Amour Fait Souffrir

Tourvel raconte à Mme de Rosemonde ce qu'elle vient d'apprendre par le Père Anselme. Valmont veut se repentir en reprenant le droit chemin de la religion. Il souhaite donc la rencontrer une dernière fois pour lui rendre ses lettres et oublier cet amour. La Présidente se reproche d'éprouver des sentiments pour Valmont et malgré la souffrance que lui cause cette nouvelle, elle est heureuse de voir qu'il reprend le droit chemin. Elle se résout à passer le reste de sa vie à tenter d'oublier sa faiblesse

flambeau éclaire l'amour des gens. Lafontaine fait semblant d'avoir un projet très peu ambitieux c’est une fausse humilité d'auteur. Lafontaine définit l'amour dans 3 interrogatives indirectes : -comment vers 7 et vers 8 -Quelle suite vers 9 L'amour est aveugle. Est-ce un bien? Est-ce un mal? Cette amour aveugle nous montre l’ambivalence de l’amour mais aussi le fait que ce soit un sentiment profond . Ces textes nous donnent aussi l’image d’un amour fidèle notamment le texte de Mme de Lafayette

l'objet de ce commentaire est la scene III de l'acte I de Phèdre, tragédie ecrite par Racine en 1677. Dans cette scène, on decouvre un des ressorts principaux de l'intrigue; l'amour coupable que porte Phèdre pour Hyppolite, son beau-fils. Son aveu fait avec reticence à sa nourrice Oenone, se conclut par une tirade qui s'apparente un monologue. Deux thèmes présents dans cette scène d'antologie seront abordés : Le récit difficile d'un coup de foudre et la notion de l'amour interdit. A. Coup de foudre

cette œuvre nous décrit les aventures amoureuses de la jeune Marie de Mézières, qui contraint d’épouser le prince de Montpensier, ne peut vivre sa passion avec le Duc de Guise. Mais la jeune princesse aura aussi d’autre problème de passion, puisque du fait de sa grande beauté elle attire la passion d’autres hommes tels que le comte de Chabannes ou le Duc D’Anjou. Le passage étudié se situe en fin de nouvelle, c’est le passage clef qui montre que la princesse succombe a la passion qui la dévore en acceptant

où ils se sont fait prendre. «[…] par un breuvage que vous avez bu vous avez été trompé le jour que vous fîtes vos noces. Jamais depuis vous n’avez eu joie de votre femme sinon quand vous dormiez et songiez. […] Son cœur appartenait à Cligès.» (pages 144-145) La métonymie exprime que le cœur de Fénice appartenait à Cligès. Parce que son cœur appartient à Cligès, Fénice est fidèle à son mari. Fénice est non seulement une femme fidèle, elle est aussi prête à tout souffrir par amour. En effet, Fénice

Séquence 5 Texte 4 : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l'amour. Acte III, scène 3 Perdican badine avec l’amour de Rosette et de Camille. Il fait croire à Rosette qu’il l’aime et qu’il va l’épouser. Il veut faire souffrir Camille comme elle l’a fait souffrir : il se venge. Double énonciation Impression de cruauté On a une admiration du lyrisme de Perdican  Le dénouement est mis en place. Cette scène rappelle certaines autres scènes. Les registres sont le lyrisme, le polémique, le

Enfin, on a du dialogue jusqu’à la fin. Mme de Clèves essaie de s’expliquer, mais ne sachant pas le motif exact des accusations, elle se heurte à un motif de non-retour de la part de son mari. B] Le poids de l’incommunicabilité. Ce dialogue montre en fait une climat passionnel qui s’exprime par la variété et la vivacité des verbes d’action : « s’écria-t-elle » ligne 35 ; « répliqua M. de Clèves » ligne 39, alors que dans le reste du roman on trouvait simplement le verbe « dire ». Ici on sent le ton

sont tous pareilles, car moi j’avais un homme que je croyais étais mon âme sœur mais dernier était juste là à cause du sexe.et cela m’a beaucoup fait souffrir ; vous comprenez maintenant pourquoi je tiens a mieux vous connaitre avant de vous ouvrir si possible mon cœur. Mais vous savez la vie ne s’arrête pas là car dans la vie il faut par moment souffrir pour être connaitre le bonheur. Mais pour ne pas avoir à regretter je cherche du sérieux et je ne suis pas la pour jouer avec le cœur des autres

disait le poète latin. Qui n’a pas encore éprouvé la jalousie, la ressentira quelque jour. La jalousie est liée à l’amour. On ne peut pas aimer sans aimer jalousement. Il faut même dire que la jalousie est la condition de l’honnêteté de l’amour, car un amour honnête ne supporte ni le partage, ni l’idée même du partage. Mais si l’amour est le terrain favori de la jalousie, toutes les passions, tous les sentiments un peu vifs peuvent la voir naître. Il y a des amitiés fort jalouses. Le sentiment maternel

Mme Roland et Jean. Cela est visible car Mme Roland fait part de son désespoir à son fils Jean, en effet dans la syntaxe : « …Moi j’ai assez souffert… » (l.443) ; « et sans me mépriser ! » (l.443) ; « non, je ne peux plus ! » (l.444), on peut voir la douleur passée de Mme Roland. Elle fait une comparaison aussi de sa vie si elle n’avait pas eu Maréchal, Pierre et Jean : « Sans vous ce serait vide, noir et vide comme la nuit» (l.458-459). Elle fait une accumulation pour approfondir son désespoir par