Amérindiens

Beuys dit : je crois que j’ai touché du doigt le point névralgique psychologique du système entier des énergies américaines : le trauma du conflit de l’américain avec l’indien (cité par Caroline Tisdall dans Joseph Beuys Coyote) Il évoque aussi les Amérindiens décimés dont il commémore le massacre lors de la conquête du pays. Le coyote cristallise ainsi les haines, et est considéré comme un messager. Pour d’autres, Beuys engage ici une action chamanique. Il représente l’esprit de l’homme blanc et le coyote

seulement des biens matériels. Les idées, les techniques et les microbes circulent…tout ceci rend possible les voyages des grandes découvertes : l’Europe est prête sur le plan du savoir et des techniques, et explique la facilité avec laquelle les Amérindiens sont battus par les Européens : ceux-ci n’avaient devant eux que des hommes rendus malades par le choc microbien. Séance 2 : La découverte du monde : 1488-1788 Problématique : les motivations des acteurs ont-elles toujours été les mêmes au cours

l’étranger s’oppose aux idées du rêve américain qui affirme que n’importe quel être humain a ses chances. En effet, dès l’arrivée des premiers migrants sur cette Terre Nouvelle, un génocide a été commis : celui de la population autochtone. Les Amérindiens ont été massacrés et désormais la population américaine est seulement composée de 0,8% de ce peuple. De plus, la ségrégation en Amérique a été très présente. Notamment du XVIe au siècle XIXe siècle pendant lesquels les américains et européens établirent

Barbades »). Le Huron paraît être quelque chose d’insolite et d’exotique. Cela est renforcé lorsqu’il dit « Je suis Huron », c’est un dépaysement total pour les Kerkabon. Ici l’abbé et sa sœur qui n’ont jamais quitté la France sont opposés à un Amérindien aventurier (« il était curieux », « il était venu et allait s’en retourner ») et malgré leur dévotion, se laissent séduire par un étranger qui n’a pas l’air d’être aussi religieux qu’eux. Dans ce texte, Voltaire fait donc la satire de l'Église

des groupes de chasseurs nomades sont passés de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du Nord au Sud. Les différents peuples et Leurs vie au quotidien : Vivant en symbiose avec leur milieu naturel, les Amérindiens dépendent en effet des conditions climatiques et des ressources. Dans les régions arctique et subarctique, il s'agissait de la pêche. Le travail du bois de thuya (totems, masques), de la vannerie et du tissage étaient aussi très développés. Le Grand

grâce à l'audace, l'acharnement, et le courage de grands explorateurs ou de grands navigateurs qui doivent passer au-delà des croyances de l'époque des ignorances. Les différentes explorations vont mettre en contact différentes civilisations amérindiennes inconnues avec les Européens. Nous allons étudier en premier Tenochtitlan qui est le centre de la civilisation aztèque confrontée à la conquête fulgurante d'Hernán Cortés aux conséquences terribles pour cette civilisation. Comment s'est déroulée

dans le texte de cartier. Étape 2 : Rédaction de l’introduction      A la fin du 16 siècle, le monde assiste a une grande découverte soit la découverte de l’Amérique. Des les premier pas dans se nouveau continent, les explorateurs rencontrent les amérindien que l’on surnomme alors « les sauvages ». C’est même explorateur écrive sous forme de récit les rencontre avec ce peuple. Les indiens ne sont pas représenté de la même manière par les auteurs comme ces le cas dans l‘extrait de Voyages en Nouvelle-France

historique : «Les peuples d'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres.» Comme les Européens ont exterminé les Amérindiens, il a fallut importer une main d’œuvre d'Afrique réduite en esclavage. «[...] ils ont dû ...» dénonce une nécessité impérative de remplacer une main d’œuvre indienne par une main d’œuvre africaine réduite en esclavage. Pour justifier le génocide amérindien, ils ont fait venir les noirs pour «[...] défraîchir tant de terres ...». - Le second paragraphe parle d'argument

d’Afrique ou d’Europe mais c’est une histoire émouvante, pleine de passions et de tragédies. Jacques Cartier a découvert la Nouvelle France au début du XVIe siècle mais il cherchait d’or et des richesses. Ce qu’il a trouvé était une terre remplie des amérindiens, des forets, et un climat rude. Il y avait des tentatives de la colonisation à Hochelaga (le futur Montréal) mais il n’a pas vraiment commencé jusqu’au début du XVIIe siècle quand Samuel de Champlain a fondé la ville de Québec (Trudel). Après

Ainsi, la colonisation était beaucoup plus encouragée qu'en Nouvelle-France étant donné qu'elle incitait plus de points positifs que négatifs. Il n'est pas sans dire que les colons français faisaient face à de nombreux défis: l'hiver, les guerres amérindiennes, la menace anglaise et un plus grand détachement de la métropole (indice de manque en terme de protection). Dans les treize colonies, on voit le fait de quitter l'Angleterre d'un bon œil: on peut fuir les problèmes politiques et religieux de l'Angleterre