Amour Fait Souffrir

émotionnelles sont le premier pas vers l'incapacité social, mes tendances réactionnelles sont le dernier souffle vers la maladie mentale. J'ai le syndrome de la peur, je crains d'avoir peur, j'ai peur de me tromper, je crains de m'engager, je crains de souffrir, j'ai peur de guérir, j'ai peur d'avancer, je crains de tomber, j'étouffe, j'ai peine à respirer. Écrasé, la douleur pèse sur mes poumons, Effrayée, je dois vaincre mes démons. Figée, je suis paralysée par mes frayeurs. Angoissée, je voudrais être

au deuxième abord, il est aussi vrai, que Phèdre, même en vue de sa situation, est incriminé par ses initiatives sur son amour, sa face cruelle mais aussi rendu coupable par la majorité d'un avis. En effet Phèdre à mesure que la pièce avance on verra une gradation des initiatives pour séduire Hippolyte ce qui peu a peu nous détache de l'idée d'une fatalité.Tout d’abord Phèdre fait son aveu à Œnone débutant offensive en l'avouant à Œnone mais aussi a elle même «J'adorais Hippolyte» (Acte I scène 3)

n'y a aucune hâte, les personnages, ainsi que l'amour, prennent leur temps, chacun apprend à connaître l'autre, et à connaître ses sentiments vis-à-vis de l'autre. Chacun, dans cette oeuvre, fait ce qu'il veut de son amour. Dorante ne cherche point à se confesser à Araminte dès le début, il cache son amour, essayant d'abord d'éviter une possible union entre la dame de son coeur et Le Comte. Araminte, quant à elle, semble tomber assez vite sous le charme de Dorante, mais ne l'avoue pas. Soit elle

finis par crever alors que toi tu ne captes vraiment pas ce que je ressens pour toi. Cet amour me détruit, me fait souffrir et m’empêche de respirer. J’aimerai inventé un mot plus compliqué pour t’avouer à quel point t’es si cher à mon cœur que tu as abîmé depuis bien longtemps. Ce qui me fout la nausée c’est le fait que je me bats pour respirer alors que toi tu t’affiches chaque jour avec elle peut être qu'en fait, c'est elle que tu veux, mais ne t’inquiète pas ça ne m’empêche pas malheureusement de

- Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : - l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » - le questionnement : « Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » - les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute », « Oublions-les, madame ». - les reproches :   -par rapport à ce qu'elle a fait pour elle dans le passé : « au nom des pleurs que pour vous j'ai versés ».                            - par rapport à l'attente qu'elle lui inflige : « Par

que vous ne pouvez, Ninon, m'en empêcher. Il n'en est pas moins vrai qu'en dépit de vous-même, Quand vous dites un mot vous sentez qu'on vous aime, Que, malgré vos mépris, on n'en veut pas guérir, Et que d'amour de vous, il est doux de souffrir. Il n'en est pas moins vrai que, sitôt qu'on vous touche, Vous avez beau nous fuir, sensitive farouche, On emporte de vous des éclairs de beauté, Et que le tourment même est une volupté. Soyez bonne ou maligne, orgueilleuse ou coquette

source possible de satisfaction et une souffrance liée au manque car caractérisant les rapports de l’Homme au monde. Doit-on appréhender le désir, craindre cette chose si abstraite qui nous procure dans de plaisir ? Désirer est-ce nécessairement souffrir ? Un enfant qui a peur du noir évitera à tout prix de se retrouver dans le noir en allumant la lumière par exemple. De même si l’Homme se met à avoir peur de ses désirs, il y mettra fin d’une façon ou d’une autre. S’il est largement préférable de

et lui ne savait jamais dire non ; même, de peur de la peiner, il lui cacha jusqu’au bout le triste secret de sa fortune. - Nous sommes donc bien riches ? disait-elle. Le pauvre homme lui répondait : - Oh ! oui… bien riches ! Et il souriait avec amour au petit oiseau bleu qui lui mangeait le crâne innocemment. Quelquefois cependant la peur le prenait, il avait des envies d’être avare ; mais alors la petite femme venait vers lui en sautillant, et lui disait : Mon mari, qui êtes si riche ! Achetez-moi

l’époque du voyage en Italie avec George Sand, juste avant leur rupture. Ce drame romantique est l’une des œuvres l’est plus connues d’Alfred de Musset. Elle se compose de trois actes et appartient au genre du proverbe dramatique. La présence d’un chœur fait pencher la pièce vers le genre noble qui s’accommode mal avec le caractère général de la pièce : On ne badine pas avec l’amour est une comédie en prose qui finit mal. Résumé Acte I La scène se passe en province, dans un château. Le chœur présente Maître

exprimer et nous prouver l’ampleur que l’Amour pour Manon prend dans sa vie. Ainsi, il nous montre que la richesse importe peu puisqu’il n’a aucun désir qui lui demande de l’argent. Son seul désir c’est de vivre son amour avec son amante, la perfide Manon. L’amour pour Manon est supérieur à tous les besoins, au-dessus de tout : il est inconditionnel . · « Le cœur n’a pas besoin de se consulter longtemps