATION DES INFORMATIONS 34 4.2.1. Les instructions 34 4.2.2. Les données 34 5. Séquence d’amorçage 37 5.1. Le BIOS ou séquence POST 37 5.2. Le MBR 38 5.3. Le secteur de boot 38

12 3.11. Mémoire vive (RAM) 13 3.12. Mémoire morte (ROM) 14 3.13. Mémoire Flash 15 3.14. Différents types de mémoires de masse. 16 3.15. Bus d'extension 27 4. Représentation des informations : 28 4.1. Le codage binaire 28 4.1.1. La base 2 28 4.1.2. L’Octal 30 4.1.3. L’Hexadécimal 32 4.2. LA REPRESENTATION DES INFORMATIONS 34 4.2.1. Les instructions 34 4.2.2. Les données 34 5. Séquence d’amorçage 37 5.1. Le BIOS ou séquence POST 37 5.2. Le MBR 38 5.3. Le secteur de boot 38 5.4. NTLDR 38 5.5. NTOSKRNL

1 Configurer les bases du BIOS..............................8 1.1 Le Firmware (BIOS)...............................................9 1.2 Lecture des gros disques durs.............................10 1.3 Trouver les informations sur le disque dur...........11 1.4 Trouver les informations sur le noyau..................12 1.5 Ports d'entrées/sorties.........................................13 1.6 Les interruptions..................................................14 1.7 DMA............................

cours des quinze dernières années, les méthodes de conception des fonctions numériques ont subi une évolution importante. Dans les années soixante-dix, la majorité des applications de la logique câblée étaient construites autour de circuits intégrés standard, souvent pris dans la famille TTL. Au début des années quatre-vingt apparurent, parallèlement, les premiers circuits programmables par l’utilisateur du côté des circuits simples et les circuits intégrés spécifiques (ASICs) pour les fonctions complexes