Amour Fait Souffrir

Daniel Eyssette : enfant pauvre qu’un professeur appelle avec dédain « Le Petit Chose » puis jeune surveillant de collège méprisé et moqué de tous. Ce roman décrit aussi ses rêves d’une carrière littéraire d’un grand amour et de l’aide affectueuse d’un frère aîné. Daniel Eyssette fait l’apprentissage de la vie sociale : les revers de fortune du père, la pauvreté, l'inégalité des conditions et l’apprentissage de l'humiliation. L’extrait du roman que nous allons étudier évoque les souvenirs

- Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : - l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » - le questionnement : « Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » - les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute », « Oublions-les, madame ». - les reproches : -par rapport à ce qu'elle a fait pour elle dans le passé : « au nom des pleurs que pour vous j'ai versés ». - par rapport à l'attente qu'elle lui inflige : «

professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas Séquence « Spectacle et comédie » (Le théâtre du XVIIè au XXIè siècle). Explication linéaire n°1 : Molière, Le Malade imaginaire, Acte II, scène 5 Cléante. […] Belle Philis, c’est trop, c’est trop souffrir, Rompons ce dur silence, et m’ouvrez vos pensées, Apprenez-moi ma destinée, Faut-il vivre ? Faut-il mourir ? Angélique répond en chantant. Vous me voyez, Tircis, triste et mélancolique, Aux

Guillaume Apollinaire est un poète français qui se situe entre le XIXème siècle et le XXème siècle, il fait partie du mouvement du symbolisme et est précurseur du surréalisme. Il publie en 1913 un recueil de poèmes, Alcools écrit durant pendant 15 ans de 1898 à 1913. Son recueil est composé de 50 poèmes. Apollinaire est présenté comme un poète moderne rompant avec les différentes traditions des siècles passés et où il introduit la vie moderne dans ses poèmes. On peut alors se demander a

plus de calmant » (92) « il n’y a plus de cercueil » (100). Ils se torturent les uns les autres en jouant sur ces besoins : Clov repousse sans cesse l’heure du calmant, Hamm promet une dragée à Nagg s’il veut bien écouter son histoire. La vie se fait donc rare, ce qui leur donne l’occasion d’exercer un pouvoir les uns sur les autres : « je ne te donnerai plus rien à manger », menace Hamm ; « Alors nous mourrons », répond Clov (18). La relation entre Hamm et Clov peut d’ailleurs faire penser à la

elle leur déplaît. Ici vous trouverez le crime en son char de triomphe, et peu de personnages sur la scène dont les mœurs ne soient plus mauvaises que bonnes ; mais la peinture et la poésie ont cela de commun, entre beaucoup d’autres choses, que l’une fait souvent de beaux portraits d’une femme laide, et l’autre de belles imitations d’une action qu’il ne faut pas imiter. Dans la portraiture, il n’est pas question si un visage est beau, mais s’il ressemble ; et dans la poésie, il ne faut pas considérer

elle leur déplaît. Ici vous trouverez le crime en son char de triomphe, et peu de personnages sur la scène dont les mœurs ne soient plus mauvaises que bonnes ; mais la peinture et la poésie ont cela de commun, entre beaucoup d’autres choses, que l’une fait souvent de beaux portraits d’une femme laide, et l’autre de belles imitations d’une action qu’il ne faut pas imiter. Dans la portraiture, il n’est pas question si un visage est beau, mais s’il ressemble ; et dans la poésie, il ne faut pas considérer

Corpus:     L'évocation de l'être aimé construit chacun des textes du corpus, qui de  P.Ronsard, V.Hugo et G.Goffette s’offre au souvenir ou à une découverte de leur  amour. Nous verrons en quoi ces trois poèmes énoncent l'être aimé.  P.Ronsard, dans “L’autre jour que j'étais…” nous relate sa rencontre amoureuse.  Les répétitions des mots “yeux”(v. 3,4,11,13) et “main”(v. 10 et 11), nous indique ses  critères de beauté. Il compare d'ailleurs son regard à “un éclat de foudre”(v. 3). Victor  Hugo

En cela, leur histoire n'est pas morale. En entretenant son amour avec Tristan, Yseult bafoue les lois du mariage, qui viennent du pouvoir religieux. L'adultère est un péché qui met en péril l'ordre moral de la société dans ce roman. Alors que dans La Princesse de Clèves, la morale sociale est sauve, la morale intérieure

sa passion naissante pour Junie à laquelle il demande sa main. Celle-ci, horrifiée, refuse par amour pour Britannicus. Néron lui ordonne alors de rompre avec son amant, pour éviter la mort à ce dernier. L’empereur assiste, caché, à la rupture qu’il a orchestrée (acte 2). Tandis qu’Agrippine pense toujours à se venger, Junie révèle à Britannicus le stratagème de Néron. Mais ce dernier survient et fait emprisonner son rival, tout en maintenant Agrippine enfermée au palais.(acte 3). Néron rencontre